Fatigué par les pleurs
Fatigué par les cris
Fatigué tu m’as averti
Pense a toi
Pense a moi
Pense a nous
Oh toi que je ressens
Dans mon corps descendant
J’ai tiré, usé, brusqué, abîmé, desséché
Ce corps que Dieu m’a donné
Tes os, tes muscles et ton cerveau affaibli
Mais ton cœur lui ne c’est pas aigri
A force de porter la croix des êtres opprimés
Le mien aussi c’est effondre
Mais j’entendais cette voix au fond de moi
Arrête de t’apitoyer le plus dur n’est pas de tomber
Mais de se relever avec cette force de continuer
Demain un nouveau jour se lève
Cette fois j’ai bien compris la leçon
Et je te demande pardon
Commentaires
qui dégage une odeur de battante, si si , regarde bien, les trois premiers vers, sont le bouchon :idea:
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