devant la vieille mere; au visage ridèe, deformè par la houle
mes pensèes s appaisent bercèes par ce chant melodieux.
je m acroupie, sur cette vieille terre que mes pas foulent,
et je contemple l oeuvre du temps,ce tableau de dieux.
assis la , j'ecoute les vagues qui me parlent de libertèe,
qui m appel;assis ou tout s arrete;devant la, ou tout a commencè
et j ais compris qu une falaise n etait pas une fin
ni un obstacle,avec un peut d entein, et en regardant bien
on trouve toujours un chemin ,pour aller vers ce qui nous attire
la fin le renouveau ; cette limite ou tout bascule dans le plaisir
d un espoir nouveau,scandè par le ressac.
part et vide les pierres de mon sac
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