L'alibi que je m'octroies
Est perfide et sournois
Mais ô combien bénéfique
A mon mental oppréssé.
Quelle sensation divine
D'aspirer une bouffée de nicotine
Et d'éprouver pendant quelques minutes
Le répit tant recherché
Au milieu de tout ce tumulte.
Plaisir chimérique et cruel
Quand Envie et Raison se battent en duel,
La clope au bec comme bouclier,
Je cède aisément à cette manie usuelle
Sans remords ni culpabilités.
Ma clopinette que j'aime tant,
Je ne conçois pas pour l'instant
Me séparer de ton précieux présent.
Et tant pis pour les conséquences,
Quand l'addition me sera donnée,
A l'heure de passer à trépas,
J'assumerai mon péché,
Je ne pourrai m'écrier : "je ne savais pas !"
Mira
Commentaires
presque une petite ronde
rond de fumée dans lequel on disparait
petit poeme tres mignon
mais ,qui paiera l addition ?
toi ou ceux qui resteront??
fume; fumera ,la derniere ne passera pas
bonne continuation je vais m en griller une
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