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Écrit par harroon

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 22 février 2012

Création : 23 février 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3235

Vote utilisateur: 5 / 5

 

Je t’aime, O ma brune

Pour ton élégance, pour ton attrait

Pour ta nature séduisante, ta gaité

Pour ta beauté si vive et si discrète

Pour tes cheveux, chargés de nuits

Pour tes beaux yeux éclairés

Reflet de ton âme calme et pure

****

Je t’aime, O ma lune

Pour ton sourire d’enfant,

Pour ta douceur, pour ton bel esprit

Pour tes regards armés d’intelligence

En tes prunelles noires, loge

Notre trésor sacré

De rêves, d’espoirs, et d’amour

Hymne de notre union

****

Je t’aime, O ma brune,

Fleur de mille senteurs

Sourire de mes printemps

Augure de mes nouveaux jours

En ton sourire plein de charme

Sur tes lèvres se réveille l’avenir

En ton doux visage, calme et rose

Semblable au rayon matinal

J’ai senti la vie et le vrai bonheur

****

Je t’aime o mon adorable lune

Brillante de toute flamme

Caressant mon cœur, mon âme

Des mots féeriques d’amour

Je t’aime, oui je t’aime

Et je n’existe, qu’à travers toi

Qu’à travers ton infini azur./.

 

 

 

 

 

 

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Écrit par giorgioadriano

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 17 février 2012

Création : 18 février 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2362

Le matin à mon réveil,
S’ouvre sur moi la merveille
De ta beauté, comme un rêve
Remuant toute mon imagination ;
À l’intérieur de mon horizon,
Mon esprit désire juste ton champ de vision…

Le matin dés mon levé
Je cherche les scintillants rayons
Du soleil de tes yeux, pour me réchauffer
Des froidures de l’hiver en glaçons ;
Mon regard solitaire scrute l’horizon,
Mon être ressent ton absence sans trêve…

Le jour continue d’avancer toujours
Trop vite, mon cœur attend ton amour ;
Je regarde toutes tes photos sublimes
De Déesse si pure, si belle et magnanime,
Ton beau regard profonds, si bleu,
Emporte mon âme, mon cœur, vers toi par les cieux…

Je ne sais pas si mon cœur et mon âme
Pénètre cœur et âme de ton corps de femme,
Je ne sais pas si d’amour, tes visions
De moi, sont dans ton champ de vision ;
Moi, pour l’éternité, j’aime avoir l’unique vision,
De ta beauté éternelle, pour seul et unique horizon…

Anastasyia surtout ne me quitte pas
Je n’ai que toi pour revivre
Sans toi mon petit chat
Je suis comme un bateau ivre,
Ballotter, malmener pour survivre ;
Sans toi je meurs Anastasyia…

Alors notre relation ne la rompt pas…
Je t’aime
Georges Adrien PARADIS à Limoux le 12 Février 2012 à 14h00

 

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Écrit par harroon

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amour

Publication : 22 février 2012

Création : 23 février 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Loin de toi, par le temps

Par la distance

Près de moi, par la flamme

De l’amour

Et ton doux visage,

Toujours présent, en mon esprit

J’entendais ton cœur

En moi qui bat

Comme un souffle qui s’élève

Comme un encens subtil

En un allègre parfum

M’emporte loin

Vers ton monde

Chassa les gênes de ton absence

Et les ennuis du jour

***********

Comme Icare du soleil épris

J’écoutais ta douce voix

Venir de loin,

Avec ses murmures

Sur tes lèvres rieuses

Qui s’établissait en moi

Plus tendre que le chant

De l’amoureux zéphyr

Eveillais l’amoureuse flamme

De ton âme en mon âme

De passions et de de désirs

***********

Tu existais en moi

Lumières de joies,

Jamais éteinte

Qui m’enchante

Et m’attache à tes pas

A chaque chemin

Me poursuivait ta silhouette

Et le souvenir de tout ton être aimé

D’espace en espace,

Pour que nos âmes

S’unissaient.

Le 18/12/2011***

 

 

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Écrit par giorgioadriano

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Catégorie : Amour

Publication : 17 février 2012

Création : 18 février 2012

Mis à jour : 16 octobre 2015

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Avec ses immenses
Pattes effilées
De longue et jeune araignée,
Cette sublime jeune femme
Malicieuse, a piqué
Mon être jusqu’à l’âme ;
Je reste d’amour, paralysé
Sans plus aucune défense…

Autour de moi,
Tout entièrement,
Elle a tissé sa toile
Comme un vrai filet ;
Le trouble s’est emparé
De mon cœur, en voile
Opaque de désir et d’émoi,
Du vrai bonheur au tourment…

Et, soudain un jour
De février, l’hiver
S’est posé en gelée,
Le froid a coupé
Ce super et magique fil ;
Comme elle est venue,
L’araignée a disparue ;
Son amitié perfide a coupé
Sur le net son fil…
Sans doute pour l’éternité…
Georges Adrien PARADIS à Limoux le 18 Février 2012 à 12h00