Au pays de Mussolini
Vesta pleure.
Oranges sanguines aux goûts d'innocents,
Tirés à vue,
Faits divers anodins
Pour des vies humaines discountées.
On s'en fout, c'est des sans papiers !
Actes isolés par milliers
Transparents, insignifiants
Dans nos petites vies fermées.
Cancer généralisé
Qui contamine jusqu'au plus candide
Révélant la bassesse ancestrale
Tapie dans nos entrailles.
Et si tout était orchestré ?
Tout puissant vaniteux
Pour la course aux royaumes
Sont prêt à dépoussiérer
Le pire de l'humanité.
Devant la débâcle mondiale,
Glorifiants d'incompétences,
Ils se réfugient dans l'antre du monstre,
Se délectant de la facilité
A rallumer le brasier.
On s'en fout, c'est des étrangers !
Â
Devant le marasme éclaboussant,
Ils recherchent des solutions primaires
Pour camoufler leurs débilités,
Ca a déjà marché dans le passé.
Et si le bruit de bottes revenait
Caché au milieu de ce bourbier,
Serions nous prêt à le discerner ?
Nos âmes formatées, lobotomisées
Réagiraient-elles à cette atrocité?
On s'en fout, c'est nos frères !
Â
Mira
Commentaires
C'est bien d'en avoir parlé
Bon soir ANONA,
J'espère que c'est le "fait divers"que tu découvres avec horreur et pas mon poème
Un Cri de Révolte venant du Coeur!
L'idifférence généralisée et ...
Tout va bien dans le meilleur des mondes!
ANONA qui découvre cette horreur.
S’abonner au flux RSS pour les commentaires de cet article.