e rideau s'est levé devant mes yeux débiles,
La lumière s'est faite et j'ai vu ses splendeurs ;
J'ai compris nos destins par ces ombres mobiles
Qui se peignaient en noir sur de vives couleurs.
Ces feux, de ta pensée étaient les lueurs pures,
Ces ombres, du passé les magiques figures,
J'ai tressailli de joie en voyant nos grandeurs.
Il est donc vrai que l'homme est monté par lui-même
Jusqu'aux sommets glacés de sa vaste raison,
Qu'il y peut vivre en paix sans plainte et sans blasphème,
Et mesurer le monde et sonder l'horizon.
Il sait que l'univers l'écrase et le dévore ;
Plus grand que l'univers qu'il juge et qui l'ignore,
Le Berger a lui-même éclairé sa maison.
Commentaires
Il aurait fallu dire : " L'Igné Feu de l'Idée jette Ses Lueurs pures
Ou encore: " Les feux de La Pensée, ne sont que Lueurs pures
J'ai bien des peines à suivre votre raisonnement ( humanitairement conforme au siècle des lumières ) qui pour moi n'a rien à voir avec la Présence inconditionnelle de la
"Lumière."
Je constate une confusion des genres préjudiciable à la compréhension fort malmenée du grand nombre...
" L'erreur et humaine, encore faudrait-il ne point persévérer aveuglemment dans ses erreurs!
Et c'est le propre des siècles décadents que de vouloir se complaire dans le labyrhinte de
ses propres inconsistances, de sa concupiscence
et de ses facilités...compliquées!
Amicalement et en votre bon entendement soit-il
Ne voyez ici aucun jugement gratuit, mais une certaine expérience motivée par une recherche
sur le sens de la Vie, Sa Cause et ses effets...
ANONA
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