Oh toi cruel, qui sans le savoir, a déchiré mon cœur !
La terrible flèche d'or d'éros a depuis longtemps percé,
Mon âme fragile, et tant de bouleversements m'a crée,
Toi qui a brisé mes espoir a aussi nourrit mon malheur !
Mon cœur s'emballe sans réelles raisons à la simple pensée,
De ton souvenir, de cette sincère amitié et d'insouciant bonheur,
En tant que rivaux, concurrents d'écuries, surtout amis. La peur,
Ronge mon courage, je ne veux pas admettre cette cruelle vérité !
Mais je suis trop fière, trop digne pour faire le premier pas,
A nouveau je crains le risque de me faire rejeter et que se brise,
Cette complicité si chère à mon âme, elle ne filera pas dans la bise...
Ce qui me torture est de ne pas connaître de manière précise,
Ce que je suis pour toi, bien que je craigne le pire dans ce cas,
Très cher ami et peut-être davantage, je refuse de te perdre pour cela !