Vouloir ce que l’on veut est plaisir univoque
Quand le don sans aller, celui qu’ici j’évoque,
Est de ta qualité ; en leitmotiv moqueur,
Sans remord, sans retour… réel arrache-cœur !
Pouvoir ce que l’on peut est désir équivoque
Quand recevoir sans fin, sans que ça t’interloque,
Est de ton ambition ; en rengaine des chœurs
Et belle avidité… faisant fi des rancœurs !
Savoir ce que l’on sait, comme un dieu qu’on invoque
Et ne jamais offrir, une vraie réciproque
Est de ton appétit ; un refrain qui écœure !
Devoir ce que l’on doit est un échange en toc,
Quand face à ton envie, amertume en loque,
Est de grande vigueur ; exterminer mon cœur !
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