Se peut-il oublier
Ses racines célestes,
L'Arbre choisi des dieux
Que Zeus aime ou foudroie.
De la sève courante
En connait-il l'Essence
Et la claire vision
Au coeur de son silence?
Etend ses branches d'or
Et d'ombre si légère
Sous le banc du repos
Du corps vieilli et las,
Sous l'arche méditante
En ses envoutements
ou mon âme s'émeut
Sous l'Yeuse sacrée!
ANONA
( A mon trés vieux chêne)
Commentaires
Merci pour ton humoristique et charmant apprécié
Sour forme poétique.
Mon plus vieux chêne a 245 ans!
Salus ton noyer (sans t'y pendre trop longtemps)
Pour moi!
Amitié poétique de:
ANONA
montre que racinee valent mieux que erance
moi se fut un noyer ou parfois je m is pendais
noyer ou pendu, pendu au noyer je jouais
mais il est toujours la a me tendre ses bras
et j y reprend des force quand je suis las
tres profond comme les racines de se chene
se poeme mertite bien quelques etoiles pour lui donner un ciel
et je le place sous les pliades
bien a toi
haut le coeur
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