Fabuleuse cité
Engloutie à jamais.
Des abysses inconnus
Bercent de leurs courants
Les mystérieux vestiges
De ton glorieux passé.
Continent de légende
Conserve tes secrets,
L’homme n’est pas prêt
Pour l’immortalité.
Parfois la nuit je rêve
Qu’une île a émergé,
L’Atlantide, fantôme
Des atlantiques eaux,
Surgit tel un vaisseau.
Caryatides éternelles
Aux prunelles glacées,
Vos fronts de marbre blanc
Semblent porter la mer.
Ephémère vision
Es-tu seulement un mythe
Ou le songe brumeux
D’antiques philosophes ?
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