Sous l'ombre d'un arbre feuillu,
J'observais avec calme les nues,
Loin de mes soucis, sensibilité nue,
Admirant les superbes bois feuillus.
Les perles de rosée si pures et limpides,
A l'image des nobles et belles sylphides,
Tombent avec une grâce intrépide.
Par une profonde et aigre mélancolie mue,
A cette heure où le silence règne sur les rues,
Je laisse de mon coeur s'exprimer les cris tus,
Partir le frêle espoir, et ces doux rêves perdus.
Une nouvelle journée se lève, toute vide,
Du moindre regret, de cette peine insipide,
La splendeur de l'aurore chasse l'amertume putride
Commentaires
Merci beaucoup !
S'alanguir et laisser son cœur parler...
(Des rimes répétées à la 1ère strophe...c'est peut-être un choix?
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