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Un matin de mars,
Sous une pluie grasse,
Satan a allumé les feux de l’enfer,
Ses flammes ont léchés mon derrière,
Il m’a réduit le corps en poussière,
Depuis ce jour là , il est dans mes traces…
Entre les lignes de ma main,
J’ai pourtant tout lu et bien vécu
De mon triste sort, de mon lugubre destin,
Je suis passé de la vie en trépas à la survie ;
Tout le monde l’a très bien vu,
Revivre pour laisser avec toi revenir ma vie…
La mort sur moi est passée,
Mon instinct, malgré moi, l’a dépassé
Juste ses douleurs elle m’a laissé
Pour que jamais, je ne puisse l’oublier
Je sais ; avec elle on ne peut négocier ;
Un jour elle m’emportera sans hésiter…
Depuis ce jour de mars,
Ma vie a pris le chemin d’une autre trace
Où juste la gentillesse, l’amitié et l’amour ont leur place
Tout le reste me laisse de glace,
J’ai rencontré une femme magnifique, brillante de strasses,
Mais elle a voué son âme et son cœur à Satanas…
J’ai pensé mes douleurs immortelles
D’aimer si fort cette femme trop belle,
LÃ encore, mon instinct rebelle
S’est révolté ; devant mon sentiment intemporel,
J’ai décidé de repousser cet amour si cruel
Du Diable ; pour moi sa finalité est devenue trop mortelle…
Georges Adrien PARADIS Ã Limoux le 27 novembre 2011 Ã 14h00