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Au jardin du poète où j’allais me promenant
J’ai découvert en secret les méandres
D’une poésie douce à chaque tournant
Douceur à ravir la belle Cassandre
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Chaque vers est comme la plante offerte
Chaque rime est comme la rose épanouie
Comme sortis des mains d’une fée experte
Mais la rose à l’aurore se sera évanouie
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Sur un banc où planait l’ombre du poète
Je me suis assise espérant son retour
Je chantais ses mots à la sonorité parfaite
Ainsi que le troubadour au pied de la tour
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J’avais fermé les yeux une simple seconde
Et je sentis près de moi une présence
Il était là , me suivit joyeux dans ma ronde
Reprenant avec moi les vers en silence
Â
Puis il repartit doucement comme il était venu
Me laissant de son passage quelque poème
Il n’était plus pour moi un vulgaire inconnu
Mais un ami qui m’avait dit un doux « je t’aime »
Commentaires
Je me suis arrêté un instant
A L'Ombre du Poète et je m'y
Suis attarder face à son chant
De Romantisme doux...!
Amitié d'ANONA.
Jolie métaphore
Tu es trop forte
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