Sous nos foulées comme une danse,
Sur les allées de décadence,
Le temps échappe à nos désirs
Otage de silencieux soupirs.
Je sais que ma conscience enfin
Enivrée de rêves défunts,
Après de lentes agonies,
Me jettera hors de ce nid.
Ne vois-tu pas se déchirer
Ce cœur que je t’avais donné
Dans l’ombre d’un hiver blafard
Livrée à toi nue et sans fard ?
Commentaires
Amicalement
Claire d\'Orée
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