Vraiment pas dans la liste

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J'ai parlé de la vie

J'ai parlé de la vie,
Sans connaître ta présence
J'ai parlé de l'amour,
Sans connaître ta voix.

J'ai parlé du désir,
Sans connaître tes mains, ni ta bouche !
J'ai parlé pour ne rien dire
Et je me suis tu.
Mais où étais-tu ?

J'ai parlé du bonheur
J'ai laissé parler mon cœur
Ais-je tort ?
J'ai parlé du corps
De nos corps enlacés
Ais-je tort ?

J'ai parlé de l'esprit
J'ai parlé de douceur et de bonté
D'amour et de charité
Alors tu m'as accueilli
Ais je failli ?

Puis ! J'ai parlé à nouveau
A mon cœur seulement
De mon amour impossible
De l'homme en somme !
De la vision que j'en ais
De nos vies parallèles
Plus rien n'est désormais pareil.


J'ai parlé de la vie,
J'ai parlé de l'amour,
J'ai parlé du bonheur
J''ai parlé du corps
Ais-je tort ?


J'ai parlé de l'esprit
J'ai parlé du désir de lui
De mon amour impossible
Ais je failli ? Eu tort !
Je me suis tu
Plus rien n'est désormais pareil.


Rdessauvages©22.09.2006
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J'imagine !

J'imagine : de pouvoir vivre dans.

Un endroit de joies et de beautés.
Un monde de pureté dont les gens ne pourraient que s'aimer.

Un
jardin rempli de fleurs, de lumières.
Un m
onde de regards ensoleillés.



J'imagine que mon monde soit éternel.
Comme la vie serait belle.
Chaque personne parlerait d'une voix douce.

Au d
elà des frontières
Les gens
s'aimant tous.


J'imag
ine ce monde sans guerres.
Toute c
ette paix sur cette terre
.
Plus un
e tache de sang qui salit nos terres, nos vêtements
.
Nous se
rions frères né d'un même
père.


J'imagine nous tous réunis mains dans la ma
in.
Avec
le regard de ces êtres hu
mains.
Qu
i n'auraient plus de chag
rins.
A
Ce jour et pourquoi pas demai
n.


J'imagine un instant si les grands de ce mo
nde.
Nous écoutaient, nous les vagabonds de la pa
ix.
Le
s mendiants de la charité, de l'amour et de frate
rnité
Au lieu de déclarer des guer
res.
S'ils décidaient d'une vraie paix sur notre terre
.


J'
imagine! Je vous en prie, pensez comme
moi.
Nous aussi nous avons des droits.

Ces
politiciens entendraient nos voix.
Si
nous déclam
ions cela.
Im
aginons qu'ils comprennent notre cho
ix !


J'imag
ine qu'ils enlèvent toutes leurs loi
s.
Oh ! Que c
ette vie serait belle. S
ans haines.
S'ils entendaient nos app
els.
Qu'ils
comprennent enfin que leur monde est
fini.
Comme
cette vie serait belle à
l'infini.
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Cet après-midi !


Cet après- midi
Sans que je m y attendais
On m'a téléphoné
De I' entrée du paradis.
M'ont il dit.

Si, si je suis en contact avec eux!
Par le canal du 28.
Même s'il y a beaucoup
D'interférence de mon coté
Ont-ils précisé.
Un voyage a condette ?
Devrais rendre cela plus net.

L'archange
S'inquiété d'avoir perdu.
Leur plus bel ange !
Ces collègues m'ont demandé
Si je l'avais rencontré.

On m'a fait promettre
De dire Je t'aime
À cet ange
Si je le voyais.

- Je t'aime- !
Que cela soit dit
Et sois sans crainte,
Je ne t'ai pas dénoncé.
Mais je vais te gardé jusqu'à
Que je sois transformé
Et qui sait ?
De te rejoindre
Dans ton éternité

Rdessauvages@ 2007
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Dictophonie.

Tout par amour
Rien par la force

Rdessauvages© fév. 1952-nov. 2006

Http://robie.blogourt.fr


Dictophonie.

Quel drôle de mot !!! Inventer pour moi par un pote psychologue latinisant.
Dicte du latin dire un peu comme un dictionnaire !
Phonie comme entendre ! me dit Benoit.
A qui j'ai parlé en fraternité de ce texte.
Répéter les mêmes mots vite constamment. D'après leurs dires !
Aux lecteurs de M'éclairer ?? Là-dessus !
Mot inventer pour mon cas peut être ? Mot mal dit ou mal transmis, mal compris !
Surement ! Aller savoir.

Robert me dit'il tu parle sans écouter ou plutôt sans écouter le répond jusqu'au bout.
Tu déballe tout d'un bloc sans respirer.
Par peur de ne pas tout dire ? d'en oublier ! Besoin de redire, peur que nous ayons oublié. Besoin D'être écouter mais seras tu entendus ?

Moi qui te connais mieux que d'autres ! Je suis constamment obliger d'attendre pour que tu me dises l'essentiel !
Ce que tu veux me dire à l'instant tes soucis, ta peine.tes joies, ton bonheur.

Nous sommes Amis, compagnons, Frères ! Je te connais mais et les autres ?
Pense un peu à eux.

A l'image négative que parfois tu donne ! Comment peuvent il t'approcher, te connaître
Toi uniquement ton toi.
Pas l'image que parfois tu transmets, au point que l'image reçue même positive est fausse.

Tu n'es pas constamment comme cela. Parfois, souvent lorsque tu va mal. Canalise, respire.
Je te vois en progression et récession constamment.
Je souffre pour toi, le peu que tu me livre dans tes instants de paix me font avancer vers toi et m'apprenne à t'apprécier et t'aimer et a ne pas te fuir.

N'ais je !-Pas inventer pour toi la meilleure définition de toi !! Tendre comme un bonbon ! ! Tendre comme un chamallo que les ricains font fondre au feu de bois.
Tendre chamallo t'ais je dis.
Mais chamallo dans un bloc de béton.

J'écoute, j'entends mon ami, mon compagnon. Mais frère !! Comment ne peux-tu savoir ma souffrance.
Heureusement que nous ne sommes pas dans le cadre de ton travail !!
Je demanderais le remboursement.

Tu riras lorsque tu liras la traduction retenue de ce mot.
Je connais déjà la réponse que je te donnerais. J'ai la maladie d'alzei-bebert.
Perte de mémoire, l'âge, la cigarette.

Tu riras et répondras ton mal être peut être ? Surement !! .
Tu riras et paraitra aussi surpris que moi de ma réponse.
Je t'ai entendu frère, d'autres frères me l'ont dit, toi-même ? Ne dis tu pas que lorsque que j'acquié Quelque chose je l'admets et ne reviens plus en arrière ou très rarement.

D'autres frères par leurs surprises, leurs dits ou colères leurs mécontentements.
Rarement méchamment, mais aussi par crainte ou peines de moi, me l'ont dit.

Je pense a Philippe, jean pierre, Michel, louis, Jérôme mes frères et Lionel Qui m'a amené aux bords des larmes, Gabrielle, Anne, Gisèle, Cécile Christiane ah ! Ma miss café, même a Lourdes son café sentais bon l'amour, la charité, l'espérance, la foi.

D'une fraternité différente de la mienne. Mais frères et sœurs aussi important à mes yeux que mes frères et sœurs de ma fraternité plus discrète. Je pense aussi a Pierre a son mal être, que je pense a torts peu être avoir ressenti mais la nous en parlerons ensemble s'il me fait l'honneur de vouloir en parler.

Bien sur de cette fraternité la j'en ai oublié, pas le temps de tous les citer, ni l'envie.
Dois-t'on tout écrire ? Ceux qui sont dans mon cœur. Non je ne le pense pas ceux qui ne se verrons pas inscrit sur cette petite liste savent bien que je les portes au plus profond de mon cœur.
N'es-ce pas Bernard, manu, isabelle, jean Laurent, coco, Rachid, Thierry, Roselyne et tous ceux qui tournent autour ou dans le 28 et l'église st Vincent.

Sans oublier celui que souvent l'ont me dit préféré par rapport a qui ? Ou a quoi ?je ne sais pas ?
Je pense à mon ami et frère benoit. Ah ! Benoit comme je ne regrette pas d'avoir dit je t'aime dans la basilique st pierre, toi tu approchas ce jour la de très prés mon moi intérieur.

Ben non je ne suis pas plus capable d'aimer l'un plus que l'autre.
J'aime ou je ne n'aime pas, le pire pour moi étant l'indifférence. Il y a peu de gens qui m'indiffère, peu que je n'aime pas, mais parfois je suis comme je suis béton armé cela ne dure pas longtemps.

Benoit je ne pense pas que j'oublierais de sitôt cet instant de joie et de bonheur intense reçu ce jour la, a toi, pour lui je me suis livré. Pour moi, pour lui. Lui pour moi.

D'autre frères de mes fraternités car j'en connais Beaucoup de ces enfants de la terre qui auraient eu autant de joies, que nous avons reçu ce jour la, d'être à coté de nous. À vivre cet instant.
D'être ensemble frères et de se retrouver Sur les mêmes buts ou la même foi selon les différences de chacun, quel moment de fraternités et d'amours comme je les aime.

Ne serais ce ! Que ce frère prêtre donnant l'hostie, et venant a nous quel fut sa surprise de me voir, non pas par l'insigne que je porter a mon cou comme par provocation.
Non de la surprise de me voir la, n'a t'il pas lui la chance d'être des deux fraternités que je connais.
Je n'oublie mes frères et sœurs de ma fraternité, mais permettez moi d'être discret la dessus pas par manque de confiance ou de respect.

Je suis ce que je suis ! Avec mes propres règles, nos règles de fonctionnement ; a chacun de nous Le droit de dire ou ne pas dire.


Et pourtant, je connais ces frères indépendamment des autres. Ils ne sont pas différent des uns et des autres tous me disent, tu écris bien mieux que tu parle.


Nos différences

En quoi sommes-nous différent ?
Dans la pensée, dans notre méthodologie de notre pensée, ou notre façon d'être ?
Eh Bien oui ! Et heureusement que cela soit possible !
Imaginez donc frères, un monde sans différences, sans odeurs, ou couleurs différentes.
Ou Tous, Aurions la Même Pensée, unique, soit pareilles a la tienne, a la mienne,
À la votre, a la Notre !
Quel monde fade Ennuyeux, stérile de cette pensée unique !
Ont me dit volubile noyant de paroles les gens, mais oui tel st jean la écrit.
AU COMMENCEMENT
ETAIT LA PAROLE
ET LA PAROLE ETAIT
N'ais je donc pas la parole ? Parlerais-je donc trop, prenant ainsi la place d'un autre ?
Ne sommes nous pas fils comme toi de Dieu, dois je donc me justifier sans cesse de parler ?
D'exprimer ce Mal être en moi, pourtant il me sembler bien que ce fut l'endroit pour cela,
Non ?
En quoi suis-je différent des autres !
J'essaye d'appliquer ces principes.
Honore le Grand Architecte de l'Univers.
Aime ton prochain.
Ne fais point le mal.
Fais le bien.
Laisse parler les hommes.
Le vrai culte du Grand Architecte consiste dans les bonnes mœurs.
Fais donc le bien pour l'amour du bien lui-même.
Tiens toujours ton âme dans un état pur pour paraître dignement.
Devant le Grand Architecte de l'Univers.
Aime les bons, plains les faibles, fuis les méchants mais ne hais personne.
Parle sobrement avec les grands, prudemment avec tes égaux, sincèrement avec tes amis,
Doucement avec les petits, tendrement avec les pauvres.
Ne flatte point ton frère : c'est une trahison.
Si ton frère te flatte, crains qu'il ne te corrompe.
Écoute toujours la voix de ta conscience.
Sois le père des pauvres: chaque soupir que ta dureté leur arrachera augmentera le nombre de
Malédictions qui tomberont sur ta tête.
Respecte l'étranger voyageur; aide-le, sa personne est sacrée pour toi.
Évite les querelles; préviens les insultes, mets toujours la raison de ton côté.
Respecte les femmes; n'abuse jamais de leur faiblesse et meurs plutôt que de les déshonorer.
Si le Grand Architecte te donne un fils, remercie-le, mais tremble sur le dépôt qu'il te confie !
Sois pour cet enfant l'image de la Divinité.
Fais que jusqu'à dix ans il te craigne, que jusqu'à vingt il t'aime, que jusqu'à ta mort
Il te respecte.
Jusqu'à dix ans, sois son maître,
Jusqu'à vingt ans, son père,
Jusqu'à la mort, son ami.

Pense à lui donner de bons principes plutôt que de belles manières ; qu'il te doive une droiture
Éclairée, et non une frivole élégance.
Fais-le honnête homme plutôt qu'habile homme.
Si tu rougis de ton état, c'est orgueil ; songe que ce n'est pas ta place qui t'honore,
Ou te dégrade, mais la façon dont tu l'exerces.
Lis et profite ; vois et imite ; réfléchis et travaille,
Rapporter tout à l'utilité de tes frères,
C'est travailler pour toi-même.
Sois content de tout, partout et avec tout.
Réjouis-toi de la justice, courrouce-toi contre l'iniquité, souffre sans te plaindre.
Ne juge pas légèrement les actions des hommes, ne blâme point et loue encore moins;
C'est au Grand Architecte de l'Univers .qui sonde les cœurs à apprécier son
Ouvrage.
La concorde grandit ce qui est petit.
La discorde annihile ce qui est grand.
Voila ma pensée.
Elles ne vous déshonorent en rien, elles ne vous offensent en rien.
Je suis ce que je suis.
Tu es ce que tu es.
Dieu nous a fait ainsi, cela est son choix.
Ont peut penser que je change cela est vrai, apaisé, je redeviens celui que j'étais.
Comme toi un homme de biens.
Paix sur la terre des hommes de bonnes volontés.
N'avons-nous donc pas de mêmes principes ?que ceux dicter par Dieu !
Celui si ne les a-t-il pas inculqué a son fils, descendu sur terre nous les annoncés
Ne nous a t-il pas donnés à tous ? Ce fils tant aimé !
N'avons-nous pas en commun la pensée suivante pour son prochain !
Je suis contre tes idées, mais je me battrais pour que tu puisses les exprimées !
D'un voyage organisé par une autre fraternité !
N'aurions-nous donc rien à en retirer ?
D'un prochain projeté devrions-nous ne pas y aller ?
Rien à y trouver ? Que nenni mes amis ! Cela ne doit pas être notre avis.
Dieu n'est il pas la bas ? Aussi !
A chacun son chemin de sa foi ! Qui de nous peut dire qu'il ne la trouvera pas la bas !
Pas toi, pas moi, pas nous, pas vous. Nous sommes frères sur cette terre.
Tous découle de ce grand architecte jusqu'aux moindres insectes.
Tel est l'essence de notre foi chacun de nous préservons nos différences,
Nous avons tous Ce fils en nous.
Il me fallait écrire cela, Et clore ainsi ce malentendu.
Fraternités à tous
Rdessauvages© 14 juin 2006.

Voila mon problème et je comprends maintenant ce que voulais mon frère psycho.
Il me connaît bien plus qu'il n'a voulu bien me laisser entendre, même élévation que mon frère Francis que je cite parmi tant d'autre.
Je sais qu'il approuvera que je cite son prénom.

Toujours a m'amener à réfléchir lancer le chemin et attendre que j'aperçois et prenne la bonne route et sourire lorsque je raconte mon voyage en moi. Qu'ils ont raison de dire que les meilleures choses dites sont d'abords écrites.

Puisqu'ils pensent ! Que j'écris mieux que je ne dit mes peines. Je prends donc mon clavier à défaut de plume pour dires mes maux.

Mes mots soignent mes maux dit mon ami psychologue qui entre parenthèses ne m'a pas comme client chose que moi j'ai toujours refusé.

Et lui dit que cela est inutile que j'ai la force en moi, à moi de voir en moi.
Bébert me dit'il constamment, tu es capable de défendre les idées des autres, d'aller seul au tribunal des prud'homme et de faire fi de ces avocats pompeux, sur d'eux même.
Mais dés que cela touche toi ou les tiens tu te bloque et devient tel, un enfant perdu.
Ne m'a tu pas battu devant ce tribunal. Défendant une employée qui se defender de moi.

Sans jamais citer un texte de loi, rien que de l'amour de l'autre de la justice et de l'homme.
J'étais furieux d'être battu sur mon terrain, et toi gentiment tu m'as offert un café.

Tranquillement et le plus simplement, a ta manière tu m'as dit que la justice du cœur était la plus forte. Je t'ais demandé est tu croyant ? La je t'ais vu te refermer, comme tu sais le faire dés que l'ont aborde ton moi intérieur.

Finissant la conversation, tu ajoutas comment un conseiller prudhommal ! Pourrais reconnaître qu'il ne connaît pas lui-même le code du travail.

Personne n'aime reconnaître ces faiblesses, reste à leur parler directement de cœur à cœur.
La j'ai entendu ta réponse, et deviné ta souffrance. Quelle Fu ma surprise lorsque me découvrant, tu me donnas les réponds, puis de la stupeur je passai a la joie de toi mon frère.

Quand arrêteras-tu d'écrire mettant un voile sur tes propres écrits. Bat toi !

Ecrit comme tu ressens, livre toi n'écris pas rose lorsque t'on cœur dit rouge. Ne survole pas tes peines mon frère. Marque tes maux par tes mots. Et tu mettras ma profession au chômage.

Comment parler directement de soi en disant Je ! Pas facile. Esce utile ! ?
Comment ne pas passer pour un prétentieux, déjà par le passé lorsque je m'ouvrais et que je disais ce qu'il m'était 'arrivé. Sans rien déformé ou ajouter. Immédiatement
Je voyais la surprise, le doute, puis le regard de l'interlocuteur changé.
L'incroyable devenais mensonge. Moi qui ne voyais que le destin, certains y voyaient la main providentielle de Dieu. D'autre l'affabulation. L'idée de mon site internet a jaillie de la,
Écrire l'impensable et prouver, comme dans les écritures, l'homme a besoin de preuves
Tel thomas, mais je ne suis pas job.

Comment dire ces maux par des mots, partir de ou ? Pour aller ou ?raconter quoi déjà mon site tourne correctement n'a-t-il pas ce jour vingt novembre 2006 deux mille cinquante six visiteur sans compter mon blog quatre cent cinquante et le dernier site blogourt plus de cinq cent cinquante soit un total de trois mille cinquante six visiteurs a ce jours. Ces site ayant été mis en route à la mi-août de cette année 2006. J'y ais déjà mis tant de texte de moi.
Décrivant mes peines et mes joies.

Bon d'accord c'est pas mal pour un amateur, de plus mes écrits en patois sont dans la mouvance actuelle. Retour sur la valeur régionale, voire municipale.
Mais au delà de cela comment dire, comment commencer.

Par ou par quoi ?
Partir du passé vers le présent. Du présent vers le passé écrire comme cela me vient en français ? En picard !
Mettre ou ne pas y mettre des clefs ? Voila la question, les questions ?dire Je ? Ou écrire lui ?
Dire ces souffrances en écrivant cela, de suite me vient à l'esprit le seul mot qui cache cela celui que je n'ose aborder.
D'autre Mots cachent celui la, tendresse, affection, passion, ce mot qui est caché par mes maux est connu depuis l'aube des temps ce simple mot est

Amour.


Je souffre de l'amour des miens, d'elles, d'eux de moi, de lui.
J'emploi le pluriel volontairement.
Car l'amour peut prendre plusieurs visages, plusieurs mots et plusieurs maux.
Voila c'est écris enfin directement. Je sens le danger, si je suis lu, les personnes concernées se reconnaîtront. Je crains de les perdre un peu plus. Ces maux sont père mère frères sœurs vous, nous eux moi, lui.

Que du banal en somme, rien de neuf, rien d'inventer c'est comme la depuis la nuit des temps.
En rien je ne suis différent des autres. Je !!!! Je ???? Je, Nous, vous.
Ecrire avec la crainte de ne pas être compris, juger, être pris pour un faible, es-ce faiblesse d'aimer non. Amour est force en moi, faiblesse aussi, voila mes mots source de mes maux.

J'aime aimer et je souffre de l'amour des miens aucun reproche que des maux à dire
Je souffre de l'amour de vous. Je souffre de l'amour de lui. Que de Je.

Aussi loin que je me souvienne j'ai toujours eu une bonne mémoire photographique, enregistrant les événements sans les comprendre. Gardant, enfoui au fond de moi les faits, et gestes des miens. Les analysant au fur et à mesure que je grandissais et que s'installer en moi la compréhension des faits.
Surprenant souvent ma mère demandant d'où je sortais cela, de moi Maman que de moi.

Te rappelles-tu du petit lit blanc de Bernard ? Moi oui. Il était à barreaux blanc en fer peint blanc comme a l'époque. Bernard est mort de la diphtérie né en 1953 il avait quelques mois
Né en 1952 moi quelques mois de plus. Ne t'ais je pas dis ! Avec mes mots.
A plus juju (petit Jésus) Moi juju à papa.
Ce fut mes quelques premières paroles. Tirant des larmes de mon père, ton homme.
Amour besoin de votre amour. Point de jalousie envers Bernard normal que ce père privilégie Bernard celui-ci était mourant. J'aurais fait la même chose ! Premiers prémices de mon futur moi ?

Je ne sais dire même maintenant. Ce frère me manque, de le connaitre lui parler, le voir, savoir qu'il a existé me peine. Pour moi il est Amour Sa présence me manque.
La tombe est dans le cœur des vivants. Tant que je parlerais de lui, ou j'écrirais son nom il vivra.

Cela n'est pas différent pour Nicole bien que plus vieille que moi. Même maladie même effet la mort. Même manque.
Qu'ont il fait ! Pour partir aussi vite que venus rien. Sais tu Moudre que lorsqu'il manque un raisin de la grappe cela ne me va pas.
Mes frères musulman disent mektoub (le destin) que Dieu, à tracer leurs destins que tous est déjà écrit.

Jeune femme de 22 ans déjà tant de misère déjà mère souffrance. Pense tu que je n'ais pas entendu très jeune raconter, que ma belle grand mère deuxième femme du père de mon père mettais un tonneau devant l'accès par lequel tu voulais prendre de l'eau pour soigner ton enfant mourant Nicole.
Très jeune j'ai entendu tes propos Amour de toi Indifférence d'elle. Vite compris l'indifférence de moi de sa part. Préférant le gosse du voisin.

Nous étions ensemble lorsque mon grand père se vis à moitie sortie de sa fenêtre par toi. Lorsqu'il dit De toi, que tu étais fainéante, notre père t'avait acheté un aspirateur.
Amour de toi indifférence de lui. Jusqu'à leur mort recevant ce qu'il avait semé au plus profond de moi.

Ne suis-je pas la somme de vous, d'eux !! Indifférence d'eux. Compréhension de lui du père.
A chaque naissance d'un frère d'une sœur, séparation placé ou vous pouviez peines de toi de lui.
Joie d'un nouveau raisin ? Peines de la séparation des vendangeurs. Amour de vous.
J'ai transcris en rose ces maux. Aujourd'hui je n'ais qu'amour de vous.

Jeune femme pliant sous la charge de trop d'enfants, mari trop souvent absent.
Même pas coupable lui-même, n'ayant rien reçu, comment pouvais' t'il ; donner.
Je ne sais pas ? Je comprends n'ayant rien reçu d'eux comme petit fils que pouvait-il donner au fils.
La vie vous a malmené j'ai été malmené, aucuns reproches que des cris de souffrances.
Avez-vous entendu ma souffrance parmi ces raisins ? Écouter ma différence !
Je suis vous. Je viens de vous De ce que vous avez de meilleur en vous. Amour.

La vie ne vous a pas été facile ! Mal préparé ok ? J'admets !mais pourquoi m'avais vous fait !
C'est comme ca personne ni peut rien Mektoub.

Le temps passant ma colère s'apaise, de mes souffrances est sorti. Amour de vous, compréhension. Je prends le chemin du pardon. N'ayant rien reçu eux même que pouvais t'il vous donner ?? Rien ? Il faut bien justifier. Raisons donné.

Voila mes écrits Moudre message que je voulais te donné est il trop tard ?me dira tu ces mots que j'attends depuis si longtemps. Je les sais enfoui au plus profond de toi.
Je n'en doute pas ! Me laisseras tu partir ou partiras tu sans me les dires ?de tes souffrances et des miennes sortiront ils ces mots base de mes maux Bébert je t'aime.

Femme

Jamais femme.
Homme n'a déclaré !
Aussi fort sa flamme.

Laisse sortir de ta bouche ?
Les enfants du verbe aimé.
A cet homme,
Femme !

Sorti de ta couche !
Jamais femme,
Homme n'a été aussi
Désespéré de t aimer !


Aimer cet homme qui ose ?
Ainsi déclarer sa flamme,
Oh! Femme !

Devrais être facile
Depuis le temps
Qu'il T'appelle !
Maman.

Rdessauvages© 30 04 2004



Mon père, mon visage.

Un seul instant Dans sa vie
Il m'est apparu
Comme mis à nu !
La vie y avait buriné de larges sillons
Comme tracé au crayon !

Qui témoignaient
Des années passées !
A travaillé
essayer de survivre sur cette terre
A se battre !
A nous sortir de la misère.
Mes yeux y ont découvert toute la beauté
De cet homme,
De cet humain, de mon père,

De ce frère !
Peut être mes yeux
Ne l'ont pas regardé !
Là où d'autres l'on fait.

Ma vision de cette peau vieillie
Par le temps
Avait l'apparence d'une vision lunaire
paysage dénudé de toute beauté
Deux yeux !
Deux cratères !
D'une vie a trimé.

Comme une sonde
Je me suis introduit
Au plus profond de lui-même
j'y ai découvert un cœur
Le sien !

J'ai fermé les yeux,
Une seconde
Cela a suffit,
Pour me faire réaliser !
Qu'il me manquait
Que ce visage, serait le mien !
Dans très peu de temps.

L'exclamation !
Qu'il avait poussée près de moi
Lors de son trépas
M'a fait comprendre combien
Doucement la vie s'éloignait de moi

Combien d'années me restent-ils ?
Avant de prendre moi aussi ce visage
De susciter aussi la même expression ?
Dieu seul le sait dit' on !
Qui se poseras la même question. ?
Probablement mon enfant !
Et les siens
Et tous ces frères qui sont les miens.

Rdessauvages© 11 .06.2006



Dois-je ne me rappelé que des coups recul de toi, de lui. Physique de toi.
A l'âme de vous deux. Non cela serait trop affreux ! Personne ni peut rien, il ne me reste que toi.
De toi j'attends la paix de mon âme !
Paix ? Que toi-même n'a pas reçu comme Papa, la fatalité n'existe pas. N'ais- je pas rompu la chaine ? Amour de vous. De toi.
J'ai reçu de toi plus que tu ne crois. J'ai tes qualités, ne me laisse pas tes souffrances.
Je n'ai qu'amour de toi.

De qui crois-tu ? Que je tiens le courage de travailler, la passion de lire, d'écrire.la propreté, la générosité, le respect de l'autre, l'envie de vous, ma famille et tout le reste qui est en toi.
Comme en moi. N'est tu pas arrivé quatrième au certificat d'étude sur le département à douze
Ans. D'ou crois tu que je détiens la, passion des mots, de toi ! Non ce savoir que tu as reçu n'est pas perdu, il est en moi.

La vie n'a pas été facile pour toi, Jetée a douze ans dans le monde du travail, par des parents ignorant ce don en toi, eux même ne savaient pas lire ni écrire, ils ne sont pas coupables, la vie était dure elle l'es toujours.

Connaissiez-vous ma hantise ? À l'école, à la maison, au catéchisme ! Non je ne le pense pas.
C'était comme cela, ont n'en parler pas ! Choses non dites ou dites à mots couvert.

Un enfant ? Ne doit' il pas être conforté, aidé, protéger
J'étais la plus part du temps terrorisé.
Est-il normal qu'un enfant soit agressé par un autre enfant cela pendant cinq ans, l'enfant de Pierre le voisin.
Non !! Etait' il capable de comprendre la propre peine de cet autre enfant. Non !!

Pas a cette époque aujourd'hui oui ! Probablement ? Lui-même aura oublié le pourquoi ou le comment.
Pas moi ! J'entends encore ces paroles dites lorsqu'une fois de plus nous nous battions durement jusqu'au sang, constamment.
Séparé par des adultes dont son père.

J'ai vu maman dormir avec ton papa m'a-t-il dit :

Il dit cela devant son père, devant tous. A huit ans aucuns enfants, je pense a l'époque, ne saisissez le sens de ces paroles.
Son père oui.
De lui me vient la tranquillité de son fils. Il lui donna l'ordre de cesser de m'agressé, me pris dans ces bras et me consola, lava mes plaies.
Amour de lui. Tu te savais trompée, tu subissais, amour de toi peine de lui.

Ah ! L'école foyer d'instruction forcée. Que de haines en moi, de coups reçus.
Quelle différence Aujourd'hui cela est il mieux ou pire ? Pas d'avis à donner, mais instinctivement j'ai protégé mon fils allant a la même école, espérant au fond de moi qu'ils osent.

Ont t'ils continuer leurs méfaits je ne sais pas, je n'ose pas y croire, sais tu que j'ai passé un diplôme d'animateur de la fédération française de tennis de table, aussi pour avoir le droit, de dire mon mot dans l'amicale de cette école, afin de rencontrer ces salops.

A ce moustachu dont je tairais le nom, plus par peur du procès que peur de le nommer !
Est-il encor vivant ce jour ? Je m'en moque, il est mort dans mon cœur depuis si longtemps.

Je ne lui ais pas fait de cadeau, lui qui d'un seul coup ?c'était pris d'une passion du dessin qu'il osait faire faire par les enfants, lui-même devenu chevelu sur un tard.
Cheveux long idées courtes. Passion de l'humain ? De l'enfant trop tard pour lui ! Trop tard pour moi.
C'est un homme de 22ans qui lui a exprimé sa haine en lui rendant son enseignement.
Reçu de lui-même. Tu me connais maman !
Je n était pas très fort a l'école pourtant ce jour. La s'il est honnête il devrait me donné dix sur dix.
Je lui ai rendu ces coups, plus dur que les siens j'en ris aujourd'hui. Je n'en suis pas fier Je constate les dégâts sur moi.

L'école Victor Duruy la marliere
Tourcoing


Si j'y ais appris les mots?
J'y ais appris les maux!
Par tous les coups
Que j ai reçu de ces salops.

J'y ais appris l'écriture?
À force de coups de ces ordures!
J'ai compris bien plus tard
D'ou venait mes maux.
En partie aussi de ces salops

Qui pour certains instituteurs !!
Hommes ou femmes
Frapper était de règle.
Même avec celle de deux mètres

Combien de fois m'ont t'ils tiré les oreilles
Avec dans leurs geste la haine !
Pincer les joues, giflées.
Au nom du savoir qu'ils dispenser!
Aucun ne mérite d'être citer

Sauf deux que mon cœur a placé
Dans ma mémoire
L'un a essayé de m'apprendre le basket,
Et m'a même fait jouer dans son équipe.
L'autre a le même prénom que moi
Je connais leurs noms
Ceux qui comme moi ?

Ont été a Duruy les reconnaitrons
Tous les autres sont morts
Et j'en suis, heureux !
Car en écrivant ce texte
Je me vide de la haine !
Qu'ils m'ont enseigné

Le seul regret que j'ai
C'est que j'ai eu mon fils trop tard
Car moi j'aurais fait
Ce que mon père n'a jamais fait.
Je serais allé les trouver

Afin de leurs faires cesser avant leurs retraites
Les faire arrêter, les empêcher
De frapper sur les enfants
Et merde
Ils ont même était médaillés

Pour récompenser leurs années de méfaits
A tous ceux de Duruy qui ont subit

Année 1956- 196
R.Dessauvages© 03.07.2006.



Le catéchisme et le patronage !
Sentiment mitigé.
Dieu jésus et le reste.
Je me demande !si la génération baby boom dont je fais partie, n'a pas fuis cette église a cause de leurs enseignements.

Amour ? Pardon à qui ? A quoi ? Nous n'avions pas la parole.
Menacé de tout, du plus pire ! Mais qu'avais je fais une fois de plus ?
Pourquoi enseigner l'amour et ne pas le manifesté j'étais preneur j'en voulais je l'espéré.
Donne je prends, mais pourquoi plus tard ? Pourquoi après ! Dans une autre vie ;

J'ai dix ans ! Pitié de cette vie ! Sur terre, pourquoi me terrorisé ?sur celle ci ! pense tu que je sois idiot ? Pas confiance en toi ! Et en ton Dieu.
Que dis-tu !
Il a donné son fils à ces ennemis. Mais quel père ferait cela ? Et le mien le ferais t'il ?

Pourquoi avoué des péchés, je n'en avais même pas la conscience.
Bien sur sous la pression, j'en inventé pour le satisfaire, pour plaire, pour avoir la paix.
Pour être aussitôt puni, et menacé de la damnation sur ma vie future ? Ah bon ! Ne suis je pas déjà damné sur celle ci ? Il me faudra aussi subir dans le futur ?

Pourquoi avoir tué ? La foi qui aujourd'hui monte en moi ! Quarante cinq ans après.
Sentiments contradictoire, enseignement forcé, obligé, ne refusé t'il pas ce curé de baptisé le dernier né de l'époque, si nous n'allions pas au catéchisme.

Aujourd'hui cet enfant baptisé n'a-t-il pas fui les curés enseigné par nous de ces méfaits.

Mais quel bonheur d'aller au patronage visité la mer, les jeux, les copains.
Et !! Les coups des moniaux Maman ! Je t'avais dit que j'avais été blessé au plie du genou par un vélo.

Je t'ais menti ! Encore un de ces salops ! Qui penser avoir le droit de mater, car il s'agissait de cela ! Les enfants ! A l'époque : indifférence des curés et des moniaux.

Ah ce moniaux pourquoi m'a-t-il jeté ce bout de piquet après moi.
J'étais Blessé, aucune excuse aucuns regrets dans ces actes ni paroles !
Tout a son jeu de base Ball. Pourquoi. N'a-t-il pas vu ce Curé venu d'Alger, frère d'henry Espin mon copain du deuxième étage même lieu d'habitation que nous.

Lui est entré dans ma mémoire. Amour ! Pas courant de voir un curé qui casse la tète d'un moniaux.
A coups de poings bien donnés avec générosité et rapidité ? Boxeur il l'était.

Personnes, des enfants présents n'à oublier, pas plus que la colère de ce curé, qui plus elle montée, plus les enfants dénoncer ces méfaits.
Au curé fallait dire la vérité bien dressé, nous l'avons fait avec joie ! Honneur, charité tel qu'enseigner a marche forcée. Beaucoup de nous ont quitté cette église.

Bien sur tous les moniaux n'était pas pareils. Ils nous ont donné aussi beaucoup de bonheur.
Des vacances, du rêve et l'esprit d'équipe.

J'ai revu, un de ces moniaux, un de nos préférés Maxime. Devenu curé. Ma mémoire flanche a son propos était' il moniaux probablement. Je l'ai revu avec plaisir, sa vue m'a plongé dans mon enfance avec du plaisir. Moi qui suis à peine sur le chemin de son Dieu.
De son église probablement pas ! Quoi que ! J'ai la joie aussi d'être avec bibie dans son église au 28 rue de Wattignies Lille.

Ce ne fut pas facile, ni pour moi ni pour eux.

Car lorsque la nouvelle de mon existence après, de bibie Fu connue, celle ci me demanda de l'accompagner dans son église. Moi ! Impensable, moi ? De part ma fraternité, excommunié.
Moi chez eux, inimaginable, même pas dans le probable pour moi.
Que ne fait' il faire à l'homme, l'amour, le vrai.

Ne parlé t'elle pas de ces frères Dominicains,
Quelle belle affaire, quoi ! Encore une race d'illuminés. Catholiques ? Bon ! Pas forcement dangereux.
J'ai aussi des frères de cette fraternité, qui sont des deux fraternités.

Déjà que je connais le nom de son gourou Philippe Maillard.
Il ne me restera qu'a l'affronté, rendre, nos rencontres difficile, voire impossible.
Dire à Brigitte que cela nous est impossible, que nous sommes trop différents.
Ah, quelle belle bataille a mené ! Ne suis pas formé aussi philosophiquement !
Même pas peur, comme dit souvent mon ami Julien.

Allons-y. Me voila passant la porte, entrant dans cette petite chapelle, composée de deux maisons, faisant partie d'un ensemble d'une ancienne courée.
Oh les cœurs !! Je suis prêt a déclenché la guerre, a bouffé du curé.

Tu sais Maman, que quand, j'ai décidé, de dire non ! Sur une idée, je suis aussi redoutable.
Et bien, il n'y'a pas eu de guerre. J'ai été mis k o de suite.
Me voila étreint chaleureusement, embrassé par un inconnu ! Me disant un grand et joyeux bonjour mon frère.

Ajoutant, Brigitte présente moi ton copain, Brigitte nous présentant heureuse dit !

Philippe voici robert.

Plus de guerres, plus d'idées de luttes, que de l'étonnement, il connaissait ma différence.
Mais m'a battu, avec la seule arme qu'il connaisse l'amour.

Souvent tu dis que je suis un cas, si un jour tu connaissais, cette assemblée, tu serais bien surprise.
Rien que des origines différentes, en pensées et religions. Tous et toutes avec le même motif l'amour.

Les Dominicains ! Des fadas du cœur, de l'amour, je suis comme cela. Je ne me rends pas aussi facilement.

Ils n'ont de dangereux, que pour celui qui veut le voir comme cela.

Doucement nous avons appris à nous connaître, de respecter nos différences, eux avec patience de moi. Amour de moi, je le sais aujourd'hui.

Me reviens une phrase a la mémoire, tout par amour rien par la force.

Phrase retenue début octobre à lourdes. J'en ai fait un texte. Je suis heureux d'eux, de lui.

Je suis heureux d'avoir été la bas, personne n'en sort indemne. J'en suis revenue avec la pensée que lorsque ont se croit en bas de l'échelle, il y a toujours une échelle plus basse.

Tout par amour
Rien par la force


Me voici donc là-bas pour diverses raisons bonnes ou mauvaises suivant celui qui pose la question. Je biaise tout le temps.
Au fond de moi je connais la réponse.
Soit face a soit.
Oh je ne les crains pas. Ils parlent de choses que je connais, que j'ai reçu ou enseigner.
L'amour, la charité, l'espérance, la tolérance, la liberté de culte, le don de soi, le partage.
La différence, la foi. Avec eux je suis en paix.
Tout cela je connais, je le vis. Sauf que j'ai perdu l'espérance dans le Père.
Dieu.
Ah Dieu voila ma souffrance.
Il m'est facile de part ma fraternité de me dire Déiste. Bien commode la méconnaissance de l'autre pensée, pas pour moi, J'en joue.
Je parle beaucoup ont vient de me le dire par deux fois. Une fois en riant, l'autre avec étonnement ce neuf octobre 2006. Par deux fois je suis renvoyé sur un autre frère !
Aurait t'il plus de patience ? . J'ai dus en lasser plus d'un.
Peut être ?probablement ! Certainement ! Se connais t'on, difficile de le dire. Mais il est certain que jours après jours nous apprenons à nous connaître, par petit bouts.
Mais ce frère ne m écoute pas ! Il m'entend, voila sa différence.
Grâce a lui j'ai pus faire un chemin de reconstruction qui n'est pas terminé, avec patience ce frère m'a entendu. Avec lui j'ai partagé le pain à la basilique, tenant ainsi une promesse faite à ce frère.
A lui en partageant mon hostie, j'ai pus lui dire je t'aime Dieu des hommes.
Je t'aime mon frère.
A ce moment la, je n'étais dans une église d'une religion ou d'une autre.
J'étais avec ce frère dans l'église de Dieu, la mienne, la notre, celle de l'homme, celle du fils
Il me reste à faire envers et probablement grâce lui l'accomplissement d'une autre promesse le temps venu, celui de la réconciliation. De la reconstruction spirituelle, humaine.

Mon cœur est explosé, brisé. Chamallo dans un bloc de béton. Mon béton explose.
Je ne juge personne, je me livre simplement honnêtement comme je sais le faire, bien mieux me dit 'on par écrit que par la parole.
Pas facile de dire que je retrouve tout doucement le chemin de Dieu grâce à une fraternité qui n'est pas la mienne, et pourtant.

Je vis ce jour avec un être qui essaye de vivre et d'aimer comme Dieu la prescrit et j'en suis heureux, ma compagne Brigitte.
Je viens d'accepter cette femme comme un cadeau de Dieu. Très différent l'un de l'autre et pourtant si proche.
je viens de comprendre que cela est un cadeau de Dieu ,tout simplement en écrivant ce texte, au fur et à mesure que le clavier frappe ces mots, que de souffrances cacher derrière ces mots , souffrances a demi cachées non dites , par orgueil, gêne ?, pudeur.



Plus facile de soulager, d'écouter la peine des autres ; bien dur que de ce soulager soit même, et pourtant, que d'amour dans cet espace de lourdes de chaleurs , d espérances ,de foi , mais aussi de souffrances.

A chaque fois que j'ai pus, j'ai fuit, prenant le premier prétexte venu.

Dieu m'a ramener a lui a chaque fois.

Facile de se dire que sous prétexte d'une autre fraternité, de biaiser, de quitter cette église,
A chaque fois j'étais mis face à la souffrance de l'autre, des autres de leurs espérances,
De leur fois en Dieu ; en Christ roi.

Je ne saurais jamais vénérer ou voir la vierge de votre façon, mais la n'est pas l'essentiel, me disais tu Philippe oh ! Combien tu as raison.

Mon église est dans la rue, dans la foi de l'autre au service de l'autre.
J'ai trouvé les qualités et les défauts de l'homme, mais en eux j'ai approché Dieu
A ma façon, comme je suis ? Ou comme j'avais oublié d'être.

Toujours en opposition me croyais je, pourtant Lionel mon frère tu m'as tiré les larmes des yeux lorsque que tu as cru que je te nier en tant qu'homme. Il a bien longtemps que cette émotion a jaillis de mes yeux, je me suis cru blindé dans du béton, tu as fait exploser la première couche.

En tenant ta sono lors de ton chemin de croix. J'ai cru te rendre service à toi et Gabrielle,
Mais en fait je me suis rendu service a moi-même, n'avais je pas trouvé dans les précédant chemins de croix l'occasion de fuir oh ! Que si.
Pourtant avec vous sans que vous en doutiez.
J'ai fait mon propre chemin de croix, que votre Dieu vous bénissent tout deux.
Je suis en paix.

Bien sur l'homme, c'est révélé tel qui est, à Lourdes ou ailleurs l'homme est l'homme. Personne n'est parfait, moi non plus mais cela n est pas l'essentiel.

Sacré Murielle.

Toi à ta façon, tu as compris bien plus que d'autres, le royaume de ce Dieu, que tu prie
Tes inquiétudes, tes chansons, ta gentillesse, ta façon d'être, tes peurs, ta foi m'a fait dire le notre père pour toi et cela en paix s'en être rejeter dans ma souffrance, la mort de ma sœur.
En toi j'ai retrouvé les qualités de ma sœur tu es ma sœur.

Pour toi j'ai prié face à la grotte dans ta foi, pour Marie qui ne me parle pas, pour toi si Murielle.
Pour toi pour ta joie, ta foi, ta façon d'être .j'en suis heureux de ta joie, de ta patience de moi.


Lucien

Avec toi en riants de nos souffrances, nous avons appris que lorsque l'ont se croit en bas de l'échelle de la souffrance.
Il y a encore en dessous de nous une échelle.

En t'offrant mon couteau que tu devras aiguiser chaque jours, car il est d'un mauvais
Acier, tu m'as promis de te souvenir de moi, de notre partage.
Que la vie vaut d'être vécue pleinement, sereinement, que la vie domine, que bien que dure il vaut mieux vivre cette vie.
L'homme est ainsi fait, même les plus durs pleurent.

Nous avons était surpris tout les deux, de la connaissance de ta mère.
Oui j'avais entendue ces souffrances de toi, tes souffrances d'elle.

Tiens ta promesse mon frère dit lui que tu l'aime, à chaque fois que tu aiguiseras ce couteau.
Tous les jours nous supporterons notre joug, notre fardeau jours après jours.


Lucianna

Tu m'interpelle engageant le dialogue par ces mots, seule assise sur un banc les larmes aux yeux. Je t'es vu me suivre du regard. M'observant donnant ma peine et recevant les peines des autres.

Tu me dis !

Toi tu me regarde ?

Bien sur ma sœur je te regarde comme un être vivant, un esprit vivant.

Non tu me regarde comme une femme.

Je suis grosse, noire dans un pays qui n'es pas le mien. J'ai de la peine les gens sont parfois méchants.
Et toi tu me regarde comme une personne normale. J'ai de la peine pour ces gens raciste, bête et méchants et ils ne me connaissent pas pourtant.

Je te dis

Moi aussi je suis gros dans une région inconnue de moi, dans un lieu de pensées qui n'est pas le mien.
J'entends de tes lèvres ces mots, serais tu capable de m'aimer ? Telle que je suis grosse !

Comment te prénommes-tu ? Dis-je.

Je n'arrive pas à faire taire cette peine qui monte en moi.

Lucianna. Me réponds-tu.

Moi ! Je me prénomme robert.

Oui Lucianna, si le destin l'avais voulu. j'aurais pus t'aimer comme un homme se doit d'aimer une femme, mais j'ai ma Brigitte.

Nous nous aimons, tu me questionne je te donne de ma souffrance tu me devine comme dans un livre ouvert et j'admets pour la première fois devant cette inconnue.

Brigitte, Dieu me la donnée.

Oui j'aurais pus t'aimer car je sais que les femmes fortes ont une tendresse énorme.
Elle sourie pour la première fois, enfin et nous discutons.


Cœur immense dans un corps trop petit, non tu n'es pas trop forte, ton corps est bien trop petit pour contenir ta foi en l'homme et dieu.

Cœur immense dans un corps pas assez gros, tu pressens l'homme dans sa nature.

Et puis doucement tout doucement comme pour vérifier mes dires les éprouver tu me susurre.

J'ai fuis mon pays, mon mari ma forcée moi, mes deux filles et mon fils.

La, je vacille, la haine monte en moi.

En trente secondes tous s'écoule en moi, la rage me prend.

Que dire, que faire devant cette souffrance.

Dieu la foi l'espérance et tout le reste s'écroule.ma gorge se resserre et la je prends

Conscience des femmes martyrisées, battues, violées.


Bien sur je milite pour les droits des Femmes comme tout le monde, dans une idéologie en

Parlant, revendiquant, mais la face à Face directement avec toi ma sœur je ne supporte pas, trop dur.

Je hais cet homme sans le Connaître, pour toi, pour toutes les femmes bafouées.

Toi tu me remercie pour ma peine et tout doucement tu me console tu me dis que tu lui
Pardonne, qu'il est bien plus malheureux que toi, que tu le plains lui ton bourreau.
Que dire ? Rien je te demande pardon pour lui, pardon pour tous ces hommes indignes.
Pour toi j'entends et je comprends ta façon d'être, de raisonner, de penser.

Cet homme qui ta meurtrie toi et tes enfants est bien plus malheureux que toi, il a pus un
Moment brisé ton corps et celui de tes trois enfants, il n'a pus brisé cet amour de l'autre.


Ne pleure pas sur ta couleur et tes origines, tu es d'une fraternité qui t'aime.
Présente en ce Lieu. Tout autour de toi.
Je me sens aussi seul que toi dans ce lieu qui m'est étranger, loin de ma communauté.

Devant tes dires je me sens humble je suis un negre blanc, je te le dis.

Toi tu me console, moi l'homme.

Le lendemain jour de ton départ, tu remarque mon bracelet Africain. A mon poignet droit

Je te l'offre tu me dis « depuis mon agression c'est la première fois que j'accepte

Quelque chose d'un homme ».

Oh Lucianna accepte je me tairais sur le reste, tout ne peut être dit.

A mon oreille tu chuchote merci robert, tu m'as fait du bien.
Je me souviendrais du negre Blanc, et dés que j'aurais ma maison tu viendras Brigitte et toi et je brulerais de l'encens.

Je mettrais du pain et du sel a l'entrée de ma maison, comme tu fais toi pour accueillir L'étranger de passage, la sœur, le frère que vous êtes.

Et en riant tu me dis pardonne a l'homme comme Dieu la fait, prie et continue d'aimer Brigitte, protège la. Elle t'aime très très fort je le ressens a l'année prochaine.


Edmond.

Me voila a la marche aux flambeaux, isoler du groupe avec bibie nous dépassons un vieil
Homme claudicant portant son texte d'une main sa bougie de l'autre son siège de camping autour du cou une vieille parka comme manteau.

Nous te dépassons bibie et moi, voyons ton désarrois, je viens vers toi naturellement, sans crainte te propose mon bras.
Moi qui chercher l'excuse pour me défiler me voila avec un inconnu lui tenant le bras.
Cinq cent mètres plus loin tu me demande « tu ne chante pas la gloire de la vierge ? »
Non cela n'est pas ma foi, « et bien tu me soutiens moi je chanterais pour toi ! » et te voila Edmond a quatre vingt trois ans augmentant le son de ta voix.

Nous avons fait ensemble le circuit complet a la sortie de st pierre tu me remercie ! Non Edmond ! C'est moi qui te remercie. J'ai été au bout de la rencontre de l'autre.
Sur ton chemin !

Tu dis c'est la dernière fois que je viens au pèlerinage, tu m'embrasse, échange nos bougies, que dire rien ! . Je suis cloué sur place.

La vielle dame

Toi ma Murielle face a la grotte tu as chuté, partie dans les nuages ton esprit, la maladie te reprend, nous nous inquiétons, les personnes qui sont la avec toi aussi.

Arrivent les secouristes et le brancard te voila porté avec amours par ces gens suivi du frère
Dominicain Mineogaz comme je l'appelle, isolé du groupe celui partant a ta recherche.
Je vais vers tous les postes de secours, a ta recherche traversant a plusieurs reprise ce groupe de pèlerins sur brancards et Chaises roulante, stoppé par une chaise roulante, une dame assise
Dessus me prend le bras et me dit.


Quel espoir me reste t'il quelle espérance ?
Je viens d'enterrer mon mari et j ai perdu mes cinq enfants. J'ai 93 ans.
Oh !!Dame aux cheveux d'argent, tu me montre une photo, me dit que je lui ressemble.
Merci me dit 'elle.
Dans ma tête, je dis non, ma voix dit oui.

Priez pour moi dis je,
Je le ferais devant la grotte de suite répond t'elle.

Ne nous sommes nous pas frères et sœurs de cœur !
Pour vous je serais votre fils de cœur.

Voila mon Lourdes il vaut ce qu'il vaut ni plus ni moins. J'ai reçu énormément.

Je suis ce que je suis.

Dis ce que je fais, fais ce que je dis. Je ne peux tout écrire tout dire. À si.
Une pensée pour Coco brave gars. Tendre, pleurant à notre départ resté sur place pour son
Lourdes.

A tous.

A toi mon frère qui se reconnaitras nous avons un bout de chemin à faire ensemble.

Si tu le veux.

Si ce Dieu le veut.
Rdessauvages©10.10.2006

Mon église est dans l'homme. Je me reconstruis auprès d'eux, grâce à Bibie.

Quarante cinq ans après !

J'ai une autre fraternité Maman, à peine dite lors du décès de ma sœur Françoise, Maman ton enfant, notre préférée.

Te rappelles-tu la messe dite pour elle, pour notre Lalasse de ce texte dit par ce curé de Tourcoing.

De ce magnifique texte qui nous a permis d'adoucir, ce jour la notre peine.
De l'espoir suscité, même si cela n'est pas notre tasse de thé.

Je l'ai mis sur mon site, il est marqué au fer rouge dans ma mémoire.
Le voici pour toi, pour nous, pour eux.


L'amour ne disparaît jamais
De Saint Augustin, adapté par Charles Péguy,



L'amour ne disparaît jamais,
La mort n'est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi,
Tu es toi.
Ce que nous étions l'un pour l'autre.
Nous le sommes toujours.

Donne-moi, le nom que tu m'as toujours donné.
Parle-moi comme tu l'as toujours fait.
N'emploie pas un ton différent,
Ne prends pas un air solennel ou triste.


Continue à rire
De ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie, souris, pense à moi.
Prie pour moi.
Que mon nom, soit prononcé à la maison.
Comme il l'a toujours été,
Sans emphase d'aucune sorte,
Sans une trace d'ombre.

La vie signifie tout,
Ce qu'elle a toujours signifié.
Elle est ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je ?
Hors de ta pensée simplement
Parce que je suis hors de ta vie...

Je t'attends,
Je ne suis pas loin,
Juste de l'autre côté du chemin.
Tu vois, tout est bien.

Texte dit à la messe funéraire
De Françoise Dessauvages
16 déc. 1998
31 janv. 1998



Ah ! Moudre qu'elle chose bizarre.
Ce jour de travail habituel un dimanche.
Te rappelles-tu de ce curé ? Celui qui a officié a la messe funéraire, ce jours la ?
Non probablement pas, moi si, son église est dans mon lieu de travail.
Il porte le même prénom que moi. Sept ans après, voila ce qui arriva.

Affolé, un peu perdu ce vieux prêtre m'a demandé à moi ! De fermer son église.
Je l'ai fait ! Pourquoi ne pas rendre ce service ? À celui qui a fait la messe de Françoise !
Cela m'a renvoyé immédiatement dans le passé, douleurs pour moi, soulagement pour lui.

Quelques jours après, je me suis vu apaisé. Bien sur je n'ais pas oublier, j'oublierais jamais,
Celle dont je souffre ! À l'instant en écrivant ! Amour d'elle, de toi, amour du père confondant celui de leur père, leurs Dieu.
Ou sont leurs amours des pères ? Du mien, du leur.
Brigitte a accepté cette année d'entrée, dans leur royaume et église promise.
Moi par amour d'elle pour montré cet amour d'elle, j'ai fait un texte. Dont je prends aujourd'hui conscience.

Brigitte ton baptême.


La rencontre de l'autre mène parfois à une autre rencontre...
Celle de Dieu. :.
Dieu amour est au cœur de notre vie amoureuse.
Il était là au commencement, avant même notre propre conception. !
Et l'idée de l'existence de l'autre.
Et voilà que dans le bonheur de ta rencontre,
Je le retrouve présent dans ma vie d'homme.
Dans la joie de ton amour qui m'emplit et me façonne.
Il est présent dans ton sourire dans ta façon d'être et dans le simple fait
De cette rencontre qui me comble.
Et pourtant Dieu m'échappe. Dans ma compréhension de lui.
Je t'ais souvent dit que j étais en colère après lui
En rage, le repoussant ne voulant plus l'entendre.
Pourtant !
Je dois admettre que ton amour pour lui me calme m'apaise !
Je ne peux le réduire à une définition, à un concept. Il dépasse l'entendement.
Dés que je pense qu'il m'approche je fuis
T'approcher, te saisir, t'aimer, te voir vivre, te voir grandir dans son amour
Me Ramène à lui.

Je prends le risque de l'écouter déclamer son amour pour moi
À travers toi.
C'est-à-dire de le rendre tel que je pense qu'il est.
Il est Amour ! Tu es amour !
Il est Tendre ! Tu es tendre !
Il t'a donné la charité l'espérance le don de soi.
Aimer Dieu, c'est le respecter l'aimer chacun avec ses différences.
Cela permet aussi de découvrir sa proximité.
Lui parler, lui demander, lui confier, mais aussi l'écouter.
Dans l'écoute, mon monologue devient dialogue. !!
Je sais que Dieu seras pour toi le père que tu n'as pas
Je te vois vivre, espérer, t élever, renaitre.
Esce la le sens de ton baptême ?
Je le pressens.
Je dois te dire que l'amour que tu as pour lui rayonne sur moi !
Moi qui est tant désespérer de lui !
Ton espérance en lui me rapproche de lui.
Tu as fait un très beau texte sur le feu qui nous inspire tous
Le feu peu être destructeur mais aussi purificateur.
Tel un feu de la Saint Jean !
Le sens de ton baptême sera pour toi une naissance dans la maison du père
Et lorsque tu feras le don de ton amour pour lui ce jour de ton baptême
Dans sa maison tu vivras !!
Ne ferme pas la porte, attend sur le parvis !
Je te suivrais.
Et lorsque que j'ouvrirais de nouveau mon cœur
Soulagé de mes peines
Nous cheminerons ensemble, Pour le rejoindre.
Mais je pense qu'a cet instant de la fin de mon hommage pour toi.
Je peux me faire son porte parole et répéter les mots qu'il m'autorise !
À te transmettre de sa part et de la mienne
Ces mots sont les mêmes
Brigitte je t'aime.
Hosanna au plus haut des cieux.

R.Dessauvages © 14/04/2006.


Ce texte leurs a plu. Mais en fait, il a été fait par moi, pour moi.

En mettant ce texte en forme, j'écoute Johnny Hallyday chanter une de mes chansons
Préféré MARIE. Est-ce parce que j'en ai souffert, que je suis incapable de penser à elle comme la mère de Dieu fait homme, probablement oui !

Je ne la vois que comme une mère qui a souffert de la mort de son fils. Physique pour lui, mort spirituelle pour moi. Renaissance pour lui, mort pour moi.

Lorsqu'il me vient l'idée de prier aujourd'hui, je suis incapable de passer par le fils que je connais et reconnais à ce jour.

Même mes trois mois de vacances en suisse protestante n'ont pas modifié ma pensée, juste confortée. Me le fait dire au plus profond de moi.

Toujours ma pensée va au grand architecte de l'univers, ce père qui m'a manqué, et tel que je me l'imagine idéalisé, lors de ma nouvelle vie, de ma renaissance, de la prise de conscience de mon moi intérieur.
J'apprends, avec bibie à pardonner. Comme cela est dur même à mon âge, malgré mes convictions, entouré de si nombreux frères, de pensées ou confessions pareilles ou différentes de La mienne.
Tous, comme moi disent amours, moi constamment rejeté dans mes souffrances, ma souffrance de toi maman. Me fait dire au plus profond de moi, Je vous aime.

Un pas en avant un pas en arrière. Bien sur nous nous sommes pris la tète ces deux dernières années, ne se parlant qu'au téléphone. N'oubliant pas de prendre des nouvelles de toi.

Il me fallait rompre ce lien torride, par amour de toi, cessé de rabâcher ma souffrance de toi.
Tu entendais reproche de toi, je disais souffrance de toi.

Jamais tu ne m'as entendu dire que j'ai manqué de quoi que ce soit, tant en aliments, quand tant de soins.
Non je suis en manque de toi.
De ce père qui m'a si mal malmené. Lui même mal enseigné de l'amour des siens.
Comment pouvait' il connaître ? Et enseigné l'amour.
Lui-même, c'étant engagé a dix huit ans pour fuir sa vie, et partir en mille neuf cent quarante cinq en Allemagne dans la foret noire finir cette dernière guerre, sur le sol de France.
Je ne lui en veux plus a cet instant ou je l'écrit il m'a donné la vie, je te donne la vie de mon fils Stéphane, laisser a dix neuf ans sur la route de ma vie.

Te rappelle tu que dés que je souffrais physiquement, tel mon accident, à l'heure précise ou cela est arrivé tu as réveillé papa disant mon Bébert ! À besoin de moi.
C'est cette partie de toi enfouie dans tes gènes, mes gènes dont que j'ai besoin.
Il nous fallait cette rupture pour me permettre de renaitre. D'écrire mes douleurs.
Cette rupture sera je le sens salutaire pour moi. Pour toi aussi je le pense, je l'espère
Jamais comme mes frères et sœurs je ne t'es appelé la mère. Toujours mon cœur disait moudre Maman en flamand. .

Te rappelles-tu ? la berceuse que tu me chantais lorsque bébé je pleurais.
Ma mémoire n'en as retenue que quelques mots, tes mots a moi.
Dodo Quinche do, (dors l'enfant dors.) même si cela n'est pas exact, il me plait de le penser ainsi.
Puis mes quatorze ans furent la.
Dans cette maison enfin tu étais un peu plus libre. Libéré de cet appartement, ou enfermé pendant des années à attendre dés dix sept heures la venue de ton homme.
Coincée entre toutes tes maternités. Enfants sur enfants. Fatiguées épuisée, stressée
Je le reconnais aujourd'hui, Je le savais depuis longtemps, toujours cette mémoire. Impossible d'avoir tu temps a toi.

Plongée de la vie d'enfant pas joyeuse à celle de femme pas heureuse. Trop est trop.
Cette maison qui devait être le départ du bonheur pour toi fut le début de mon plus grand malheur.
Rien n'à changer ce Fut bien plus pire, pour moi comme pour toi.
Même travers même effets.

Je me rappelle qu'une fois de plus tu t'es énervé sur moi. Car j'avais trainé a la visite avec
Le centre d'apprentissage rue des ursulines.
Me croyant perdu, ce maudit prof est venu a la maison ce plaindre de moi.
J'étais simplement revenu par le train seul, fuyant cet autre salop, de Lille ou nous étions partis à l exposition. Organisé par ce centre.
Je fuyais les coups de ce salop m'humiliant devant tous le monde.

Je me souviens, te prenant par la taille te disant, si tu me frappe encore je te jette dans les escaliers.
Ce fut la seule fois ou je perdis l'amour de toi. La souffrance passa au dessus de l'amour de toi. Je vis ton regard surpris, la peur entrant dans ce regard.
Créer l'amour, c'est créer l'équilibre.
Celui qui n'est pas aimé, ce qui n'est qu'utilisé est appelé à se rebeller.

Ce jour la je perdis l'amour de ton ainé, celui-ci prenant ta relève, me frappant.
J'ai perdu depuis longtemps l'envie de le frapper, de me venger.
Le futur m'apprendra qu'il est bien plus faible que moi et cela en tout.
Je crois fermement que l'amour oblige le plus fort à demander pardon au plus faible.
J'applique cette règle avec tous ceux que j'aime, mais aussi avec ceux qui m'indiffère.

Ce fus Thérèse, morte depuis, amie a tout deux qui vint me sortir de la.

Elle me reconstruira jours après jour, me disant, me rappelant votre vécu a vous.
Mes parents.
Même au plus mauvais moment ou ce père perdit toutes notions d'être père.
Elle était la ! Compensant l'amour que je pensais n'avoir pas eu.
Je passerais cette époque de mes quatorze ans a mes dix neufs ans, nous deux connaissons tes souffrances, mes souffrances. De cet homme de ce père devenu d'un seul coup un ennemi.
Moi te défendant corps et âme.

Te rappelle tu que dés ma plus tendre jeunesse, j'étais avec les anciens du quartier ou des plus vieux que moi.
Te rappelle tu de Francis le copain de ton ainé devenu le mien.
J'avais muris bien plus vite que tes yeux l'ont vu. J'ai vieillis d'un seul coup le jour ou je pris la décision de fuir, de fuguer, a neuf ans.
Le père me retrouva et me livra sans poser aucunes questions. A toi que je fuyais.
Te souviens-tu que quelques jours après, jouant au théâtre avec les frères plus jeunes je faisais dire à ces marionnettes de chiffon mes maux.
Ta réponse Fu parle de la raclée que tu as prise. Pas de reproches, que de la mémoire.

De quatorze ans à vingt ans je dus devenir homme face a cet homme.
Violences irrespect de sa part envers toi et nous. Lutte d'hommes entre nous.
Te souviens-tu de tes enfants, profitant à leurs avantages égoïstes de la situation moi, oui toi aussi.
Cela fait partie de notre souffrance commune à tous deux.


Moudre

Tcheu t'chienne de vie Moudre
Toudis obligi d'un découdre
Aveuc des gins dont l'intelligence
N'rempliros Pos un dé à coudre

Obligis d'cachis d'un lumire
Des frères
Qui ont en commun !
D'avir tros point :.

Pos des frères sanguins
Mais qui comme mis
Ont in commun
De dire en vérité
T'es in fraternité.

J'ai toudis cachi Moudre à savir
Non pas pour en découdre avec ti
Si t'etaut fir d un jour de m'dire
J 'te quiere chus fir de ti
M 'in Bébert y' a pos d ‚mystères

Pos de dire qu't'es un mauvais caractère
Mais d' s'avir qu't'aime tes frères
Bin qu' t'es toudis a in découdre
Aveuc les infants de t'moudre.


Nin seulemint c'eusse des tros point :.
Mais de tes frangins sanguins.
D'ces infants qui sont les miens
J 'mourrais trinquille d' savir
Que jamais j'sais que t'leur poseras un lapin !
Pos facile après onze gosses.
D'in mettre un in cause.
Pos invi d'un découdre
Aveuc des gins dont l'intelligence
N'rempliros Pos toudis un dé à coudre.
J 'laisse ça pour t'y
Mis chu t 'moudre
Avec l'vie j 'ai dû in découdre.

© Rdessauvages 15 03 2003



Cela fait parti de ma destruction spirituelle, intellectuelle.
Je ne pense plus a ce jour que tu as oublié, non simplement une tentative d'occulté de moins souffrir.
Je me suis reconstruit seul, cherchant travers la politique et le syndicalisme, l'homme.
Puis à travers ma fraternité.
Sais tu que ces frères sont amour de moi, aussi fort que je suis amour de toi, amour aussi fort que la fraternité de Bibie ma douce Bibie.
Elle qui m'a fait comprendre ton toi, son soi, a lui le père devenu d'un seul coup le mécréant, le profane de ma vie. Le profanateur de ma vie.

Tiens à l' instant où je poursuis cette déclaration d'amour de vous, ce frère Francis citer plus haut a qui je soumets cet écrit pas encor fini, m'envoi par internet le texte si dessous avec un autre.
Rectifiant mon écrit précédant, sur nos différences. Par respect et amour de lui.
Je rectifie de suite car cela ne change pas ma pensée personnelle, mais rectifie notre pensée à tous. Tel un frère il ajoute ce texte complétant à l instant même ma pensée.


En marchant se construit le chemin
Marcheur, ce sont tes traces
Ce chemin, et rien de plus ;
Marcheur, il n'y a pas de chemin,
Le chemin se construit en marchant.
En marchant se construit le chemin,
Et en regardant en arrière
On voit la sente que jamais
On ne foulera à nouveau.
Marcheur, il n'y a pas de chemin,
Seulement des sillages sur la mer.

Sais-tu que tel Salomon. J'ai a dix neuf ans du prendre un choix de l'enfant.
Te rappelles-tu que lorsque, je suis venu avec la femme avec qui j'ai pris la route pendant vingt cinq ans.
En sortant de chez toi est arrivée une voiture, une femme, en est sortie femme que tu connais avec un enfant.
Portrait caché de ton avant dernier.
Mon fils, mon enfant laissé par amour de toi sur la route de ma vie.
Sais-tu que lorsque tu as voulu partir de cette maison devenu pour nous un enfer.
J'avais laissé la cette femme en attente de moi, enceinte.

Devant ton indécision attendant ta réponse, devant mon indécision elle est partie
J'étais encore mineur, un autre combat de l'amour a mené, notre combat !


Quel coup du destin dans cette entrée de maison. Le présent sortait. Le passé faisait face à la porte.
Te souviens quel fut ton choc devant cette enfant ton exclamation !!
On dirait Laurent Ton enfant !! A dix ans moudre mon enfant ne pouvais qu'être ton enfant.

Revenu face à mon appartement pris, après ma demande d'émancipation votre couple redevenu a peu prés normal.
Je n'étais que le reproche vivant de ta souffrance, de ma souffrance de son comportement.
Il était normal que je parte, il ne peut y avoir deux coqs dans la même Basse cour.

Sais tu ce que cette femme est venu me dire. Je t'aime, je te veux. Comment faire ? Que faire.
N'avais je pas fais placer chez toi par le juge des enfants, cet autre enfant, ma future femme qui m'accompagna vingt cinq ans de ma vie.

J'ai pris la seule décision qui me sembler juste, lui laisser la chance pour elle et mon petit de refaire sa vie, pour mener celle que j'avais promis a ma nouvelle femme.
Renonçant à mes droits et au devoirs d'un homme, d'un père.
Je lui ais donner par amour le droit de donner a cet enfant le nom du compagnon qu'elle prendra par la suite. Maudit destin.

Né en mille neuf cent soixante et onze il travaillé comme pompiste en Belgique.
Combien de fois je suis allé le voir, comme un voleur, un maudit de l'amour.
Sais tu que ? J'ai perdu l'amour de ma femme, mère de mon deuxième fils marc le lendemain du jour ou réclament le droit de savoir, elle m'a dit tu ne m'as jamais aimé.
Tu nous abandonneras comme tu as abandonné ton batard. Que connaissait-elle de l'amour ?

Comment une mère peut dire cela, comment une femme peut dire cela.
Je sais voyant sa propre vie elle ne pouvait donner ce qu'elle n'a jamais eu l'amour.

Exister

Se lever tous les jours !
Trouver une raison d existé ?
De continué d'espérer
Suivre le chemin tracé ?
Ma foi pas forcement par toi !
Oublié le passé !
Vivre un instant ! Le présent.
Voir venir son devenir !
Et puis tenir !
Se lever tous les jours
Trouver, une raison de persévéré ?
Rdessauvages©27 mai 2004


 

Amour


Encore ce mot toujours le même, aujourd'hui je ne peux avoir de la haine pour elle,
Simplement de l'indifférence, partie dans son délire.
J'ai tenu jusqu'à que mon Marc face sa vie .Comme un homme comme un père.
Est-elle coupable non ! Étais-je prêt à livrer mon cœur à un autre amour.
Je ne le crois plus ce jour. J'ai fait face à mes promesses à mon devoir.
S'il elle n'était pas partie, j'aurais fini malheureux avec elle Jusqu'au bout.
Ou ! J'aurais mis fin a cette vie souffrance.

Je vis enfin ma vie avec ma bibie, celle que, j'ai espérer depuis ma plus tendre enfance.
Soi Face à soi. Enfin.
Je suis enfin moi sur le chemin de la rédemption ? diront ces frères, sur le chemin de mon moi dirais-je !
Tout ne peut être dit ou écrit. Je ne sais même pas comment tu va recevoir ce message d'amour.
Ni même savoir, comment mes propres frères de sang, vont le comprendre.

Ne dit tu pas onze grossesses onze enfants différent, je me suis aperçu que chacun de nous a reçu, compris, vu différemment.
Mais le résultat est la, personne de coupables toutes victimes.

Neuf mariages, huit divorce ah ! La tendresse quand tu nous manque.
J'ai tellement vu de choses bizarre dans ma vie qui commence à peine. Me reste à finir ma souffrance d'elle.
De Françoise de ton enfant. De lalasse la préféré de notre père.
Sais tu que je me rappelle son visage bébé, la colère de notre père lorsque les bonnes ?? Sœurs ! De l'institut cazin perenchot de Berck plage lui coupèrent les cheveux.

Je me souviens que celui-ci revint chez nous, portant Françoise dans ces bras la colère ne l'ayant pas quitté de tout le voyage.
Que de tendresse pour elle, moi je profitais, de cette joie.
Sais tu que son premier béguin Fut un jeune ami noir qui était avec nous en Suisse.
A montcherand, Val d'Orbe.

A huit ans se comportant comme une mère, pour cet enfant orphelin de père mère et frères.
Pendant trois mois elle le protégea priant pour lui. Le défendant à cors et à cris, moi la protégeant de ces contradicteurs.
Je sentais déjà, en elle la petite mère qu'elle sera jusqu'à sa mort.
Ce jeune ami s'appelait Jumbo il était congolais, ces parent avaient été massacré dans la guerre qui ravagé son pays, le Congo en guerre. Dieu suisse ou était tu ?

Je me rappelle aussi son homme pourquoi ne l'ais je pas tuer ! imagine Maman
J'aurais fini ma peine .Elle serais probablement encore vivante.

Ce quelle l'a aimé son homme suis-je obligé d'écrire homme ?
Enceinte de lui fille mère.
Enceinte de lui marié.
Enceinte de lui divorcé.
Enceinte de lui remarié avec lui.
Quelle folie l'amour. Ah encore ce mot Avait' il un sens pour cet ordure.
Je ne le pense pas.

Est-il coupable ? Même le dernier des chiens à droit a une défense alors qu'en penses-tu pour l'avant dernier !
Pourtant un chat ne donne pas de chien ! Il en est un. Fils de chien aussi son père.
Coupable les deux, je ne sais pas ! Je ne sais plus.
Il est vrai que son père ne la pas gâté, Méprisant sa femme mourante et ces enfants vivant sous son toit.

J'ai tapé ce fils volant sa mère mourante.
J'aurais dut taper le père buvant et laissant sa famille dans soins
Amour mot inconnu d'eux pas de Françoise.

J'étais à l'époque à la jeunesse ouvrière chrétienne, tous mes copains l'ont fait fuir
Personne n'en voulait dans sa famille.
J'ai alerté Papa sur cet homme, dans sa folie passagère, ni lui, ni personne n'a 'été capable
D'entendre sinon, que nous d'eux.

Combien de fois l'ais-je chassé a coup de pieds, de poings.
A chaque fois, elle a retourné vers lui. Amour encore ce mot. Sans cesse il revient lancinant, comme un disque sans fin.

Puis l'impensable arriva cette autre sœur innommable même ici, ton autre fille commis l'irréparable.
Elle convainquit Françoise de partir dans un foyer de filles mère, la soutirant de notre affection et la mettant dans les bras de ce chien.
Combinant son forfait ensemble. Elle et lui
De même quelques années plus tard elle organisera son divorce et le reste.

Très jeune encore, j'avais pressenti le danger pour elle, mais que faire ?elle même me demandant de la laisser vivre son amour avec lui.
Pauvre Françoise m'appelant a son secours chaque fois qu'il la malmené rien que de me voir il tremblait.
Qu'elle image avait 'elle de moi, elle qui ne disait se souvenir de moi que comme quelqu' un qui ne faisait que crier.
Trop jeune pour voir la folie de son père. Trop tourné vers lui.
Avait 'elle sondé et toucher le cœur de cet homme probablement, ne lui a-t-il pas pardonné pour elle a ce chien qui vous a volé, jamais réclamé l'argent prêté. j'ai de lui aussi, comme elle.

Puis arriva le 31 janvier 1998 jours de sa mort, la veille elle m'avait confié qu'elle n'en pouvait plus de lui.

Sollicita mon aide .Ne voulait plus de l'aide de sa plus vieille sœur, qui lui disait de restée, de continuer au nom de la foi de ces témoins De Jéhovah.
Me rappelant ma promesse, que je lui avais faite De l'aider le jour ou elle perdrait l'amour pour son homme.
Elle s'éteignit en même temps que son amour de lui.
Était-il vraiment-la ? À ce moment, ou chez sa maitresse. Personne ne nous la encore dit a ce jours, il n'est pas assez fou pour venir nous le dire.

Ce jour la maman est à retenir dans ma vie. Il est le premier jour de ma descente aux enfers .
De ma véritable souffrance, profondément ancré en moi.
Ou était ?ce Dieu que la témoin de Jéhovah présente a cette conversation, et qui enseigner aux deux dernières petites.
Ce Dieu amour, ce Dieu justice. Ce Dieu espérance ou était sa droiture sa rectitude, bien mauvais architecte.
Pour la première fois de ma vie, j'ai connu la haine sourde constante de lui, de tous ceux qui en parler ou se positionner par rapport a lui.

Voici maman le texte écrit par moi d'un seul trait, à froid, matin calme pour moi.

Moribond

Oh! Mort tant attendue
Toi qui as croisé tant de chemin
Pourquoi t'es tu écarté du mien ?
Lorsque ma vie fut venue.

Désirée tu t 'es éloignée
Evitée par la vie
Tu la embrassé
Dans une étreinte promise
La vie de Françoise
Tu m'as prise.

En vie tu nous as laissé
Pour mieux te faire désirée
Faisans croire qu'en la vie
Il nous fallait espérer

Oh ! Mort destin tant craint
Par de pauvres sots
Qui pour te fuir
Vont jusqu'a haïr
Leurs prochains


Au nom d'un Dieu
Qui pour te donner la vie
Tue les siens
Pour la vie éternelle
Clou les siens
Sur une croix au nom d'une foi.


Pour te donner la vie
Oh! Mort tant crainte promet
D'être embrassée par toi
Afin de renaître a la vie éternelle

Pauvres sots sans vie
Oh ! Mort tant attendue
Ont ils oublié cela est sur
Que si la vie est dure

La vie n'es que temporelle
La mort éternelle.
De la mort oh tant décriée
Tant crainte
Personne ne peut sans plaindre.


La vie si dure si fragile si crainte
Oh ! Mort tant attendue
Toi qui as fait tant de chemin
Que bien souvent ils viennent
Se jeter dans le tien.

Moi qui ne te crains pas
Ne te désire pas plus
Que ton ennemi la vie
Je vous le dis le moment venu

Je pousserais le même cri
Que le premier de ma vie
Vous deux que je maudis
Malgré votre appétit
Je vous vomis

Oh ! Vie tant attendue
Toi qui as fait tant de chemin
Pourquoi
T 'es tu écarté du mien

Ni en vie ni en mort
Tant pis si
Cela est mon tort
Me voilà sans façon
Un moribond
Rdessauvages02/07/2003


Haine viscérale, vive comme un feu ardent.
J'ai perdu ce jour, le mot donné aux maitres, mes frères.
Ceux des frères de ma fraternité comprendront, les frères de Bibie me pardonneront.
Aujourd'hui je suis a même de dire qu'il ne m'a pas quitté, j'espère, j'ai encore des doutes.
Quoi qu'il m'ais donner bibie, ces enfants Mélanie, Audrey et son petit Alexandre que de souffrance en eux.

En lui surtout déjà violence, a neuf ans a peine, dans son cœur, son âme d'enfant les mêmes que les miennes.
Ne m'a t'il pas frappé, cracher au visage, jeter divers objets au visage oh ! Que si.
Aujourd'hui le matin, il me câline, joue avec moi, m'embrasse moi l'homme l'étranger de lui.
Par amour de moi, d'elles. Amour encore ce mot déjà présent en lui il n'est pas trop tard.

J'ai de bons espoir de lui, comme de ces sœurs, elles et il est amour comme leur mère.
Je les aime profondément, comme les miens. Je ne vois qu'elle en eux, même si je râle, souvent,
Bousculant leurs habitudes ils savent pouvoir compter sur moi.je les aimes et le leurs dit souvent.
A leur mère, tout les jours puissent ces mots prendre toute sa signification pour eux.

Moudre je peux te rassurer, je tiens de toi le meilleur, toi qui dit qu'il n'est pas facile de lier ces boyaux avec ceux des autres je peux te dire que je ne vois qu'elle en eux.
Lui ? Leur père pour moi, n'existe même pas.
Françoise aurait aimé bibie elles sont de la même trempe, de la même fibre, maternelle.
Amours sans conditions, sans remissions.

Alexandre

Je te regarde grandir !
Avec tes bras trop grands
Pour lesquels
Il te faudra apprendre
A te servir.

Tu grandis joliment
Tes yeux brillent comme les siens
Ton sourire c'est le sien
Celui de ta maman

Tu apprends à grandir
Et ses bras doucement
T'enferme
Sur ce sourire et l'amour
D'une maman

Ces yeux brillent comme
Les tiens
Son sourire c'est le tien
Je vous regarde

Dans vos bras vous tenir
Quelle flamme
Pour deux âmes
A vieillir ensemble

Vos yeux brillent oh combien !
Pourquoi ?
Pour milles petits riens
Pour un sourire !
Pour milles joies
Pour un petit bonheur ! En cœur.

Ces mots lorsque tu les liras ?
Te diront mon impression
De voir vous aimer avec passion
Elle la mère et toi le fiston !

Rdessauvages©22 mai 2006



Mais pour les souffrances de bibie ?
J'aurais tué, sans hésiter, sans remords avec joie, et respect des hommes.

Respecte les femmes; n'abuse jamais de leur faiblesse et meurs plutôt que de les déshonorer.

Tout est contenu dans cette phrase, ceux qui ont l'intelligence du cœur comprendrons, ceux qui
La connaisse savent.

Mon cœur


Mon cœur, mon amour,
Cette dédicace
Ces quelques mots
que j'essaye d'écrire
Afin de te dire cela
Notre amour est beau
tu comptes pour moi,

Mon cœur, mon amour,
Tu es entré dans ma vie
fait renaître mes rêves,
Mes envies.
Tu es gravé en moi,
Tout pour moi.

Mon cœur, mon amour,
Le verbe aimer est a nous
Je suis comblé comme
Je ne l'ai jamais été.


Mon cœur, mon amour,
Je t'aime
amour plus précieux que l'or.
Mon cœur, Mes pensées
Ne sont Tournées
Que vers toi
Tu es Amour


Mais il me faut revenir dans l'ordre chronologique des faits.
Au trente et un janvier mille neuf cent quatre vingt dix huit. Même la descente aux enfers de Dantès Fut plus douce que la mienne.
Moudre tu connais mes texte, tu les savoure riant de mes Garnousettes patoisantes.

J'ai écrit ce texte Goth que tu ne connais pas, condensé de ma vie depuis la mort de Françoise.
Synthèse d'un tout, prélude à cette déclaration d'amour de toi, de lui ! D'elles d'eux.
Je n'enlèverais que les mots déjà écrits si dessus.


Goths



31 janv1998

Ma sœur Françoise me fut enlevée
Trahie aussitôt enterrée
Laissant notre famille et sa propre famille
Divisée, nous autres, blessé que ces propres enfants
L'ai aussi vite oublié
27 jours à peines enterrée
Ce mari de 27 ans qui a abandonné
Les fruits de leur lit
A dans son lit amener
Une prostituée
Je reste poli
Trahie à peine décédée
Pour un parti au passé compromis
Dont son propre fils dans la drogue. C'est mis
Bien vite la marâtre se mis à les battre
vite dans un foyer les a mis

Oh moudre j'ai cru basculer dans la folie.
Mais quel homme, quel Dieu peut' il permettre cela.
Qui peut imaginer cela.
Je suis obligé de lui donné sa qualité d'homme ! Même un chien ne peut être comme lui, ne peut accepter d'être comparer à lui. Que de larmes de crocodiles.

Te rappelles-tu à la chambre funéraire, comment il a fallu le retenir, le faire sortir pour fermer ce cercueil.
Ah si j'avais su je l'aurais enfermé dedans, a part comme ceux de sa race.
Je me revois Laurent pleurant ce jetant dans mes bras.
Me demandant à moi de dire quelques choses, moi qui avais abandonné Dieu.
Ou était-elle ? Cette sœur témoin de Jéhovah active.

Qui a refusé d'aller a l'église ! Alors que son gourou et ces sbires ont rempli le livre de condoléances de passage complet de la bible. Eux étaient présents à l'église, en représentation.

Où était-il tous ces charognards ! Ceux qui connaissaient Françoise À ce moment ! Peut être entrain de faire d'autres victimes.

Doucement j'ai laissé ma colère retomber, ma haine de ce Dieu ce calmer.
Pour Laurent pour apaiser sa peine, pour l'amour de lui, de toi, d'elle.
En écrivant les sanglots me viennent !
C'est trop dur Moudre, pour l'amour de toi. J'ai récité ces paroles qui, t'elle une coulée de lave à monter ma haine de lui au plus profond de moi.
Ardente, brulante. Texte inspirais par qui ? Par quoi ? Par l'amour de lui. Je le confesse aujourd'hui.
Ce texte, Je l'ai dit, inventé, instantanément, prière sans nom.


Parce que tu as reçu la vie.
Je te donne le baiser de la vie.

Parce que tu as donné la vie.
Je te donne le baiser de la vie.

Parce que tu as perdu la vie
Je te donne le baiser de la vie.

Afin que nous soyons réunis
Dans la vie.
Dans les siècles des siècles.
Amen.



Oh ! Moudre. Je m'en souviens mots pour mots.
Puis tous ensemble guidé par moi, nous avons récité avec chaleur le notre père.

A la fin de cette prière Laurent de nouveau ma pris dans ces bras m'a remercié pour elle.
Me disant que c'était beau.

Depuis ce temps la ! Je n'ais jamais plus dit cette prière, en aucune circonstances, cette pseudo prière appartient a Françoise.

Même dans la communauté de bibie la rage me monte, même à Lourdes ! Lorsque j'entends le Notre Père.

Par amour d'elle pour m'apaiser, pour ne pas la perdre. J'ai récris le notre père en patois.
Pour ne pas perdre la raison.
Un homme sans espoirs est un Moribond.

Cela m'apaise aujourd'hui. Son amour de moi, de sa joie de me voir déclamé, ce texte.
Même ! Si j'ai biaisé une fois de plus, en le réécrivant en picard.

Ne plus rager, me calmé.
De faires des projets de vie ensemble, tous ensembles avec ces enfants.
Ces enfants ! Elle me les a confiés. Comblant ainsi mon manque.

Elle ne souhaite plus en avoirs, me les a donné, à aimé et élevés à les guidé dans leurs vies future
Afin qu'ils ne soient détruit comme moi.

Ne dit' elle pas que j'ai ce mot en moi, Amour ?

Nou ' pater


Nou ' pater
Qui joque au d'ssus d't'chées nuages.
Pos bin vu par ces bonhommes.
Que t'in nom So sinctifié !
Qu' tin règne vint bin vite !
Vu qu'ichi bas in en a besoin.

Que t'volinté So faite.
Ichi bas
Comm' la haut au d'ssus ces nuaches.
Pou ceux qui arrewette fin bin.

Donne à tertouss leurs croutes !
Pou leu estoma et leur cervelles.

Pardonne-nous nos Garnousettes
Te saros mi nous in vouloir ?
A nous autes !
Comm nous in peu pos caché
D' l misère aux autes.

Ne nous tinte pos
Mais deliffe nous de s'te
Mauvais fieu.
Sti qui s' muche tout in bas.

Mais fait qui n'arrevienne pos
Nous cachis des nouazes

Y'a Rin à dire l'ad 'sus
Ché t'y
Qu' y'es maitre a t'majon
In bas comm in haut!
Et Cha pou toudis
Et fort longmint

Rdessauvages©28/10/2006



Puis cet homme accompli comme judas, un crime innommable.
Avec l'argent que mes frères et toi avait donné, toi payant l'enterrement, celui-ci sur le galibot a cherché une femme.
Ramenant cet être de néant chez lui 27 jours après avoir enterré sa femme. L'installant dans son lit dans sa maison.

Maison qui embaumait encore la présence de Françoise, a peine froide.
Que de patience pour dialoguer avec Laurent mais surtout Vincent.
Que de forces, que d'amour il t'a fallut pour convaincre tes fils de ne pas aller le tuer.

De les raisonner ; les calmer.
Toi tout en amour. En chagrin de la perte d'un de tes enfants, de la trahison de l'autre nous tout en haines pures dures irraisonnable

Je le sais à ce jour, à cet instant frappant, martelant ces mots sur ce clavier, qui ne m'a rien fait.

Plus facile de tuer par amour, que de raisonner par amour.
Ce jour je suis mort dans tout ce qui fait notre culture judéo chrétienne.
La haine de lui ce Dieu c'est installé dans les moindres fibres de mon cœur.

Puis continuant sa veulerie cet être de néant se mis à frapper les enfants, les insulter, les brimer.
Eux qui n'avaient connus que la tendresse d'une mère connurent la haine d'une pseudo belle mère. Faisant des fugues. Marqué de bleu sous les coups reçus.

A la police je me rendis avec les enfants accompagné de Laurent, rien ni fit.
Puis cet autre crachat cette autre fille de toi, Cette sœur témoin de Jéhovah, Des enfants s'accaparât, se faisant complice de lui, contre toi, contre nous.

A la D D A S S, l'agss de Lille je participais à une tentative de conciliation.
Tentant de les sortir de la, rien de bon ; ne sortis de cette réunion.
Les enfants seront placés la semaine à l'institut saint Charles de Mouscron et le week end chez ce crachat.

Leurs frères et sœurs ce faisant complice de cela.
Aucun compte ne fut pris sur le fait que cette marraine bijoux comme elle se fait appeler soit dans une secte.
Peut importe
Qu'elle soit témoin de Jéhovah
Foi aussitôt qu'elle abandonna !
Pensant tromper ainsi ce monde sans lois.

Il nous faut avouer aujourd'hui que rien de bon n'es dans ces enfants un chat ne fait pas de chiens lui si.
Te rappelles-tu de leurs comportements, exigeant la concession de leur mère pour soi disant y mettre un monument avec le nom de leur père.

Te rappelle tu qu'il ta fallu te déposséder de cette concession a mon profit pour qu'il te laisse la paix suffisante pour faire le deuil de ta fille.
Rassure toi Moudre cette tombe seras fermer pour lui a jamais.
Est-il encore son mari après ce qu'il lui a fait ? Meurs-t'on encore de nos jours de manques de soins, d'attentions à quarante et un ans ! Oui elle en était la preuve.

Peut-on oublier ? Que sa fille hospitalisé pour une dépression due à la perte de sa mère
Recevant la nuit son amant à l'hôpital même le jour de son arrivée.
Tout le reste aussi dur qu'il soit nous appartient. Taisons-nous pour l'amour d'elle. Le lecteur pourrait croire ! Que nous sommes comme eux.

Puis ce fut l'agression de Vincent par des hommes encagoulés, de nuit.
Ces crapules se sont trompés de maison et ont agressé une famille sans défenses.

Toutes les preuves sont sur mon site. Quels courageux de voler des êtres sans défenses avec des fusils de chasse à canon scié.
Bien sur la société leurs a demandé des comptes, mais qui rendra compte a ces enfants traumatisés a jamais.
Leurs seules excuses furent de dire qu'ils furent mal aimés Amour encore et toujours.

Puis de la thyroïde, tu fus amputé, cancéreuse elle était.
Ma femme aussi fut atteinte de la maladie du même organe mais a moindre niveau. Puis elle perdit le sens de la mesure. Elle devient cyclothymique passant par des phases de dépression suivi par de l'espérance puis De la stabilité.
Elle perdit à ce moment l'amour de moi. Je dus me protéger de sa folie.
Dépensant sans compter mettant nos finances en danger, sous prétexte qu'elle n'avait jamais rien eu dans sa jeunesse.

Je dus pour nous protéger faire un plan de surendettement pour quatres cent euros par mois.
Alors que j'en gagner mille trois cent cinquante net mutuelle payées par mois, a l'époque elle en gagner cinq cent, mon fils donnant quatres cent euros par mois folie.

Puis je fus mordu par un chien et je reçu un coup de seringue. Dans le cadre de mon travail.
Avoir peur du s i d a Pendant six mois me terrorisera.
Puis je fus menacé d'être licencier Pour avoir dit la vérité que j'avais oublié de caché.
Pas politiquement correct tout cela mes dires.

Même la tante n'en a pas échappée Sous tutelle. Elle sera placée dans une maison de retraite rattrapée par la maladie.

Les impôts aussi se sont réveillés Pour trois années ils se sont rattrapés. La taxe d'habitation m'a terminé. Par saisie en trois fois. Ils m'ont achevé Ne nous laissant que juste Assez pour pleurer.

Tant de malheurs nous ont accablés
Accablé par cette fatalité De cette réalité que jamais Je ne pus oublier.
Toujours en parler jamais exorciser Que peut-elle me reprocher Moi qui ne l'ai jamais Touché que de la main pour la caresser


Juillet 2005


Dans un reflexe de survie Je me suis enfoncé Comme une coquille je me suis fermé.
Fatigué, j'ai oublié de raisonner ! Contre sa folie devant sans cesse me battre.
Je ne suis pas coupable de son manque d'amour, je n'ais eu de cesse de la mettre en face de la réalité.

Asphyxier au bout de son parcours, ma femme c'est trouver Pris à la gorge de sa réalité.
Ce 29 juillet 2005 elle m'a quitté Pour aller soit disant se plaindre Dans un foyer de femmes isolées.

En cela par notre fils aider. Pour oublier a-t-elle décidée De ne plus me voir
Tirant ainsi un trait sur 26 ans de notre passé. En réalité Chez son amant Bertrand delbois Elle est allée. Qui au noir pour ma belle mère travaillé. Lequel ma femme Le dimanche allé retrouver.

Me prenais-t-elle pour un sot ? Toujours chez cette mère qui n'a jamais su l'aimer.
Surprise à téléphoner Avec un appareil que je n'avais pas payé. Cacher dans la cuisine équipée.
Ou dans son linge a repassé Et cela depuis deux mois Sa trahison je la connaissais.
Tout de suite détectée combien de fois suis-je tombé sur ce téléphone qui ?croyais t'elle trompé sinon qu'elle-même.
De me battre, j'ai refusé Il fallait la laissé, accepté, Résisté pour ne pas Me supprimer.
Ne pas une fois de plus céder Je n' avais plus d'amour assez pour elle. pour mener ce combat
Il fallait mettre fin a cette évidence, rien ne nous lier plus ensembles.
Bien sur mon fils de son coté était informé des faits et actes de sa mère.
N'avais t'il pas passé quatre jours en aout 2006 chez sa mère et son amant.

Par ces amis, par amour ! Amitiés de moi ? J'ai été informé, de son choix de sa trahison.
Aurais-je dus le chasser de chez moi ? Le rejeter oui ! ont répondu ces amis.
Non je leurs disaient.
N'avais je pas déjà mis hors de chez moi, un vieil ami pour avoir dit les même propos.
Je l'ai écrit. Aussi, je persiste et signe. Je ne veux pas en faire une victime de l'amour.
Lui aussi.

Te' l'couffe trop


Te' l'couffe trop ! Y'a 24 ans
Laisse li faire s'vie
Laiche le s' demerdé tous seu !
Cha ! Li ' fra des pids
Y'apprinda comme Cha
Pos la peine d'l'aider.

J'attinsse Cha toute l'journée
Ben qu' 'Cho ?
J'l' aime min fils
De l'même fasson qu'a s'naissince
J'm'in va vous dire a tertouss
J 'vous immerde touss !!

Qu'Cho que j'devros faire ??
D'après vous ?
L'foutre déhors
Li donné s'n'indepindence ??
Et après ??
T'es sot tertouss ?
Vous qui m'etros pos votre quien déhors !

Recomminchi comme à 19 ans ?
Ou j'desespero d'm'in père
Et de s'n' amour pour mi et m'mère
Et de m'fimme de l époque

v'là ti pos qu' j'ai accoutté !
Pour Eunne Fos
Ché espèces de trou de culs.
De vous autes !
Et j 'l ai z ' es perdu tous les deux.

Deux z' amours in même timps
L'un m'avos donné l' vie !
L'aute !la sauvé in m'décrochant
Du nœud ou tout seu j'm'avos mi.
Acrochis comme in pantin
Qui desespero ! De vos conseils de pingouins.

J'ai chu vous écouté la.
J'ai gardé m'in père et m' colère !
Mais pos ! L'infant que j'intindot
S'mère et partie Aveuc.

Qu' 'Cho te dis !
J'devros l'Aichi m'in gosse
Rejoindre dehors tous ces jeunes
Qui de désespérance !
Feumme du shit ! Et s'bourre la tiete de wissky !
Ben min fieu de m'connos pos !
Faux amis vrai judas.

Mi qui travalle a l'elevation
D'l'homme par l'homme
J'va vous dire
Ichi et tout de chute.

Qu'Cho ! De plus Norma.
Qu' 'd'aimer s'un fils.
Ché pos li dire !
Mais, par mes actes si.

Si m'prind pos mes sous
Car y'es pos voleu.
J'li donne avint qu'y'in minque
Mais pou qui d'autre ?
J'me garderos in vie !

J'n' ai Nin appris a'l' câliné.
J'espère un p'tit de li !
Pou m'faire pardonné.
Mi qui chu in soufrance.
J'devros ! Pou vous plaire !
Jeter min fils in désespérances
Binde de sots.


Et s'mère ché pos de l'iau ?
Qui coule d'in ces veines.
S'n' amour y'es aussi gros qu'l' mien !
Porquo ?que j'la mettro in peine.
Elle a eu aussi s'part de déveine.


Vous autes adepte de la Nintendo !
Soyez pos étonné de m'vir.
Faire le gros dos ! À vos propos.
L'vie ché pos in cadeau
In n'est pas a Dallas.
L'vie ché pos in palace !


Te la pos vu ché dernis jours ?
In souffrance d'être trahi.
Par Eunne Laurence, mi si.
J'me chu dit Porquo li ?
S'désespérances a li !
Ché m'soufrance a mi.
Porquo li ?
Y' n'ta jamais fait de tort a ti !


Je devros l'jeter dehors
Aux loups ?
Te saros pos même l'écouté
A tous les coups
Incore moins l 'aimer.

Binde de sots !
Chu fir de li
De ché espoirs.
J'pleure de ces désespoirs


Mi qui aide ché gins ?
J'devros abindonné l'mien ??
Mi qui souffre des miens !
Je devros l'traité comme in quien.


D'in m'vie j'ai pos de haines.
Beaucoup de peines
J'me vos pos li faire ?
D'l'peine avec ta haine !


J'ai deux amours d'in m'vie !
Li et s'mère.
J' devros désespéré l'une !
Et jeté l autre.
Mais a vous écouté !
In seros bin vite trois désespérés.


Amours modernes !
Amours de peines !
Jeté aussi vite
Qu'la capote est pleine !
Avez-vous honte ?de l'amour
D'un père pour s'in fils !
Ou ? Bin alors vous êtes digne fils
D'un père incapable d'aimer son fils.


J 'arrête la ben vite
Y'a m'in fils qui m'appelle
Pour un conseils
J'm'in va vite
L 'aider l'couvé l'protégé
Ché chi bon m'in fils
Sous m'aile

Rdessauvages 11avril 2004



Puis a partir de ce moment la, ma vie tout doucement c'est transformée.
N'avais pas hurlé à ce Dieu ? De haines pour moi.
Donne-moi ! Au moins la preuve de ton amour de moi, de ton existence.


J'aurais mieux fait de me taire Moudre.
Je ne t'ais pas tout donné mes écris.
Par peur de ta réaction, ne disais tu pas ! Que tu ne survivrais pas a la mort d'un de tes enfants de plus.

Me voila le 3 aout 2005.

Montant à Caudry voir Patrick le fils de Jean le jumeau de mon père.
Le sang de notre sang !
Sur la route, je m'arrête à Rieux en Cambrésis.
En pleine campagne fatigué de cette vie.

J'arme mon pistolet, enlève la sécurité, pointe sur la tempe droite le canon. J'étais en larmes, ne supportant plus cette souffrance.
Au moment même où j'allais appuyer sur la détente.
Un vol d'étourneaux poursuivi par des corneilles, passent à ras de mon pare brise, l'un d'eux venant percuté mon pare brise.
Etourdi celui-ci va se refugier sous un buisson prés de ma roue avant gauche.
Cela a suffis pour me faire réagir ; et me reprendre les esprits. Pourquoi lui ? Et pas moi !
Il est bien plus fort que moi, il se bat pour sa vie.

J'ouvre la fenêtre de mon coté et de rage tire trois coups après ces corneilles, oiseaux noirs ! Maudits ! Aussi noirs que ma pensée.

Rangeant mon arme sous mon siège, un Vieil homme approche, il est étonnant dans ces campagnes de ne jamais rencontré âmes qui vivent.
Mais vole un vélo et de suite un gendarme est la.
Vole une pomme idem le fermier est de suite la.

Ce Vieil homme me dit textuellement en patois, ces mots que je transcris pour toi en français.
Eh ! Gamin pour le corbeau ton calibre est trop gros.
Pour toi ce n'es pas ce qu'il te faut !prend ta route, la vie est belle.
J'en étais abasourdi.
Je suis allé deux jours chez Patrick me tranquillisé, me reposé.
Puis, partant voir la tante de sang de mon ex femme. A ferrière la grande a 75 km de la.

Je passe l'après midi chez elle.
Au moment de partir celle-ci me prend par les mains me dit son amour, de moi ?
Précise que je suis le fils qu'elle n'a jamais eu.

En pleurant, dit je deviens folle. Ils vont me prendre ma maison.
Ne m'abandonne pas ! Je n'ais que toi.
Que d'amour de moi ! Me voila avec une troisième mère.
Toi bien sur, Thérèse, Jeanne.
Je la calme, l'assure de mon amour d'elle, d'elle de moi.

Doucement je lui caresse les cheveux.
Tout à coup comme un cabri, elle sursaute.

Je te donne ce que j'ai ! De plus cher, quelque chose qui te feras penser à moi ! À Maurice ! Mon mari.

Mais que peut tu me donnais ? Tante tu as déjà fais Yolande ton héritière.
Tu lui as tout donné, la colère te prenant, tu me dis non ! Cette garce n'a pas tout eus.

J e te donne mes derniers bijoux pour ta nouvelle femme. Celle avec qui tu es venu.
Celle la je la sens bien pour toi, et sa grande fille. Je l'aime bien comment s'appelle t'elle Brigitte, non ! Je te parle de la fille me dis tu !
Mélanie te dis je.
Attend moi la et joyeusement, tu grimpe a l'étage me criant sois patient.
Je t'amène ton souvenir de moi.

Et la ! A ma plus grande stupéfaction, Moudre, elle m'offre un fusil de chasse avec les cartouches, de marque tunet.

J'ai été tétanisé !comment ? Un homme qui a voulu mettre fin à sa vie.
Reçoit deux jours plus tard un fusil de chasse. Que dire à cette femme non merci !
Je suis mieux armé que toi !!!

J'ai gardé le fusil, heureusement que je devais reprendre une locataire d'ou je travaille dont ces parents habitent le village voisin.
Qui peut témoigner de la vérité du don du fusil.
Quand a toi moudre ! Il me suffis de te dire que je te l'assure sur la tombe de Frania.

Que dire face à cela rien ! Que dire de plus ? Rien ! Sinon.
Qu'il me faut continuer, Cette tache qui m'a était donnée Ce jour de février Ou La vie me fut donnée !
Que faire ? À 54 ans sinon espérer.
Qu'un jour une femme sera m'aimer. Et que pour la troisième fois M'a vie il me faudra recommencer
Que la chance oubliée Enfin me sera distribué .Enfin l'amour d'un être me sera donné

Bien sur j'ai écrit tout cela par morceau comme un puzzle ! Dont je reconstitue en frappant sur
Ce clavier la trame.

Puis le 23 aout de la même année ce fut la rencontre de ma vie ! Celle de ma douce bibie.
Qu'elle chance ! Pour moi d'elle.
Sais tu qu'elle est comme Françoise aimant les enfants s'occupant toujours des autres.
Bien sur Brigitte est Brigitte Françoise est Françoise.

Grace a elle je me suis mis de nouveau à espéré, Marc passant de nombreux instant avec nous et ces enfants.
Noel 2005 nous l'avons fait chez nous à Tourcoing.
Encore à ce jour Marc parti faire sa vie prés de Melun vient chez elle avec plaisir.

Mais trop bavard comme tous les gosses ! Il n'a pus taire les faits a sa mère, qui folle de rage
M'a fait du harcèlement téléphonique. Piquant des crises de jalousies, elle qui m'a quitté pour un autre. De cela je la remercie.

N'est 'elle pas plus heureuse ?de sa nouvelle ! vie que de l'ancienne aller comprendre quelque choses a cela.
Folie que cela !

Tu as cassé mon amour pour toi me dit elle ?
Il ne fallait pas amener une femme chez nous, dans notre lit.
Ah bon qu'es tu allé faire dans le lit de ton amant ! Du tourisme ?
Que dire de plus ! Que le lendemain elle avait changé d'avis.
Qu'elle voulait refaire sa vie !
Qu'il nous fallait rester ami Comme des gens bien élevés.

Que Sa vie, elle voulait recommencer Qu'elle folie l'a encore piqué.
De Qu'elle utilités il me faudra lui resté ? Pourtant de l'argent, je lui en ais remis. Aussitôt que l'envie ou le besoin lui en a pris alors ! Que je connaissais sa nouvelle vie.
.Que faire d'autres ? Après 26 ans de notre vie commune.
Pour finir ? Comme elle dit en bon amis, je suis indifférent à ces propos.

Me revient en mémoire ce jour, ces jours funestes.
Bien des moments de ma vie Beaucoup de peine de soucis.


2 Sept 2005


Puis j ai commencé a espéré, Dans mon amie qui a moi c'est donné Notre amour lui est arrivé aussi comme un cadeau du ciel auquel elle croit, dit elle.
Demain son anniversaire arrivé Je me presse de lui souhaité. Un cadeau modeste je lui ai déjà acheté.

Beaucoup dirons femme il a vite oublié ? Non ! Ce n'es pas vrai. Mais il me faut me préservé
D'autant plus que son amour Le premier vrai peut être ! Que j'aurais trouvé.
Peu de temps il me reste pour le goutté Maudite destinée.

Voila que mon fils ce 20 nov. 2005, Me dit qu'il va me quitter
Pour aller habiter a Metz.
Quitté son travail son bercail .Me laissant la seul, dans cette maison trop grande, que j'ai gardé uniquement pour qu'il ne souffre pas de notre séparation.

Il me dit partir pour aller vivre chez sa nouvelle fiancée
Pour vivre a coté de la femme qu'il dit aimer ??
Elle a promis de l'aimer Dans qu'elle folle aventure va-t-il se jeter ?
Tout perdre comment va-t-il vivre, ou survivre.
La raison semble le quitter. Puis deux semaines sont passées.
J'avais raison, elle la quitter.

Voila qu'une autre à paris il a trouvé. Que t'es je fais destin maudit.
Pour n'avoir autour de moi Que des gens Qui n'ont pour moi que des sentiments.
Qui me sont interdits de vivre.


Déc. 2005


Toi ! Dieu des uns.
Rien pour moi !
Lâche-moi !
J'ai tant crié !après toi que ma voix
C'est séché.
J'ai tant hurlé !
Après toi que ma voix
C'est cassé.
Qu'a tu fait ? Pour moi
Voila !que ma Bibie grâce
À laquelle j'avais repris gout à la vie !
Depuis aout me dit !
Je me suis trompée.
Je n'ai pour toi que de l'amitié ?


Il faut cesser de se rencontrer !
Je dois te quitté !
Ne pas continuer
Ce n'est pas toi ! C'est moi.
Qui ne peut continuer !
Ton amitié ! Je veux garder ?
Mais des amis ?moi j'en ai
En toi ! J'avais espéré.

Voila ! Moudre une partie de mon tourment.
Brigitte que j'aime souffre de son passé.
Elle a peur de l'homme !pas de ton fils, tu sais que je ne suis pas un salop.
Non, son passé lui revient, sa peur de l'homme profondément encré au fond elle-même.
Elle qui a subit l'irréparable au plus profond elle.

De part sa naissance.
De l'homme une première fois a l'âge ou elle n'était qu'une enfant.
Puis en tant que femme.
Voila son tourment que je connaissais le premier jour de notre connaissance.
Elle me la dit à l' instant même, ou je l'ai prise dans mes bras, la première fois.

Le fruit de se massacre était en elle, que dire ?sinon que le premier jour JE l'ai aimé, soutenu.
J'ai ressenti cela au plus profond de mon être.
Que cette femme serait capable de m'anéantir pour de bon.
Comment combattre ? Le tourment de son moi intérieur.
Moi qui ne lui ais rien fait. Rien ah si.

Lui démontrer mon amour d'homme, lui dire que je travaille à l'élévation de l'homme par l'homme.
Lui dire m'a profonde conviction de mon amour ! D'elle de lui, de l'homme même salop.
Comprendre et partagé ces tourments, lui dire que sa décision sera la mienne.
Que je l'accompagnerais dans son tourment, qu'ils sont tous les deux des victimes de la barbarie de l'homme.
Seule ! Elle a voulu aller jusqu'au bout de sa décision, ne se le pardonnant pas. Ajoutant à ces souffrances un poids de plus.



Matin blême


Au petit matin, blême ce jour.
J'aurais aimé dire ! Je t'aime !
Tu n'étais pas, la a mes cotés
Pourtant je sais.

Que je suis dans tes pensées.
J'aurais aimé t'accompagner
Ce matin, sur ton dur chemin.

Te dire qu'a tes cotés je me tiens.
Toi qui a tant de chagrin.
Tu m'as manqué ce matin.

Toi qui n'a pour armes
Que les larmes.
Par ton courage, tu me désarmes.



Au petit matin blême
J'aurais aimé te dire je t'aime
Toi, Qui ma dit je t'aime.
Soulageant ma peine.


Au petit matin blême
De notre destin.
Me manque, ce petit matin
Ou ! J'aurais aimé t'entendre dire, je t'aime.

Rdessauvages©30 aout 2005


Il me revient à la mémoire ce jour funeste. De ce 1er février 52 jour de ma venue.
Sur cette terre. Rassure-toi mon ami, David je n'ai Plus envie de me suicider.
Même cela, je l'ai loupé Je suis trop en peine Je suis vidé, Désespéré, scotché Sur place ! Cogitant toujours sur ce mot. Amour
Qui me devient insupportable a entendre ; dire ou pensé, toujours le même. Amour.
Mais qu'es-ce l'amour ?cette journée seras pour moi terrible.

Le lendemain ayant accepté ? Cette idée de séparation de m'a bibie que faire ? Que dire !
Rien. Accepter ce destin, je ne saurais rien faire d'autres.
Le lendemain
Sur le parking l'ayant convaincue d'aller promené. Elle est tombée en pleurs dans mes bras tout à la joie de moi, m'avouant ces peurs, son amour de moi. Enfin amour pour moi de moi

Ne voila t'il pas, que le même jour. Je me rends compte, que même ma maison
Je ne pourrais garder la garder Quoi espéré ? Quoi dire !
Trop de différences le même jours joies peines assez ! Foutez-moi la paix
Faire face ! Toujours continuer. Droits dans ces bottes comme un cow boy.
Je ne suis pas un indien, Simplement un homme, Marqué par le destin.
Un simple gardien Un humain appeler robert.

Qui aux apparences donne parfois Le ton d'écrire en patois. Ce texte je n'ais pas le courage, ni la joie, De l'écrire en patois.
Il ne me reste que cela et encore.


Décembre. 2005


En fête noël j'ai passé !
De Bibie a moi
Nos enfants sont réunis !
La joie de la vie ma pris.

J'entends
Je vois Bibie.
Pour la première fois.
Je pense
À la foi ?

Qui n'es plus en moi
Bibie ! Je vis de ta joie !
Je la connais
Mais je ne l'es plus en moi.
Plus le courage de crier.
Apres ce Dieu en qui j'ai d'espérer ?
En vain !
De lui je n'attends plus rien

Mon cœur depuis trop longtemps pleure
Pour avoir le temps
De penser à toi

Nous avons réveillonné le jour de l'an
Dans la joie et l'amour
Tous ensembles
A Tourcoing jusqu'au matin
Avec les enfants
Le mien,
Les siens nous n'avons vont fait qu'un
Une famille.

Te souviens-tu moudre ? Il y'a si longtemps.
Un jour ou nous étions allé ensemble au cinéma.
En Belgique, à Mouscron rue du Christ, voir un film. Dont je ne me souviens plus du titre, revenant chez nous, nous passions devant la vitrine d'un boucher-charcutier ton regard fus attiré par le présentoir de la vitrine.

Que de bonnes choses que de nourritures exposées ! Que d'envies de ce boudin ainsi exposé à ton regard.
Aussitôt ! Tu nous dis entrons ! En acheté. Le charcutier refusa de t'en vendre.
Surprise tu t'étonnas ! Demandant pourquoi ?

Je me souviens du rire de cet homme. Ce boudin était en plâtre ! Quelle belle imitation de la nourriture.
C'est de cela ! Dont j'ai besoin ce jour de ton regard de moi.
De mon moi intérieur, non pas de l'image que tu as gardé de moi.
A mon âge diras-tu ! Cela n'est pas facile. Quel obstacle pour toi, non tu es en moi.
Porte les yeux de l'amour sur moi !
C'est la qualité, du regard qui décide de l'importance de l'obstacle.

Dois-tu ? Interroger ta conscience devant l'obstacle, j'ai des ressources infinies.
Mais ? Comment te les prouver.
Il fait bon d'être dans ton entourage ! Lorsqu'on veut reprendre le goût à la vie.

Si tu as l'ardent désir d'accomplir quelque chose, Essaie ceci : Nourris tes qualités et tu verras que tes défauts ! Mourront de faim.
Petite pensée glané sur internet oh ! Inconnu que de bonnes choses enfouies en toi.

Pourquoi ? Sommes-nous trop timides pour dire des belles choses. Alors que pour les mauvaises, nous ne le sommes pas assez ?

Devons nous être connus ? Reconnu de tous ! Pour que deux êtres, se disent je t'aime.
Voici un parfait inconnu ! Qui a écris ces quelques mots qui ont soignés mes maux.
Pensée autres que la mienne le reste de ces écris, m'étant parfaitement inconnu.
Même effets.


Amour


Tout par amour
Rien par la violence
Abbé. Chevrier.

Je me souviens, d'avoir quitté cette salle de spectacle devant la moquerie, ou de ce que j'avais pris pour, de la part de deux membres du groupe, avec lequel j'étais a Lourdes.

Ces mots sont inscrits au plus profond de moi, me voila quittant cette salle blessé par ceux qui font partie de la communauté, de cet homme appelé Chevrier.
Il ne saura jamais qu'il a touché un homme biens longtemps après sa mort.
Sorti de cette salle il me vint le bonheur de connaître
Lucien, Edmond et Lucianna dont j'ai écrit dans les pages précédentes.

Ne laissez personne venir à vous qui ne reparte meilleur et plus heureux. Mère Teresa.

Mais le bonheur, c'est aussi de regarder ce que l'on à accompli, voir qui vous a instruit en cela et non ce qu'il reste à faire.

Travailles sur le triptyque Esprit, Intelligence, Cœur m'écris tu Francis.

Seras tu heureux de se texte qui au départ devais être qu'une simple planche et qui devient
Presque aussi long qu'un livre.

Cœur esprit intelligence je n'ai que ce que j'ai reçu. Je suis ce que je suis.

La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les Fruits de l'amour de l'autre.

Février 2006 est arrivé

Le temps d'une nouvelle plaie aussi, Ma tante est hospitalisée. Atteinte de la maladie d'Alzheimer qui la frappée.
Sur l'hôpital de Maubeuge au centre de physiologie Pour adultes la voila hospitalisée. Enfermée. Sans aucun retour la maison, à espéré de cela je suis informé
Faisant l'aller et retour, dés que les finances ou le temps me sont favorable.
Pourtant je sais qu'au plus profond elle-même, elle est sure ! Que pour elle seule. J'ai intérêts. Oui devant ces gens l'a avoué.
Bien sur un conseil de famille .c'est déroulé une fois de plus confronté a l'a g s s.

Des neveux et nièces du coté de son Maurice étant la. Moi aussi avec Mélanie.
Première enfant de Bibie.
Voyant que tous les biens sont déjà donnés à l'héritière désignée.
Leurs intérêts furent vite détournés sur la solution de la placée en foyer, meilleure solution d'après eux pour elle, sans même discuter. Parlant d'elle ! Comme un numéro que l'ont si souvent aux personnes hospitalisée.
Lui me disant même que la mort vite serait souhaitable dans son cas étant déjà âgée.

Ma peine sera vite, détournée bien vite ce 1er fév. 2006 comme à chaque anniversaire Fêtes ou moment de mon ancienne vie, mon ex femme me fit un cadeau. Elle se manifeste par des insultes injures.
À la rue, voila ce que la loi lui, donnera dit' elle. Au téléphone du travail me harcèle
Me voila au commissariat demandé, A la loi de me protéger contre cela Au policer lui ai dit la vérité une main courante pour moi il a fait.

Toujours la haine ! Et l'amour. Encore et toujours
Sont proche du même être
La connerie ! Va-t-elle souffler sur ma lumière.
Ne dit 'on pas que la flamme vacille
Sous le vent de la connerie
Ferais-je une folie !

Maison, pension, auto et meubles
Pour elle est son amant !
Qu'elle prétend avoir changé ?
Tous ces droits !
Tous cela lui est dut par la loi !

La voila bien renseignée
Dettes et plan de surendettement pour moi !
Sur la rue voila mon dut.
Mon fils comme tout fils réagis
Peut importe avec qui 'il vit a disserté
De son royaume de sa chambre a-t-il réfléchis
Que si je cède sa vie va être bousculée.


Qui lui rappellera le passé
Même pratique qu'un coucou
Du nid il sera jeté.
Que son père ne la qu'aimé.
Tous cela, je l'es écrit et déjà dis mainte et mainte fois,
Dictophonie ? Ou mal a la vie !

Depuis début janvier. Je me suis remis à fumer. Quelle plaie !
Sanctionner de suite par plusieurs bronchites asmatiforme. Je suis en très mauvaise forme. Plusieurs arrêts de travail. Pendant lesquels je passe mon temps à pomper cet air
Qui me fait tousser. Je suis en très grande difficulté .Je reprendrai a chaque fois le travail toujours asphyxié.

Ais je inconsciemment renoncé ? À cette vie donnée Au tabac il y a 8 ans !
J'avais renoncé. Comme un voleur ! Je me jette sur la cigarette Tous me disent arrête
Moi à qui ont donne un caractère bien trempé. Le voila en pate à modeler.
Mon corps refuse cette nicotine à qui mon esprit dit oui.

Puis vint cette conversation avec mon fils de retour, chez sa nouvelle fiancée de paris du coté de Melun.
Me voila une fois de plus face à mon destin. Que faire ? Je sens au plus profond de moi le danger.
Il m'apprend que sa mère est retournée chez sa grand-mère qu'elle perçoit le r m i
Sa grand-mère lui reproche son manque d'argent.
Que toujours il lui faut de plus en plus.
Sa vie ne lui convient et qu'elle lui a dit au téléphone qu'elle reviendra et dormira sur le canapé.
Sur le comportement de ma belle mère rien ne m'étonne.

Pour la première fois de sa vie je lui dis notre passé a moi et sa mère.
Comment sa mère à quinze ans attendait ma venue chez elle, pour manger.
Ces frères et sa sœur ne donnant rien.
Sa grand mère tout a la tache de nourrir son amant, de tapisser chez lui. Laisser la sa mère
Bien entendu sous la coupe, sous les coups du plus vieux revenu de prison jouant le caïd.

Ne me laissant la voir que lorsque son propre ménage fonctionner. Je pouvais la garder le week end complet chez moi.

Bien sur dans le cas contraire, elle redevenait mère ? Nous interdisant de nous voir.
Mais quelle mère ferais sa à son enfant ! Pas la mienne en tout cas, pas moi.
Marc ! Ma vie depuis vingt ans a été conditionnée par la décision que j'ai prise un jour de mars 1979.

Comment un homme qui se dit en mal d'être aimé peut il agir ?
De la seule façon que l'amour peut, donner a ce mot, tout son sens.

J'attendis la fin de semaine, la bonne pour nous, une fois chez moi plus jamais ta mère ne retourna chez elle.
Je la fis placée par le juges des enfants Protin chez ma propre mère, en fait notre vie commune débuta a ce moment la et ce pour vingt cinq ans.
Affrontant deux énormes difficultés, à savoir le risque de son refus ou de la prison pour moi.

Même notre mariage Fu loupé à cause de l'un de ces frères racontant la veille des mensonges.
Aucun invités ou témoins de son coté la ne seras présent.

Le trois octobre mille neuf cent quatre vingt trois. Date du mariage, d'anniversaire de mon père et de mon oncle qui est en même temps mon parrain de baptême.
Pourquoi ce jour la, parce que le chiffre trois est très important pour moi.

Je dis cette nuit là bien des choses à mon fils, mon histoire à moi puis celle de moi et sa mère.
Celle de sa grand-mère vivant nu pieds dans une caravane
De ces parents sans amours alcoolique placée par la D A S S . De son manque de responsabilités.

Le sens vide et débordant en même temps en moi ce mot qui toujours m'a guidé
Le trouvant des fois à l'intérieur de moi, comme à l'extérieur de moi.
Toujours ce mot leitmotiv de ma souffrance amour.
Papa !
Maman revient ici demain matin à la maison, avec l'aide d la police elle leurs a dit que tu bois et la frappe. Elle ment, seule ta vérité compte à mes yeux fils.

Moi je m'en vais rejoindre Audrey ma fiancée A châtelet en brie ou sa mère ma trouvé du travail pour mai.
Puis se retirant dans sa chambre mon fils se mit à pleurer, j'entendais sa rage, ces mots dur très dur pour sa mère, la comparant a une prostituée.

Moi-même j'étais atterré.

Une fois de plus une décision à prendre, la même qu'a dix ans, vingt ans, vingt cinq ans.
Une seule promesse m'attend ! Celle de l'amour.
Un seul risque la mort ! La folie ! Pour moi ! Pour elle
Qui peut accepter ? Sans risque pour lui cette situation.
Ou est tu dieu, seul dans ce salon vide, bien meublé mais vide de ce qui fait une maison,
Une famille.


Bonheur

Bonheur ! Douce espérance des uns.
Désespérance ! Des autres.
Tu m'as tellement manqué.
Que je n'ai plus la force d'espérer.

De toi ! Je n'ai qu'entendu parler
Jamais approché,
Toujours cherché.
Depuis l'époque
Ou ! J'ai commencé à penser.

D'autres t'on approché.
Capté, Maitrisé
Jouis de toi.
En moi
Je t'ai cherché.

Même pas enfoui en moi.
Pas de passé avec toi !
Ni de présent a l'instant.
Ou ! Je compose ce texte.

Sans aucuns prétextes
Tu te méfie, me fuit.
M'approche, m'aborde
Saborde tous rayons vers moi !
Me couvre d'un pâle hayon,
De tristesse.

Plus de temps pour le passé ?
Ni le présent.
Que va devenir mon avenir ?
Sans Bonheur !

Pensées ! D'un passé Oublié ?
A cet heure ou
Je t'approche avec honneurs.
Toi ! Bonheur tant espéré

R.Dessauvages©.2006



Il me faut réfléchir prendre la bonne décision, prendre des risques ! Peser le pour et le contre.
Morceaux par morceaux.
Mots clefs : amours : maison : devenir

Amour


Amour d'elle non, pas de celle qui revient. Mais de celle qui m'attend. De ces enfants.
Sais tu Moudre que je retrouve en Audrey, le même comportement buté que Françoise avait à son âge. Se sentant mal ou Peur d'être mal aimé, calquant son comportement sur celui de sa sœur ainée.
Se sont de braves enfants, généreux, aimant, un peut timide de montrer leurs amours a leur mère. Se sont des enfants sains. Je les aime tous comme ils sont. La vie ne les a pas épargnés non plus. Je sens au plus profond de moi qu'ils sans sortiront.

Réfléchir, agir, penser calmement mon devenir ! Maudite mémoire me voila faisant un bond dans le passé.

Me voila désorienté, que d'amour à donné. Désorienté. Moi qui suis guidé par le compas que faire ou dire sinon que je suis à la recherche de l'autre constamment.

Flashback 1991. Ne m'avait 'elle pas dit, c'est moi ou le syndicat ?eh bien une fois de plus,
Mis aux pieds du mur, réagir calmement, préservé mon fils mon sang. Se positionné par rapport à lui, l'enfant roi ! Centre de mon moi.
Lui constamment formaté, référencé par cette femme, sa mère. Qui élevée sans amour s'autoguide, plus par l'instinct que part l'éducation ou la tendresse reçue.

Sans cesse martelant son esprit, suivant que j'accepté ou non ces désirs !
Il ne t'a jamais aimé ! lui dit-elle constamment

Je m'aperçois, lorsque je rendre du travail, fatigué par ce travail acceptant tous les remplacements possible, afin de gagné toujours plus d'argent, pour elle pour lui.
Que l'homme gêné. Ne former t'ils pas tous les deux un clan ?
Ma présence, cassé ce clan, cette fusion. Rejeté par ce clan que faire ? Sinon travailler
Me jeter dans l'activité syndicale.

Plus de travails plus de besoins, plus de besoins, plus de travails ! Cercle vicieux.
Aurais-je dus ? Casser ce cercle, tout homme sensé l'aurais fait, mais mon fils et elle-même que serais t'il devenus.
Passé au dessus de cela, ne pas perpétué cette chaine, élevé cet enfant, en faire un homme avec des principes.

Devenir son père ! Cesser d'être son fournisseur ne plus être l'exécutoire de la souffrance de cette femme.
Facile aurait été de lui fournir cette pensée digéré, aseptisé du monde des enfants de son âge.
Ho les cœurs télé et Nintendo. Le laissant poussé en espérant qu'il ne fume pas trop de shit en attendant le r m i.
Non ! Ne pas lâché, lui inculqué les valeurs essentielle, en faire un homme digne.
Reprendre les valeurs apprises, par moi autour de moi, je n'ais pas de valeurs spirituelle.

La plus grande rencontre de ma vie, c'est celle que je fais avec moi ? Je dois être entier !


Puis me voila embauché a la filature de nuit ce 1 er décembre 1991.
Meilleure situation financière ! Travail difficile dans un monde inconnu de moi.
Toxicomanie, locataires, extra locataires, squatters et autres phénomènes liée à notre société
Vols divers autour et dans ce lieu de travail deals en tout genres et toutes matières.
Pourtant j'y découvre une richesse humaine, d'arts divers, église, théâtre ateliers de diverses activités.

15 juillet 1992 mon père décède à 5h45 du matin dans sa caravane de bredune.
Pendant ce temps la à 5h25 accompagné des pompiers que j'avais appelés je leur passe le relais.
Un toxicomane était en train de faire une poussière c'est-à-dire que c'étant injecté cette drogue qui fait tant de mal chez l'homme son cœur était en fibrillation
Une vie part une autre est préservé hé ! Mec si tu n'as pas besoin de ta vie donne la moi ?
Mon père en a besoin. Voila ce que je luis dirais pendant quelques années. Pauvre Momor à trente ans tu as passé plus de temps en prison quand liberté. Prisonnier de la loi ou de ta came.

Tu es devenu pour moi une connaissance à qui tu t'es confié.
Même maux même mot Amour encore et toujours.

Septembre 9.


Patatras je la trouve en dehors du domicile à 2h30 du matin prévenu par un ami cibiste comme nous.
Ne voulais tu pas un appareil pour toi un pour moi pour se parler la nuit afin de te sentir en sécurité.
Ne t'avais pas dis que notre maison était surveillé la nuit par mes amis

Tu ne faisais rien de mal un visu une rencontre cibiste disais tu ?

Ben non ! Je l'es envoyé illico presto a l'hosto le visiteur nocturne.
Aux urgences quand a sa voiture ce coucou d'amour il a eu quelques soucis ! Réactions d'homme.
Il a eu de la chance il est passé très prés de la mort.

Elle est partie chez sa mère criant à son innocence ne faisant rien de mal. Ben tiens
J'aurais dut la laisser la, ne pas aller la chercher, mais je l'aimé puis mon fils était désespéré.
A partir de ce jours elle n'aura de cesse que de dire j'en ais marre je fous le camp.

Ho ! Principes qui sont en moi pourquoi avoir pardonné au nom de qui ? De quoi ?

A partir de ce jour ma confiance en elle est morte. Continuer jusqu'à ce que mon fils soit autonome.

Bien sur les copains de ce cibiste sont venus faire la loi, six voitures pleines. A 23h00 le soir comme des rats.

Armer de bâtons couteaux matraques ect ect. Folies humaines d'eux ou de moi ?

De moi ! Il fallait que je sois dans une colère profonde pour sortir tirer quatres cartouches
De P 48 dans la première voiture. Trois dans l'habitacle une dans le moteur.

Les quatres citoyens sont devenus blanc le chauffeur caïd de la bande ? La grande gueule a crié pitié ! Paraît-il ?

Je ne l'es pas entendu. Ils doivent leurs vie a la chance et à la voisine qui c'est mise face à moi et qui m'a dit simplement arrête robert t'es un homme ne gâche pas ta vie.

Quand aux caïds ? Ils étaient faits comme des rats, pas possible de reculer acculé au canal.
Pas possible d'avancé moteur en panne, ils sont a pieds maintenant face a moi.
Les trois autres voitures étaient parties dés ma sortie de mon domicile.
Les cloportes n'aiment pas le son et la lumière.

Un instant de flottement dans mon esprit. J'avance vers eux, vers lui lève mon arme.
Il n'a pas compris ce coucou ! Que c'est la deuxième fois qu'il est face à moi
Il a compris qu'il ne va pas s'en sortir aussi bien cette fois ci ! Une de trop !
Sais t'il que ma propre vie m'importe peu que j'ai envie d'en finir n'importe comment ! Maintenant ! Juste à cet instant.
Puis un cri ! Un seul papa non ! Arrête.

Oui fils j'arrête pour toi, pour moi, pour eux, aller Diable noir puisque c'est ton nom de cibiste rentre dans ta boite barre toi et laisse ta voiture la.
Tu l'as reprendra que lorsque tu auras remboursé les cartouches.

Arrive mes amis. Puis Dominique, policier tu me calme me prends dans tes bras.
Je pleure tu n'as même pas enlevé mon arme. Tu sais que tu ne risque rien de moi.

Tes amis collègues hors services sont avec toi, vous prenez en charge la situation.
Et raccompagné le caïd et les trois sbires qui sont restés sur place tétanisés pour leurs parlers.
Je saurais par la suite que vous quatres ! D'hommes à hommes vous leurs avaient causés
Et mis une très bonne raclés a tous. J'en ris aujourd'hui.

J'ai rencontré parfois ce caïd, il change de trottoir encore a ce jours quatorze ans après.
Sais tu Moudre que la colère d'un homme est dangereuse même juste.
Que les armes n'amène rien de bon.

Te souviens-tu d'Edmonde et de Matthieu son fils- fille de Thérèse et petit fils de Thérèse.

Sais-tu ! Quelle fut mon premier Begin. Elle m'a appris le rock. Elle fut pour moi une sœur une vraie sœur.
Quand elle m'ennuyer je l'appelé feuille de zinc tellement elle était mince et belle.
Je l'aimais très profondément comme une partie de moi.
Ne m'avais t'elle pas déclaré je t'adopte et te partage ma mère. Je fus son confident intime
Elle fut ma confidente intime en osmose ensemble toujours.

Ou ! Était tu Dieu ! Des uns lorsque son deuxième mari la tua elle et son fils a coup de fusils de chasse.
Ou ! Était tu Dieu ! Des autres lorsque que cette bête envoya les propres enfants d'Emonde cherchés de l'essence afin de bruler les cadavres.

Aucuns de ces fils n'est indemne aujourd'hui tout deux sont toxicomanes ou enfants à problèmes
L'un dit que sa mère est morte d'un cancer, l'autre dit d'une leucémie.

Moi je suis mort ! De toi encore plus ce jours la.
Pourtant Edmonde avait foi en toi ?
Ne m'avais t'elle pas demandé de porter accroché a ma gourmette une médaille de la vierge comme protection.
Cette médaille qu'elle avait eue de sa grand- mère morte depuis.
Bien piètre protection pour moi ! Pour elle !
Je l'ais donné a son fils David quelques années plus tard.

Retour au 26 mars 2006 j'entends toujours mon fils pleuré dans sa chambre, me voila dans mes pensées. Je sens au plus profond de moi qu'il m'a dit la vérité que faire.

Face à face entre moi et moi La vie que je fuis Ou Bibie avec laquelle je revis
Je regarde ma vie Ma maison Riche et belle de biens Froide sans amours sans joies.

Face au mur Je suis ce que je suis Maçon je suis et je reste.
J'écoute mon frère Francis.
Me remémore ce qu'il m'a dit. C'est' il seulement Que chaque fois qu'il me voit ou m'écoute
Je pars à nouveau vers la vie. Je sais qu'il le sens le pressens. Il me ramène à la vie.
Me rappelle sans cesse à ce que je suis Que j oublie
Sa lumière m'éclaire Nous sommes frères.
Je regarde vers Bibie Je regarde sa vie Sa maison pauvre mais Riche et belle d'amours.
En pleine nuit d'aller vers la vie J'ai choisi.

J'emmène m'a chambre à couché mon linge mon ordi de quoi meublé un petit appartement.
Et je débarque à l'improviste chez Bibie. Dans la nuit du 26 au 27 mars 2006.
Bien sur un de mes frères m'a déjà donné les clefs d'un logement que je peux occuper de suite. Nous sommes ce que nous sommes ! Frères.

Mais je me suis dit ok toi la haut décide pour moi je verrais. Quels risques pour moi, un refus ! Une erreur ? Ne suis je pas une erreur de l'amour ! Toute la nuit je ferais des voyages aidé
Par mon fils puis par mon frère Laurent.



27 mars2006


Avec la police
Mon ex a investi de nouveau ma vie. La voila de retour dans ce pseudo foyer maudit.
Je ne admettre sa nouvelle folie elle veut la maison qu'elle la garde la n'est pas mon intérêt.
Ce ne sont pas mes valeurs !que grand bien lui fasse.
Je laisse tout ces valeurs à elles sur place pauvre femme. Pauvre victoire sans combat.

Le pire ! Pour elle fut de voir que je quitter cette maudite maison n'avait elle pas dit aussi a son fils qu'elle dormirait sur le divan espérant sans doutes arranger les affaires comme par le passé.

Tant pis pour elle mauvais choix. J'aime ou je n'aime pas ce qui est rare mais la voila
Indifférente à mon regard.
J'ai fini cette nuit mon devoir de père et elle-même m'a dégagé de mon devoir de mari.
Je suis tourné vers ma nouvelle famille eux m'attendent et ont besoin de moi comme moi j'ai besoin d'eux.

Avec une Associations des droits de la femme Voila le drame Mon ex femme tisse sa trame.
Battue par moi qui boit Oh toi Jéhovah que me fait tu la !
Ne sais tu pas que je me bats pour leurs droits
Qu'une femme tous les quatres jours en France
Meurt sous les coups de salops Dont je ne suis pas.

Oh toi dieu des uns ! Tu le sais que je ne suis pas un salop. Je ne peux rester comme ca
Pourquoi ? Me fais tu celas Suis-je maudit par toi Ok moi aussi Je te maudis !



9 Mai 2006


Et voila une foi de plus Je ne me suis pas méfié Je ne suis pas tel job
Dans non travail je suis muté Oh joie des uns Peines pour moi
Que me fais tu encore la ?
A condette J'irais Bibie me la demandé Pourtant je n'ais aucune dettes Envers toi


Je vois la joie des uns et des autres Je la suis au 28 Je commence à avoirs des nouveaux amis
Ceux que Bibie aimes Ils emplois des mots choisi que je connais Fraternité solidarité amitié Ceux qui me plaisent J'ai un nouvel ami benoit Que je côtoie Il rayonne de sa foi

Je me sonde Je me dis que cela est pour moi Mais mon cœur est froid si froid.
En toi Dieu je ne crois pas Pourquoi ce jour ais je besoin d écrire Cela !
Benoit ! Je te le dois Tu m'a dis un jour confie a Dieu t'a peine Cela je ne peux pas.
S'il est la il connaît tous cela. A toi qui prie pour moi je te le dois.

Pourquoi écrire ma peine et pas mes joies Cela je vous le dois à vous tous Vous qui m'avait confié vos peines et vos joies.

Vous savez la joie que j'ai de l'amour de Bibie Et vice et versa
Dans votre assemblée vous avez confié vos peines Vous ne connaissez pas les miennes

Cela n'est pas juste Je vous dois cela A toi Philippe qui m'a deviné
Dans ma fraternité tu m'as salué En fraternité à vous je viens de me livrer

En français Pour toi. J'ai été honnête. En patois J'ai évité De me livrer a quoi cela aurais servi a rien j'ai commencé à écrire mes souffrances en patois en y mettant des clefs afin que celui qui me lise fasse l'effort de venir vers moi.

Sais tu Moudre comment cela a fini ! J'ai été l'invité dans une conférence débat sur le picard au théâtre du Prato sur le lieu même de mon travail.
Quel bel hommage qui m'a été rendu par Gille Defacque président de ce théâtre et tous les membres de ce théâtre qui sont tous devenus mes amis il me plait de le considéré comme cela.

La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les
Fruits de l'amitié.

J'arrête la Mes larmes me viennent Ce sont des larmes de soulagement.
Je ne repasserais plus. Sur mon passé Je vais aller embrasser Bibie

J'oublie les vieux itinéraires...
Il y a de si beaux sentiers sur lesquels je n'ai pas encore posé le moindre pied dans ma quête de l'amour.

Dimanche dix novembre 2006 2h20 du matin je suis dans notre chambre j'écris et j'écoute ma bibie dormir.

Pauvre bibie en pleine dépression nerveuse depuis le 10 novembre 2006.
En peine de son passé de son pressent de son futur. Amours encore et toujours.

En peine de son passé pauvre fille bien plus dure fut sa vie que je n'ose plus écrire devant son profond malheur.
Je ne me sens plus le droit de me plaindre.

De son présent j'en suis un peu responsable Moudre elle avait peur de me perdre.

Elle ne me sentait pas heureux toujours mon angoisse de la vie combien de fois ? M'a t'elle entendu dire ce n'est pas ma vie je vais partir.

La voila ! Elle qui craignant l'homme en ayant profondément peur, malade de l'homme qu'elle aime dit' elle comme elle n'a jamais aimé.

Peur de le perdre. Moi !

Amour enfin sur ma route. Je suis resté 21 jours avec elle en arrêt de travail à la soignée la consoler, la protégée, l'aimée, la réconfortée.
Acceptant enfin pleinement la place qu'elle voulait que je prenne me la confiant avec amour la place de l'homme dans sa famille, notre famille. Protégeant ces enfants qu'elle m'a confiés en même temps que son amour infini

Amours enfin de moi que de moi.

Une conscience qui se repose est une conscience qui s'endort et se flétrit...
je dois toujours être en pleine conscience. Je dois toujours apprendre à écouter mon Cœur.
Combien de fois ais je dis qu'elle était un cadeau de Dieu.

Il n'y a pas de solitude pour qui a l'humilité d'accepter le rôle que Dieu lui a proposé. Sans chercher l'action qui va satisfaire sa seule fierté.

Je me rends compte à l' instant que
Je suis un pèlerin. C'est-à-dire un chercheur de Dieu.
Être un pèlerin, c'est savoir que les mirages sont là pour nous faire dévier.
Être un pèlerin, c'est la quête de l'Amour infini.
L'incertitude et la crainte de l'échec sont les seuls éléments qui peuvent jouer contre moi aujourd'hui.

Le fruit que je récolterai de l'Amour de Dieu sera la paix, en moi d'abord, puis autour de moi, et la Chaque nouveau jour marque une nouvelle étape dans la vie. Il est porteur de joies et de peines, de difficultés et de réussites. J'en suis conscient ce jour.

Tout le quotidien prend une nouvelle signification pour celui qui a rencontré Dieu car il est appelé à bâtir un monde nouveau avec les événements de chaque jour.
Fraternité. Amour. Charité. Espérance.

Une bonne action a souvent un effet boomerang, et tu ne regretteras pas d'avoir rendu un service à une personne qui avait sollicité ton aide ! disent 'ils

Moudre je ne suis pas et ne saurais être un inconditionnel de la foi. Je suis encore trop fragile pour cela.

Mais je me surprends à avoir des pensées pour lui parfois lorsque je ne vais pas trop mal comme maintenant lorsque ma bibie ce réveille consciente de mon absence d'auprès d'elle.

Son Dieu bon pour elle ! Ne peut être mauvais pour moi ? Je ne le hais plus.
Je l'observe me dis pourquoi pas !

Peut 'on changé a mon âge ? seul les imbéciles ne changent pas dit le proverbe.

Dieu m'as-tu parlé quand l'heure était propice ? T'ais je entendu ?
Et malgré ce silence, aujourd'hui, je crois qu'il est possible que nous fassions un bout de chemin ensemble.

Dieu, tu n'as jamais été pour moi l'ami fidèle, et, malgré mon doute terrible, je crois que cela est possible.

J'ai toujours dis que je connaissais Dieu que j'en avais la connaissance mais que je refusais de revenir dans un monde futur dans une renaissance quelconque.

Pourquoi faire pour qui pourquoi cette vie présente étant trop lourde que je n'avais pas peur de la mort mais de la vie

Bibie me dit constamment je ne te comprends pas, tu te dis non croyant et pourtant tu te conduis comme un chrétien.

Ah ! Bon portant ! Mes amis et frères me connaissent comme je suis sans fards.

A la recherche constante de l'autre.

De lui ! me répond-elle de l'amour de son amour ?

Je ne sais pas répondre à cela maintenant. Malgré ma pensée je suis capable d'écrire de penser. Dans le sens d'un croyant. D'un homme qui dit non mais qui pense oui ?

Par le père probablement, car lorsque je rage ; c'est à lui que je m'en prends ?
Traces d'un enseignement de jeunesse ou Dieu ancré en moi.

Par le fils il m'est difficile de passer. Dois-je renaitre ? Aussi comme ils disent où laisser le temps au temps ?

Pourtant cela ne poserais aucuns problèmes a ceux de ma fraternité.

Quelques uns diront tu as changé d'autres tu t'es fait avoir tous diront c'est ton choix il est respectable.

Tous me respecteront dans mon choix 1 er principe de nôtre conviction.
Un Maçon est obligé de par son Titre, d'obéir à la Loi Morale et s'il comprend bien l'Art, il ne sera jamais un Athée stupide ni un Libertin irréligieux.
Mais bien que dans les Temps Anciens les Maçons fussent obligés dans chaque Pays d'appartenir à la Religion de ce Pays ou de cette Nation, quelle qu'elle fût.
Il est maintenant considéré comme plus opportun de seulement les soumettre à cette Religion que tous les hommes acceptent, laissant à chacun son opinion particulière, qui consiste à être des Hommes Bons et Honnêtes ou Hommes d'Honneur et de Sincérité, quelles que soient les Dénominations ou Croyances qui puissent les distinguer ; ainsi, la Maçonnerie devient le Centre d'Union et le Moyen de concilier une véritable Amitié parmi des Personnes qui auraient dû rester perpétuellement Éloignées.
Bien sur je peux écrire aussi la dessus, mais cela aurais t'il un sens ?

Seigneur, aide-moi à aimer ceux que je n'aime pas.

Comment ? Aimer ceux que, spontanément, je n'aime pas?
Il y a des personnes qui me durcissent, des milieux qui me font peur, des regards qui me glacent.
Si j'essaie de sourire mes lèvres grimacent.
Si je veux parler, les mots me rentrent dans la gorge et je reste là, avec mon pauvre amour sur les bras.

Je dois aimer, mais je ne sais pas, ne sais plus comment.
Seigneur père ou fils ? Trois en un ! Un en trois ?

Bibie lis mon texte a ce moment et me dit ta du talent mon gros. Tu écris bien mieux maintenant qu'avant. Oui je sais ! J'écris rouge et non plus rose.
La voila les larmes aux yeux me disant ?
Je ne crois pas que j'ai une dépression nerveuse je crois que c'est de la tachycardie !
Non ! Bibie moi j'ai la chance de pouvoir exprimé par l'écrit mes souffrances toi tu l'exprime par un mal être, une maladie !

Voila Moudre ma souffrance, mes souffrances d'eux, d'elles, de toi !
Aujourd'hui je commence doucement tout doucement à être Moi.

Beaucoup de faiblesse dans ce moi. Je commence à avoir du plaisir d'aller dans leurs assemblée les rencontrer les observer.
D'aller dans leur Condette ou leurs Lourdes, même si je me mets a part, m'isole de leurs pensées de leur foi !leurs joies, espérance trypthique de leur foi Dieu ; jésus, Marie !

Dieu parfois je te l'écrivais plus haut, je lui parle le testant, lui demandant plus que je ne lui donne. Surtout lorsque je suis dans la fraternité de ma douce Bibie.
J'écoute ce message d'amour qu'il donne a toute cette assemblée, cet espoir de vie meilleur ais- je envie de revenir dans un futur, parfois j'y pense mais ? Serais-je avec toutes les femmes que j'aime ? Cette vie de ce jour m'a tant fait souffrir.

Je change me disent les personnes qui me connaisse ! Non je redeviens comme je suis au plus profond de moi-même aucune trace de ta première fille ce démon de bêtises, à peine lettré

Marie encore ce disque de Johnny, qu'Alexandre écoute, ces paroles

Oh ! Marie si tu savais le mal qu'ils m'ont fait.

Marie mère de Dieu ! Non pas pour moi ! Mais en elle il me plait de penser a toutes les femmes que j'aime ou que j'ai aimé toutes d'un amour différent ! Les unes d'un amour d'homme pour la femme, d'autre pour la sœur que je retrouve en elles.



Toi, Nicole, Françoise, Sylvie, Edmonde, Paulyne, Thérèse, Yolande, Brigitte.
Toutes mes amies de ma vie. Tous mes amours Quelques une ne sont pas sitée par respect d'elle notre histoire nous appartient.

Brigitte parfois a une petite montée de jalousie. Eh !oui bibie j'évolue dans ma vie dans un monde entouré de femmes.
Dans un mélange subtil d'amour, de fraternité je me suis construit ma propre famille.

Ma dernière aimée comme une sœur s'appelle Soizic prénom breton qui en français veut dire Françoise.

Destin bizarre Soizic comme Françoise vivent un amour impossible, allant jusqu'au bout de leur destin, de leur Amour. Ils se ressemblent tellement dans leurs fonctionnement.
Soizic ! La loi a éloigné son amour très loin d'elle. Ils n'ont que le téléphone ou quelques bonheurs lors de la possibilité qu'elle à de se rendre dans le pays de son Amour.

Françoise son amour a-t-il eu un jour un retour ? Non je ne pense pas.

Toutes les deux sont butées allant jusqu'au bout de leurs amours de leurs passions.

Lorsque parfois nous échangeons nos peines, je fusionne en pensées avec toutes les deux, me comportant comme un frère de sang, la consolant, la résonnant. Mais quel bonheur ont-ils.
Ils ont un joyau inestimable sahel.

Mélange subtil du père et de la mère. J'aime ces parents comme mes propres frères de sang.
Je ne suis pas capable de regardé cet enfant sans pouvoir dire a qui il ressemble.
Il est eux en part égale. Quel cadeau il est le fruit d'un véritable Amour tiens ce mot reviens.
Avec plaisir je l'écris.
Je suis profondément convaincu qu'il reviendra. Chez nous, chez lui.

Voila Moudre ce que j'ai demandé a ce Dieu sans aucune exigences simplement du plus profond de mon moi.

JE ! J'ai demandé à Dieu son retour.

Je ferais trois choses dés son retour.

Je lui mettrais une claque pour l'aimé et chassé son passé, le clore.

Je prendrais une cuite avec lui ! Je sortirais avec lui une soirée tu sais bien moudre que je ne bois pas, que la boisson a fait notre malheur.
Je ne le lâcherais plus de ma vie.
Je ne l'abandonnerais plus jamais, pour elle, pour lui, pour sahel pour Françoise. Pour moi.

Je deviens serin pour l'Amour de toi, de lui, d'eux.
Je terminerais sur Soizic par le poème que j'ai écris pour elle pour son bonheur.
Mais voila que ce texte la fait pleurer, lorsque que je lui ais donné !
Il est à elle, il est à eux. Unique preuve matérielle de mon Amour d'eux.

Plus j'écris plus je deviens apaisé en écrivant le mot Amour.
Il est en moi ! Il est aussi à moi. Il est à nous tous.




Sahel

Salut Sahel !

Petit ménestrel venu en février

Mois qui plait !

Faut espérer !


Du djebel ! Ou ton père coincé et désespéré

De loin a suivi ta maternité

Faut espérer !


Car ta Maman Soizic

Par amour ta fait

Sans douter

Moi je le sais

Le destin a programmé

Faut espérer !


Que le temps ne pourra vous séparé

Car le hic

Maman Soizic est

Qu'Aucun crimes ne peut plus être

Reproché à mon frère Hakim.

Faut espérer !

Ta destinée

Je le sais

Est que ton bébé

Et vous deux soyers

Heureux

Faut espérer !


Cela est écrit dans les cieux

Cela est la loi

De la haut

Pas celle de Sarko

Faut espérer !

Je te consacre cet écrit

A toi mon petit

J'espère qu'un jour

A l'âge où tu le lira

Tu auras depuis longtemps

Faut espérer !

Sécher les larmes qui me viennent

A moi ! À ta maman !

Et a ton papa

Soit fort comme un roc

Ton père vient du Maroc !

Sois sans torts comme maman !

Elle est du nord !

De cette terre d'espérance

Petit coin de France

Ou tu es né !

Faut espérer.

Que cette terre

Ne pourra

Plus jamais vous séparer

Faut espérer.



Voila ma Soizic Françoise pour nous uniquement, pour nous quatres.
Tu connais ce texte,
Je viens de le modifié le fixant a jamais.
Je n'y toucherais plus il est a nous comme cela.

Tiens donc plus j'écris plus je deviens serein. Plus je m'approche de cette communauté différente de la mienne ! Dont je suis excommunié a cause de mon appartenance à ma fraternité Plus j'approche leur Dieu ?
Serais ce la ? Le chemin qu'il a pris pour me rejoindre.

Personne ? Ne semble surpris de cela ! Aucuns frères des deux communauté que je connais !
Ne semble surpris !

Bizarre ce destin la ! Bizarre ma vie !

Me voila chez l'autre ! Un père Dominicains dans sa chambre dans son intimité mise dans son ordinateur. Seul chez lui comme chez moi à l'aise.

Moi qui est toujours refusé d'approché leurs communauté leur Dieu leur foi.
Certains diront que tout cela est volontaire, voulu, non je ne le pense pas !
Jean pierre n'est pas comme cela. Il sait qu'il me perdrait a jamais Malgré son titre de prêtre
Ils ne sont pas comme cela.
D'ailleurs je sais que je pose souvent problème à cet homme.

Combien de fois ne m'a-t-il pas dit que lorsqu'il me donné la parole dans sa communauté pendant leurs offices en pleine messe, qu'il savait toujours comment je commencé mais jamais jusqu'où j'allais.

Je suis enseigné, j'enseigne ma propre philosophie. Lui aussi.
Ils fonctionnent comme moi liberté égalité fraternité amour charité espérances eux ajoutent
Foi.


Jean pierre m'a confié son soucis, la compréhension et l'utilisation de son ordinateur
Portable sous X P home.

Ma laisser faire en toute confiance sans rien enlevé ou caché de sa vie qui est dans son ordinateur.
Lorsque nous nous rencontrons à ce sujet nous ne parlons que de bibie, de notre amour d'elle.
Ma surprise fut d'y trouver le texte de bibie au sujet de sa mère et mon propre texte actuel.


A ma mère


Quand j'étais bébé !
Tu m'as abandonnée !
Je ne sais pas pourquoi
J'ai mille questions pour toi !

Quand je suis à la maison
Les enfants me posent des questions
Quelles réponses dois-je leurs donner ??
Je suis si troublée

Pendant toutes ces années
Mon cœur c est déchiré
Je ne t'ai pas retrouvé !
J'espère que tu m'as aimé !?

Brigitte Mossion 2005 ©


Aucune approche de Dieu ensemble. Non rien que du banal d'homme a homme.
Déjà je sais que j'en aurais pour un bout de temps à mettre tout cela en place cela me plait.

Apprenti de cet engin je l'ais était compagnon je le suis.
Rien d'extraordinaire dans cette machine rien que du banal d'humain.

Je remplace ces programmes par les miens ceux-ci correspondent a nos besoins.
Les mêmes. Amour de l'autre.
Sommes-nous différent ? Dans le fond de nous ! Non je ne le pense plus.

Voila pour toi Moudre mon moi intérieur.

Amour !

Je suis en paix doucement. Je vais sur mon chemin de mon chemin tranquillement, surement.

Sur le chemin de mon Dieu le mien a ma façon.
A ma manière comme je sais si bien le faire.
Ce jour du 10 novembre 2006 je termine cette ancienne vie de douleurs pour me tourné enfin sur la vie que j'aurais dut avoir.

Celle de la vie, de l'amour elle qui est au fond de moi

Père tu m'as toujours été l'ami fidèle, et, malgré mon doute terrible, je crois en toi

Amen

Voici Moudre ! Un poème pour toi rien que pour toi pour nous rien qu'à n'a nous.



Les mots fragiles


 

Les mots sont si fragiles
Sur tes lèvres d'argile.
L'encre à ses boucles brunes
M'est unique fortune.

Une strophe, un quatrain
Tel le galbe d'un sein
Le ciel qu'elle dessine
A mon âme s'incline.

Quand ses lignes se cambrent !
Je revis au cœur d'Ambre.
Au plus clair de sa plume
Je danse sur la lune.

Tous ces morceaux de verre
Ses souffrances d'hier !
Sont des perles de brume
Que mon amour consume.

Sous la voûte étoilée
J'ai appris ta beauté
Elle souffle les vers
En bulles de lumière

Rdessauvages© 10.12.2006



Moudre, Maman je t'aime
Nous nous sommes nous !

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives
Quelqu'un meurt,

Quelqu'un meurt,
Et c'est comme des pas
Qui s'arrêtent.
Mais si c'était un départ
Pour un nouveau voyage...

Quelqu'un meurt,
Et c'est comme une porte
Qui claque.
Mais si c'était un passage
S'ouvrant sur d'autres paysages...


Seigneur,



Puisque tu as voulu rappeler à toi ton serviteur Bernard

en lui imposant une mort difficile.

Accorde lui la vie éternelle,

Accepte nos prières que du fond de nos cœurs nous lançons vers toi pour lui

Nous garderons de lui Le souvenir qu'il aura été un homme de biens et de sacrifices,

d'abnégations, d'amour pour ces enfants.

Il se disait routard souvent élevant la voix, nous savions tous que c'était pour cacher

Le doux murmure de son cœur.

Toute la fin de sa vie a été tendue toute entière vers le Bien et l'Amour de son prochain,

vers les siens qu'il a tendrement chéris .

et vers tous ceux qui, dans la souffrance, l'appelaient au secours.

Puisse-t-il avoir cherché et trouvé son espérance.

Accepte,

Seigneur


Que cette prière faite pour lui, à travers notre amour, puisse apporter ta bonté et ta clarté à

ceux qui l'aiment et qui le pleurent.

Pardonne, remets ses péchés puisqu'il est au seuil de sa vie spirituelle.

Son temps terrestre est terminé et il est arrivé au palier dernier où la lumière est si belle que

les yeux éblouis voudraient contempler et contempler encore la beauté de ton image divine...


Fais,

Seigneur,


que par sa présence, il adoucisse les épreuves terrestres de ceux qu'il aime tant.

Seigneur,


donne-lui la paix dans la douceur de ton amour...

Rdessauvages© 15 mai 2007
  • Tétanisante inertie
    28.05.2020 12:18
    procrastination ?
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:17
    je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-)
     
  • Larme...
    28.05.2020 12:15
    bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-)
     
  • Haïku doré
    26.09.2012 16:01
    Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ...
     
  • Lettre par Aurore Dupin
    23.09.2012 10:27
    aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...