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Écrit par maména

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amitié

Publication : 9 janvier 2011

Création : 10 janvier 2011

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3571

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Demain quand la rosée du matin tombera

Je t'appellerai  alors que le jour s'ouvrira

Je t'appellerai comme chaque année

Pour te souhaiter une bonne et heureuse année

j'entends de loin les bruits de gouttelettes

Qui tombent sur les toits

J'entends de loin les bruits de gouttelettes

Qui rend l'air si froid

Tant de bruits pour m'annoncer l'arrivée du matin

Que cela m'empêche de dormir

J'attendrai demain j'attendrai le matin

Pour te parler de notre amitié à demain

On parlera de nos souvenirs

On parlera de nos différences

On parlera de notre avenir

On parlera de nos devenirs

On parlera de nos préférences

Mais on n'oubliera pas l'amitié qui nous unis

Si tu me disais

Que fais tu ce soir?

Je fais une fête

Je t'invite ce soir

Je mettrai ma plus belle robe

Celle que tu aimes la rose

Au nom de l'amitié

Je t'offrirai un beau présent

Pour te souhaiter une bonne et heureuse année

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Écrit par Mano

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amitié

Publication : 9 juin 2010

Création : 10 juin 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3161

Te souviens-tu

Te souviens-tu, ma camarade,

De comment nous sommes devenue inséparable ?

De mon arrivée dans la vallée ?

Du premier regard que nous avions échangé ?

Des jours pas si lointains,

Où nous parlions de tout et de rien ?

Te souviens-tu, mon amie

De nos premières boum et autres sortie ?

Des deux adolescentes que nous étions,

Rêvant dans le noir,

En chuchotant le nom de quelques garçons ?

De nos discussions, pleines d’espoir ?

De nos éclats de rire si tard le soir

Qu’à chaque fois, ils incitaient ton père,

A nous menacer pour nous faire taire ?

Si j’évoque aujourd’hui son souvenir,

Ce n’est pas pour te faire souffrir !

Loin de moi l’idée de te voir pleurer.

Mais seulement pour t’assurer,

Qu’il est toujours présent,

Dans nos souvenirs d’enfant,

Ce qui le rend moins absent

Pour célébrer avec nous cet instant.

Souviens-toi, mon amie,

Que malgré tout la vie te sourit !

Quarante ans

C’est un commencement

Une vie qui continue à s’inventer

Auprès des êtres aimés

Et avec qui on a encore tant à partager !

Souviens-toi, mon amie

Que malgré tout la vie te sourit.

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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amitié

Publication : 30 septembre 2010

Création : 1 octobre 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3759

Tu te raproche de moi

encore et encore

Je finis par ne plus penser qu'a toi

Pourant tu n'est pas le seul à être en or

Mon meilleur ami que j'aime tant

Mal grès tout ces défauts surprenants

Tes petits vices de graçons

Tu es une mélodie, un surprenant son

Mais à cause de tes plaisanteries

Aujourd'hui une fille veut que tu paille le prix

devant cette cruel justice

Encore à cause de tes vices

Et moi qui essayait de t'aider

De t'empecher de tomber

La véritée est toujours déformée

Pourquoi est ce que je l'ai oubliée?

Nous deux on a une famille anormal

Et moi pour te defendre j'ai dit que tu avait deja trop mal

Maintenant tu me hai

De les avoir sois-disant insultés...

La moitiée de mon coeur me consolle

Me dit que si il n'y à rien qui colle

Il faut laisser passer

Et se laisser aller

Qui choisir entre l'amour de ma vie

Quand tu me voi les yeux fardés

Et les paupière délicatement soulignées

Tu dit que tu me préférait au naturel

Mais je ne doit pas etre comme tel

Pour vivre

Et ne pas me laisser mourir

l'ami de mon enfance

Je n'arrive pas ç t'hair comme je pense

Si c'était moi tout serais finit

Mais c'est toi et j'ai peur que tout finisse.

Ne me hai pas, reste ave moi

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Écrit par Bapam

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Amitié

Publication : 26 mai 2010

Création : 27 mai 2010

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 1941

Ami sincère de mon fils.

Toi qui jadis.

Le considérais comme un frère.

Tu m’as dit qu’Alex était droit et fier.

Il aimait ses parents et sa petite sœur.

Notre amour pour lui est immense.

Maintenant nous sommes dans les pleurs.

Comment combler ce gouffre et ce silence ?

Sache que notre fils était un rayon de notre soleil.

Maintenant il est dans un incommensurable sommeil.

Nos larmes et nos appels restent sans réponse.

Alexandre tu es parti vers d’autre horizon.

Florent quand tu m’as dit qu’Alex estimait ta famille.

C’est vrai qu’il avait bon cœur et qu’il aimait tes petites.

Tu te reposes dans ton salon en fin de semaine.

Une peluche près de toi troue le silence en disant «  je t’aime. »

Tu es convaincu et ravi.

Que ton cher ami t’ai envoyé un signe.

Où que tu sois parle lui il t’entend.

De là haut il veille sur nous soyons dignes.

Tu as longtemps pleuré la perte de ton ami.

Maintenant que sa tombe est faite, tu es soulagé.

Tu sais qu’il est bien là haut dans l’infini.

T ’exprime là reconnaissance et dit «  vous avez bien assuré. »

Nous avons voulu que sa dernière demeure soit somptueuse.

A la hauteur de notre amour et ta grande générosité.

Le destin a voulu qu’il parte vers d’autres cieux.

Il nous attend les bras ouverts avec milles baisers.

Cesses d'être anxieux.

Delà haut il nous regarde avec ses grands yeux bleus.

Vivons dans la paix et la sérénité.

Lui nous attend dans l’éternité.

Bernard Perez .