Parler et puis encore parler
C’est le propre du chimpanzé.
Puisque l’homme en descend
Il doit le faire certainement .
Entendre puis entendre ,
Cela permet de comprendre.
Puisque l’homme a des oreilles
Il doit pouvoir faire pareil .
Pourtant il y a des sourds
des muets et des balourds
qui massacrent le bon temps
sans vergogne au fil des ans .
Au bal des crétins
L’homme n’est pas loin
Il parade très fort ;
Mais n’aime que l’or.
De galions en galères
Il court la misère .
Pour apporter le mal
Et tuer l’autre , l’animal .
Par pour manger
Mais pour respirer
L’odeur de la mort
Et la danse des corps .
Il est donc très fou
De renifler les cailloux .
Alors que le parfum des fleurs
Brille d’un éclat de bonheur .
Il n’y a que certains
Qui ont le don des mains
Ils arrivent parfois à embellir ,
D’une pierre faire un menhir .
Des mots, ils font des images
Et remplissent quelques pages
Des rayons du vrai monde
Ils nous ouvrent la ronde .
Merci encore frères humains
De bien vouloir donner à voir ,
D’un geste beau et dérisoire ,
Les ombres blanches du matin .
Commentaires
Bonne journée, Sylphide :kiss:
Bonne continuation
Au plaisr de vous lire
Marie
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.