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A coup sûr
La poésie est cette femme
Clandestine et secrète
Cri d’amour sans cesse répété
Dans l’art de la nécessité
De s’embaumer sans cesse
De la dissidence bâillonnée
D’un amant pathétique
Dans les langues déchirantes parlées par sa longue beauté
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dimanche 24 avril 2011
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