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Écrit par prince

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 30 mai 2011

Création : 31 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2136

Le passé s'est passé,

Mais le passé ne s'est pas effacé;

Il s'est juste transformé en souvenirs...

Si vous perdez le contrôle du temps present,

Racrochez-vous à vos souvenirs

Et tous vous remonte à l'esprit.

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Écrit par Lenia

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 26 mai 2011

Création : 27 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2026

Cela fait des mois que cette crise est passée

Mais pour mon coeur d'une affaire d'heures

Plutôt il s'agirait, la tâche que vous me demandez

Est bien ardue après tous ces malheurs...

Laissez-moi donc me reconstruire en paix !

Vous ne voyez pas comment vous m'avez brisée ?

Vous ne voyez pas combien pour vous j'ai enduré ?

Laissez-moi donc réfléchir, pas de premier jet...

Recoller les morceaux dîtes-vous ? Ai-je bien entendu ?

Mais comment réparer aussi rapidement un coeur brisé ?

Mais comment guérir une harmonie vitale aussi dévastée ?

Recoller les morceaux... hélas je ne puis savoir à cette heure,

Bien trop précoce, si je pourrais immédiatement vous pardonner

De toutes ces souffrances que pour vous j'ai contenu sans broncher,

Recoller les morceaux... de ce si beau tableau d'une vie sans heurts...

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Écrit par lonesomemao

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 27 mai 2011

Création : 28 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1563

Mes mots ne sont pas une dictature

Ils sont des phares disséminés qui éclairent le récit d’une aventure

vendredi 27 mai 2011

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Écrit par erik-barussaud

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 4 mai 2011

Création : 4 mai 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1974

C’est une envie de tout plaquer, de pouvoir tout recommencer,

Qui mène ses pensées torturées au tribunal des "suis-je bien né".

À la barre d’un très vieux prétoire, la raison le conseille sans gloire :

« Monsieur, il vous faut recevoir un nouveau mode opératoire ».

Oublier ce qu’il a omis, réciter ce qu’il a appris,

Respecter ce qu’il a promis, changer de vie, d’état d’esprit.

Face à un miroir aux deux temps, ses rides germent sur un champ.

Un champ de "oui mais" de "comment", terre en jachère depuis longtemps.

Inassouvies ses tentations, oubliées ses désillusions

Et la tristesse d’oraisons, il part vers d’autres horizons.

En quête de nouvelles envies, reprendre le goût à la vie,

Ne pas rester sur le parvis de la cathédrale de sa vie.

« Vais-je me tromper encore une fois ? Changement de cap vers je n’sais quoi ».

Il s’élance pour la dernière fois, le droit à l’erreur n’existe pas.

Elle est bien là… et il la sent, sa quarantaine, source de comment.

Elle est bien là… et il la voit, sa quarantaine, scène de pourquoi.