Quelle est donc cette ombre qui me broie ?
Qui m'enferme dans cette salle sombre,
A l'atmosphère glaciale et aux murs étroits,
Au secours, je suis dévorée par les ombres !
Mes appels résonnent en écho, vers l'infini,
Le sombre néant terrifiant, le malsain rien cruel,
Ma conscience crie à l'aide, s'effacent les appels.
Peur. Frayeur. Terreur. Angoisse,
Tous ces sentiments terribles effacent,
La moindre lueur dans ce monde noir.
J'appelle désespérement, mais l'espoir s'effrite,
Se brise, se perd, se détruit dans les ténèbres
Dévorantes et avides, me gagne cette fièvre,
Célébration de la solitude et de ses rites.
Solitude
- Détails
- Écrit par Lenia
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Sonnet
- Affichages : 2952
-
Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...
Commentaires
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.