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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 28 juin 2008

Création : 28 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1173

Sur les multiples sentiers de la vie,

Nous marchons encore et toujours,

Certains faciles, d'autres plus abruptes,

Au sommet, parfois, il nous arrive de marquer une halte afin de ragerder en arrière,

Penser, réfléchir faire le bilan de ce qui a été accompli,

C'est là que nous réalisons, comprenons tout ce que pour lequel nous œuvrons,

Il nous apparaît donc logique de poursuivre notre route telle que nous l'avons commencée,

Et d'en apprécier les difficultés et les efforts fournis.

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Écrit par clochette

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 10 juin 2008

Création : 10 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 7773

LE PETIT POISSON ROUGE

 

On vous dit que le Bonheur est simple, il suffit d'y croire.

Mais que se passe--t-il quand vous avez perdu la force de pouvoir

Vous n'avez plus le courage de lui tendre la main

Il est quelques secondes devant vous mais vos le regarder et décider sciemment de lui tourner le dos

A ce stade là vous avez fini de rêver, d'avancer de regarder vers le futur

Vous êtes le petit poisson rouge dans son eau impure

Enfermé dans son bocal qui gesticule sans que personne ne le voit

Le petit poisson rouge raisigné ne rêve même plus des grandes eaux

Il stagne dans son eau trouble refermé sur lui_même

Parfois il n'a plus la force de nager

Car regardant en arrière, se remémorisant bien des misères

Il a peur e surmonter de nouvelles barrières

Seul dans son bocal il se dit" je suis à l'abri" nu ne pourra me faire de mal

Autrefois ce poisson avait de grandes nageoires

Il ne vivait que pour nager dans la paix, aimer

A présent emputé il n'en peut plus on lui a volé ses illusions

On lui a volé par cruauté ses grandes passions

Cruauté de la vie; cruauté des humains

Ce petit poisson s'est trop battu, il est épuisé

Epuisé d'avoir lutté pendant des années

Rochers après rochers il s'est relevé

Plus fort encore il a redémarré

Mais, là il se dit pourquoi?

Pourquoi dois-je me fatiguer?

ce monde est si dur, si médiocre

Le petit poisson est trop pur trop honnête pour avaler la méchanceté

Le destin ne l'a guère aidé ce petit poisson

Il avait pourtant tout pour réussir

mais le destin lui a enfoncé le tête dans une eau noire

Une eau profonde, et son coeur a trop saigné.

Petit poisson blessé ne veut plus lutter

Qu'on le laisse en paix dans son bocal bien à l'abri

les promesses, les projets

Oh combien il en a gobés!!

Mais sortir de quelle bouche?

de bouches remplies de venin, de jalousie

Mais ce petit poisson rouge on n'a rien à lui envier

Oh! si dans ce triste univers

On lu dirait tu as un beau bocal, tu es d'une belle couleur

mais rien de plus, le superficiel!!

vous connaissez? C'est le monde dans lequel vous vivez

Restez-y , le petit poisson rouge n'en veut plus de ce monde

Le petit poisson rouge n'a pas perdu la raison oh! non

Sa tête es bien pleine peut-être trop!!

Il y a plus d'intimité dans l'âme que dans ce qu'une lettre fait penser!!!

Merci d'avoir pris cinq minutes à me lire.

CLOCHETTE

 

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Écrit par Canaillou

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 18 juin 2008

Création : 18 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2389

C’est un monde au Soleil, une belle merveille

Là bas pas de désert ni de bouquets de nerfs

Dans ce bel univers on y oublie les guerres

Et les âmes vermeilles de nos proches étincèlent.

 

Dans cette identité, les nationalités

Malgré leurs différences, n’engendrent pas violence,

Vivent dans le respect en toute liberté

Et les cœurs bienveillants aiment bien les enfants.

 

Ce paisible estuaire n’est pas qu’imaginaire

C’est un monde où je tombe quand la Lune est si blonde

Une douce onirie qui me donne la vie,

M’agite sans répit, mais apaise mon esprit.

 

Ce monde là est à moi, il est peut-être en toi

Il n’appartient qu’à toi de le vivre sous ton toit

Jusque tard dans le soir, alors je peux le voir

Surgir de tout ce noir, l’étendard de l’espoir.

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Écrit par LePaillou1

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 7 juin 2008

Création : 7 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2192

Mon enfance est partie
Envolée, disparue,
Et moi je n’ai rien fait
Rien dis, rien vus,

Au hasard d’un miroir
Quand mon reflet me glace
Que puis je m’attendre à voir ?
Ma jeunesse en disgrâce ?

Mes dix ans sont si loin
Et si proche a la fois……