Â
LA FEMME QUI SAIT ETRE MAY
Une femme m’a tellement troublé
Qu’elle m’est apparue comme cette diablesse créative
Qu’est la véritable féminité
En voguant avec un sourire ample et décontracté
Dans l’ère de sa révolutionnaire légèreté
Et sa beauté mature a su définir
Une espérance de son universalité
Qui me fait dire
Qu’elle sait être May qui fleurit coloriée
Son prénom d’artiste qui est Mathilda
Me fait penser à ces soleils de la Méditerranée
Quand elle est la luxuriance qui éclot
Chauffant les cœurs du Tout Paris
Elle qui peut venir d’ici ou de là -bas
Quand en star qui veut s’assouvir
Elle veut se ressentir
Comme la poésie qui exulte
Dans une hérésie merveilleuse
Une femme qui a l’art d’être May
En Mathida faite de liesses spontanées
M’a tellement subjugué
Que d’un instinct sauvage et sensuel
Elle m’initie dans l’évidence d’un espace libéré
jeudi 22 octobre 2009
Commentaires
Bel hommage !
Clo
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.