Alexandrin
L'eau des relations
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- Écrit par sherazade17
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L'Eau qui sommeille en tous et parfois nous inspire
Plus qu'une action, un geste envers notre prochain,
L'Eau qui nous fait revivre à chaque heure un destin
Qui, sans lasser, dévoie notre ligne de mire,
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L'Eau de nos relations avec les mondes comme
Un groupe d'enfants purs se chargeraient des mots
Venus vers eux dans l'ombre en cachant leur sang chaud,
L'Eau qui nous fait méprendre un regard aimant d'homme,
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L'Eau qui révèle un corps dans la splendeur des pluies
A celui qui se penche au-dessus d'un pourquoi,
A celle qui s'entrouvre aux grands airs de sa foi,
L'Eau qui porte un miracle en gommant les orgies,
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L'Eau qui nettoie notre onde en dedans des pensées
Aussitôt qu'en demande à sa puissance au coeur
Nous nous changeons en humble et dévoué serviteur
Pour un peuple invisible et vivant chez les fées,
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Mérite plus d"efforts, même reconnaissance
En ces temps fous de haine, erreurs ou désespoir,
Qui viennent aveugler notre désir de voir
Nous faisant tous poursuivre un but qui nous devance !
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Apprenons à soigner nos eaux à l'avantage
De meilleurs échanges, gage d'une santé
Plus à même de croître en nos communautés
Dans tous ses états d'être et... nous serons plus sages...
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Désert crépusculaire
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- Écrit par Traceur-rbx
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Désert crépusculaire, pluie d'étoiles filantes,
Orbes luisants et clairs, et foudres grondantes.
Déchaînés sont les astres de notre fortune
Et vains sont les mots qui de toutes ne font qu'une.
Au-loin vrombit la tempête du temps passé,
Son vent disperse encore mes maintes pensées.
Le sable tournoie, forme des calligraphies.
Les noms de nos aïeux et de nos chers amis
Tournent, et roulent, et s'agitent, et finissent mourant.
Les grains croulent et s'affaissent sous le poids du temps.
Au-loin un Cri abat tout espoir... Le Néant.
Tout ne devient qu'un, et l'unique ne devient rien.
L’enfant gâté !
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- Écrit par Siorg
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Partir pour revenir, le je trop épuisant !
L’égoïste est bien fier et se veut séduisant
Quand face à son miroir il ne voit que l’image
Aux caprices approuvés d’un enfant qu’il croit sage.
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Il feint l’indifférence et veut qu’on le regarde
Dédaigneux à souhait, gentil que par mégarde
Il faut qu’on l’apprécie sans faire aucun effort
Et jamais ne tolère, en nous, de voir l’éphore.
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Quand par pure passion, sa moitié s’abandonne,
L’égotiste amoureux au sarcasme s’adonne
Pour mieux se répandre, lazzis à profusion
Qui dans son grand orgueil interdit l’allusion.
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Adulte il ne grandit accentuant ses frasques
Devenant un démon véritable tarasque
Pour incube pensée de l’infâme intrusion
Qui brûle d’un seul jet toutes nos illusions.
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La coquine
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- Écrit par Siorg
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Toujours un peu présente, elle est là , elle attend !
Chaque jour plus pesante, elle sait, Elle a le temps !
En discrète gourmande, prépare son destin,
Pour au dernier repas… s’inviter au festin.
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Elle nous ronge en douceur sans vraiment se montrer
Jusqu’au jour annoncé où tout est démontré.
Quand enfin défini, l’espoir est permission
Que demain elle reparte en douce rémission
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Diagnostic approuvé, quelques signes ont prouvé.
Le mal souvent surprend pour mieux nous éprouver.
Elle s’attaque au hasard sans vraiment prévenir
Et découvre son plan, pour briser l’avenir.
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La chute du pape (Messe de minuit 2009)
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- Écrit par orbel
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La chute du pape (messe de minuit 2009) Voici donc un Noël gravé dans ma mémoire ; Le père de l’église imite le cancan ! La messe de minuit n’étais pourtant pas noire Mais le pape a levé la jambe au Vatican  La pauvre femme en rouge a sauté la barrière Séparant les chrétiens de leurs religieux ! Et le pape est tombé sur son très saint derrière Tiré par un cerveau des plus litigieux  Elle souffre, en effet, d’un esprit assez libre Cette femme agressive au cÅ“ur de mécréant ! Qu’une folle fait perdre au pape l’équilibre Est drôle mais il est très bien sur son séant  Mais si le sol n’a pas le confort de son trône Le curé pense, lors, qu’il est en son milieu ! Et gloire à ton action, intrépide amazone, Le pape doit, toujours, s’allonger devant Dieu  Mais il n’est pas blessé, voici donc le miracle ! Seule, sa belle robe a mordu les débris ! Et le papa a donné son merveilleux spectacle Face aux pauvres cernés par l’or et les lambris  Et seul , un monseigneur, en ce moment, divague ; Il s’est cassé la tête et le col du fémur , Sans perdre, pour autant, sa précieuse bague Pouvant nourrir plus d’un village dans l’obscur  Mais ce pape, debout, souverain de l’église L’élu de tous les saints et du père éternel Sait qu’un très faible esprit, ce jour, ridiculise Ceux se prenant pour Dieu dès l’heure de Noël  Â
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...