Oh! Belle saison enchanteresse.
Ton vent venant des Alysées me caresse.
Al a plage étendu sous le soleil je lézarde.
La sieste sous le Figuier me retarde.
Le soir sous la moiteur de la nuit.
Je me promène pris d’insomnie.
Les jeunes gens dans le square voisin.
Chahutent en se tenant par la main.
Les amoureux se promènent dans le sous bois.
Le grand-père surpris par un chien sournois.
La maman promène son bébé dans la fraîcheur.
Dans sa barque sur le lac somnole un pécheur.
En fin d’après midi sur la place du village.
Les hommes se réunissent pour une partie de pétanque.
Les femmes assises sur une chaise en regardant se délient la langue.
Les enfants sur le terrain voisin s’amusent et font du tapage.
Les travailleurs plient leurs bagages.
Pour se détendre, ils iront à la plage.
Certains vogueront sur les flots bleus.
D’autres feront des randonnées sous un soleil audacieux.
Puis arrive le mois de septembre aux jours raccourcis.
Après ce prélude apprécié L’esprit engourdi.
Les vacanciers d’hier reprennent leur activité avec du vague à l’âme.
Ils se bousculent dans les trames.
Ainsi ce termine une saison.
Que nous affectionnons avec passion .
La routine quotidienne prend le dessus.
Les hommes revêtent leur pardessus.
Bernard Perez.
Commentaires
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.