Alors, petit père, le temps a passé le temps s'est cassé déchirer nos moyens. Le silence a brouillé, Sur nos cœurs de la poussière conduite dans nos âmes par un vent froid et lourd. La douleur de la mort semble si loin, et presque irréelle mais inévitable. Alors, mon petit père, pauvre père, Le temps s'efface loin et la mort vous caresse de près... inconnue douce. Silence a brouillé sur nos cœurs, de la poussière dans nos âmes conduite par un vent froid et lourd. Toujours. Temple froid où le soleil pleur.
Silence
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- Écrit par Dame-aux-Roses
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Prose
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
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