lorsque viennent les heures sombres de la nuit
je hante les pièces une a une,sombre dans l ennuie,
mes chaines ne font point de bruit ,fantome de solitudeÂ
ne tourmente que mon ame,déambule sans attitude
quand vient la fatigue,de cette promenade inutile
je stagne devant cet ecran,instants futile
comme une plante verte offerte a la lumière
artificielle, dans ce monde de pauvre hère
seul ,on le reste et on se meurt
seul,ainsi privé d âme sœur