La femme est une Ile, ondule sous le vent,
où le cœur de l' homme, s'y perd si souvent.
Du vague à l'âme, au cœur en flamme,
de son fol espoir, de s'y briser en lames.
La femme est une Ile, ondule sous le vent,
que le corps de l'homme, caresse de ses flancs.
En perpétuant ainsi, dans une union parfaite,
une l'histoire éternelle, qui fit tourner des têtes.
La femme est un Ile, ondule sous le vent,
elle l'attire en silence, emporte l'un des sens,
Au rythme de ses hanches, l'amène à sa cadence,
et telles une vague têtue, s'y enroule en rêvant.
La femme est une Ile, ondule sous le vent,
aux rêves de coquillage, au parfums enivrants.
Et de dunes salées, en rochers interdits,
de prisons délicieuses, aux regards d'océan.
L'homme qui la désire, accoste sur ses plages,
ensemble jours après jours, ils bleuissent les pages.
De l'écume des jours, au crépuscule bleuté,
L'homme demeure auprès de celle...
Que de sa vie durant, il aura désiré...
Muriel.