On a grandi cote a cote,passé de longue soirée
Toi, aussi masculin que moi, sur toi j ais pleuré
J ais ris aussi ,avec toi j ais rêvé , eu peur aussi
Et tête a tête , se rassurer ,a personne ne l ais dis
Ce soir ,je n étoufferai pas mes cris:je t’aime
Ta chaleur ton odeur,ta douceur de plume
je te rejoint le soir, lourd comme une enclume
Et déteste quant au matin, je te quitte ,blême
Ce soir je me moque des langues de vipères
Et toujours j enfouirai mon visage en ton sein
invoque les dieux pour qu’a jamais tu sois mien
Ha mon oreiller vieux et déplumé par la misère
Commentaires
et de syphide la douce plume
je ne peut etre plus honoré
merci de vortre interet
je suis toucher......
mais la mefiance reste de mise sur les confidances sur l oreiller
Merci pour cette note d'humour.
alors regarde le comme un frere ;)
effectivement ça n aurai pas etait faut
le vers en aurai etait beaucoup plus beau
mais mon en aurai pris un coup mon ego ;=))
Imagine, que tu es fini par: ( Avec toi dans mon lit, mes rêves prospères )
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