Dans le noir tu pourrais choisir l’ultime abus, De faiblesse et de droit.
Il fait nuit.
L’endroit manque de tapis.
Il n’y a pas de place pour la raison quand la passion tue.
Il chante… : Dans les ténèbres ma lumière douce et sombre, séductrice inconsciente et rouge, où s’est échappé ton sourire de nacre blanche ?
Cette dentelle m’éblouie jamais elle ne pourra se salir.
Morceau de chair virginal céderas-tu ?
Ce n’est pas raisonnable c’est au dessus...
Un seul péché désiré par l’indolente.
Faux péché pour une sainte, Être aimé est une lune.
Un cœur piétiné qui ne sera jamais plus irrigué...
Dans les ténèbres et même la lumière elle ose un seul abus. Un fragile inconnu qui fait danser ses mains sur des cordes de soie et des tiges fleurit.
Souffrance à sa vue.
Souffrance à son absence.
Un doigt enchainé d’épines douces et amères. Est-ce qu’il sourit ?.
Et il chante ; Elle aurait pu être pour moi un voile pur et brillant, une main caressante au bord d’un lac noir, un lampadaire dans une nuit de larmes, une vie dans une vie, un espoir dans un jardin de roses caché entre les Chimères...
Seule dans le noir et sans abus, elle a fermé les yeux.