Je ne sais plus si je dois croire,
En l humanité ni a ses droits,
Je cris dans mes rêves en pensant a ça
De voir que l'espoir n'est roi,
Que de rire à la fatalité me donne le choix,
Du glaive ou du marteau en bois,
Et j'ai choisi la foi,
Finalement l'on pardonne tout
Finalement on lâche prise
De ce battre contre soi,
Car cette idée préconçue que l'homme sera toujours ce qu’il est,
Est une idée bien conçu pour ceux qui la trahisse.
Rappel toi enfant les sourires des personnes autour de toi
Le cœur battant comme un lion sur ses terres
La main tendre de cette personne dont tu tends les bras
L’amour qui te porte, l’innocence de tes actes
Le temps passe et finalement au fond tu ne change pas
Tu reste cette enfant, avec cette bonté
Mais aussi tes moments noirs d'orgueil,
Rempli de haine pour des choses que tu ne comprends
Surtout peur de ce que tu ne maitrise pas
Fais grâce à ton cœur les souffrances de ta raison.
Toi le maitre de tes pensées, rêve.
Nourris tes sens de liberté, audace et d'humilité,
Que tu sois noir jaune ou blanc,
Tu reste à toi seul le changement, le libre arbitre,
De croire ou de rejeter, en toi seul
Le cri d'espoir qui vient a toi.
C’est celui de ton âme et pensée.
Car c'est toi l humanité.