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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Acrostiche

Publication : 20 juillet 2008

Création : 20 juillet 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3264

S ilence, regardez, cette femme, c'est ma mère,

O h oui, je vous le dis, elle en a fait des guerres.

I mmuable soutien, ravissante égérie,

X énophile des personnes et de tous gens d'esprit.

A ltière et frêle aussi, elle défie les printemps,

N ée à l'aube de troubles et bien funestes heures,

T émoin des désordres et des crimes de ces temps.

E lle exalte en son sein de juillet le miroir

D ebout dans le soleil et ignorant la peur.

I mmortelle comme la fleur dans la lumière du soir,

X éranthème dans mon cœur qu'elle nourrit d'amour.

A t'elle de quelque fée gagné le sortilège ?

N 'en déplaise aux envieux qui restent sur la berge.

S ilence, regardez, plus besoin de discours.

M ême à l'aplomb du temps passé,

A lors que nos ailes blanchissent,

M aman tu n'es pas surannée.

A nniversée, ton front si lisse

N argue soixante dix années.

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Écrit par Siorg

Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Acrostiche

Publication : 24 avril 2008

Création : 24 avril 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 3681

 

Si tu pouvais remonter l'âge des temps

YSEULT serait vite oubliée de TRISTAN

Les roses de RONSARD te seraient dédiées

Victor Hugo te chanterait ses poèmes

Ici et là un hymne à ta beauté

Et chaque poème te dirait : JE T'AIME

 

Jadis est bien loin et tu es au présent

Eluard mieux que moi proclame ce chant:

 

Tu es le soleil qui me monte à la tête

 

Aurore d'un Amour qui me fait la fête

Issue d'une autre vie où tout est merveille

Maintenant, sur ma vie, brille le soleil

Et chaque mot prononcé te dit : "JE T'AIME"

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Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus

Catégorie : Acrostiche

Publication : 1 juin 2008

Création : 1 juin 2008

Mis à jour : 16 octobre 2015

Affichages : 2742

Tumultueux décor, toujours en mouvement
Offensée, asservie, notre planète rue.
Un drapeau est hissé, si blanc au firmament
Je l'ai vu un instant dans la lumière crue.
Ou sont nos lendemains aveuglés d'espérance?
Un faux prophète ami réclame sa créance.
Regardez ces démons qui se croient immortels,
Soyons de leurs excès toujours les sentinelles.