Avec ses immenses
Pattes effilées
De longue et jeune araignée,
Cette sublime jeune femme
Malicieuse, a piqué
Mon être jusqu’à l’âme ;
Je reste d’amour, paralysé
Sans plus aucune défense…
Autour de moi,
Tout entièrement,
Elle a tissé sa toile
Comme un vrai filet ;
Le trouble s’est emparé
De mon cœur, en voile
Opaque de désir et d’émoi,
Du vrai bonheur au tourment…
Et, soudain un jour
De février, l’hiver
S’est posé en gelée,
Le froid a coupé
Ce super et magique fil ;
Comme elle est venue,
L’araignée a disparue ;
Son amitié perfide a coupé
Sur le net son fil…
Sans doute pour l’éternité…
Georges Adrien PARADIS à Limoux le 18 Février 2012 à 12h00
Couper le fil
- Détails
- Écrit par giorgioadriano
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Amour
- Affichages : 2299
-
Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
Haïku doré
26.09.2012 16:01Bon Jour, Ciel, Si je puis me permettre, en toute amitié: 5/7/5 Vaste champ d'épis - Mot de saison ... -
Lettre par Aurore Dupin
23.09.2012 10:27aurore Dupin est le vrai nom de George Sand, elle a envoyé cette lettre à Alfred de Musset... je vous ...