Le vent de l'Orchidée
Depuis tous ces temps passés,
Se sentait seule cette Orchidée,
Pas une lumière pour l'ouvrir,
Pas une goutte pour l'épanouir.
Quand un soir, perdue
Une brise apparue.
Fougueux, ce vent des plaines,
Avançait à toute haleine.
De sa route son souffle sentit,
Un parfum suave, exquis.
L'Orchidée voulait s'envoler,
Dans les bras de cet alizé.
L'entourant de ses courant chauds,
Le vent caressa sa peau.
D'un coup son cœur s'ouvrit,
L'Orchidée et le vent épanouis.
Commentaires
dit on ,qu elles attirent les ogres
un bien jolie poeme
d'envie de boheme
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