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Écrit par Cardeal

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 13 novembre 2009

Création : 13 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2695

 

J’me dessine sur l’trottoir

En chantant à nouveau

Grattant sur ma guitare

Un p’tit son d’caniveau

Une musique bien triste

Mais peut-être véridique

Sur un avenir propice

A une p’tite vie merdique

Souvent elle m’interroge

Cette ouverture de fin

Finirais-je dans une loge

Ou crèverais-je de faim ?

Une seule chose est sûre

Je garderais l’âme fière

Marchant dans mes chaussures

Même si c’est le calvaire

Je resterai moi-même

En pensant librement

Dans une vie de bohême

Ou dans un appartement

Apparemment j’suis riche

Même si ça n’se voit pas

J’n’ai p’têtre pas d’boniche

Et d’t’façon j’n’en veux pas

Moi ça me suffit

Je ne cherche pas plus

Du moment que je vie

Avec ou sans bonus

Moi j’ai déjà un toit

Et ça me ravie

Quand j’pense à ceux sur la voie

 

Qui ont juste un caddie

 

Mais Si Demain me Frappe

Aurais-je encore la force ?

Serais-je encore d’attaque ?

Ou signerais-je le divorce ?

D’avec cette vie qui coule

Et qui me fait cogite

A savoir si tout roule

Ou savoir où j’m’abrite

Mais Si Demain me Frappe

Aurais-je encore la force ?

Serais-je encore d’attaque ?

Ou signerais-je le divorce ?

A vrai dire j’n’en sais rien

Et ma tête non plus

Mais ce qu’elle sait bien

C’est que ça n’me quitte plus…

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Écrit par lonesomemao

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 21 octobre 2009

Création : 21 octobre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

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EN VUE

En vue d’éventuels attentats, un poète en vrai terroriste des mots rechercherait une ou plusieurs bombes sexuelles

mercredi 21 octobre 2009

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Écrit par Clo

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 3 novembre 2009

Création : 3 novembre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2369

Si c’est d’un coup de cœur que naît le grand amour

Il n’est de coups au corps de tolérable un jour ;

Quelque soit la raison de cette divergence

Nulle femme ne doit accepter cette outrance.

Il n’est aucune excuse, encor moins la passion

Qui puisse justifier la moindre « correction ».

Vivre seule vaut mieux que mal accompagnée :

Fuir immédiatement qui vous a humiliée.

Celui qui frappe un jour, cognera à nouveau

Et le prince charmant se transforme en bourreau.

Réagissez Madame, soyez vaillante et fière

Plutôt que vous soumettre à votre tortionnaire

L’amour n’est que douceur, deux êtres en symbiose

Qui ne peut tolérer l’empreinte d’ecchymoses.

Dénoncez et quittez sans le moindre remord

Un compagnon violent… Echappez à la mort !

 

Claudie Becques (31/10/09)

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Écrit par Siorg

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Pensée

Publication : 4 octobre 2009

Création : 4 octobre 2009

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Amour

 

 

 

Tu es l'écrivain de nos nuits

 

L'ambassadeur de nos envies

 

Le prédateur de nos ennuis

 

Le guide de notre vie