Afffffrique, Affffffrique excuses cet éternuement,
De ce continent il n’y a plus de chaleur assurément
La mort se répand et ces corps glacés me rendent malade
Sorry, désolé si ce texte n’est pas une ballade
Afrique, Afrique, on te vole tous tes biens
Homme blanc au rang dégoutant ne laissera rien
Achat de dictateur, t’as vu mon gros baril
C’est pour moi, dollar contre pétrole facile
Afrique, à fric ta pompe n’est pas si funèbre
Elle permet à certains de sortir des ténèbres
Ton ventre est si riche, que ta peau en est malmenée
Ces hommes vont t’épuiser encore combien d’années
Afrique, Afrique jadis berceau de l’humanité
Si jeune et si vieille, tant d’enfants tu as accouchés
Longtemps vierge tu es restée pour le blanc
Le noir te vas si bien, qu’il te suffit comme enfant
Afrique, Afrique, envers toi j’ai une dette
Tu m’as donné un grand coup de vent dans la tête
Je n’oublierai jamais avoir foulé ta peau rouge
C’est sûr, ça me rappelle quelque chose le noir et le rouge
Afrique, Afrique, quand tes enfants vont-ils se révolter
Manger Foutou, ablo, mafé c’est fini, il faut lutter
Unissez-vous mes frères contre ces dictateurs
Unissez- vous mes frères contre ces blancs corrupteurs
AnnankeeÂ
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