Condette 2006
Nous y voila toi !
En quête de moi ?
Moi pour une fois à l'écoute de toi
Face à face
Dans ce silence du parc.
Silence, colère, haine de moi pour toi !!
Je dis.
Amour patience réconfort
De toi
Ont me dit !
Nous sommes la
Face à face.
Le silence est le silence
Cela ne tiens qu'a un fil.
Phil me murmure accepte !
Que l'ont puisse t'aimer
Laisse-toi aimer.
Je suis trop blessé.
Accepte d 'être aimer ?
Mais de qui ?
A part bibie !
Ce ne sont que des mots
Je n'ai que des maux
Tu n'as pas
Phil le ton haut
Je n'ai que le silence
De mes maux.
Brave Gisèle
Ta joie, ta foi
Instantanée ton amitié de moi
Me rappelle ma peine
De celle que j'aime
Qui a ton âge
En amour de moi
Est enfermée
A tout jamais.
Petite Cécile
Qui a moi c'est confié
Avec qui j'ai commencé à me libérer
Me dit merci
De cet échange
Tu me confie
Je suis comme toi une révoltée. !
Sais-tu que ma nièce qui comme toi
Porte ton prénom
Est ma désespérance
Tu m'as dit tes mots
Je t'ais confié mes maux
Mes maux sortent
Merci
De ce don de ton
Espérance.
Rachid !!
Tu t'es écarté, isolé
Tes souffrances tu les as exprimées
Souffrances du corps
De l'âme
Que tu puis je faire pour toi ?
Comment t'approcher ?
Trouver l'envie en toi
De me parler.
Moi de m'approcher de toi. !
Cela semble idiot
Je n'ai comme toi que des maux
Malgré nos apparences
Nous sommes en souffrances
Je sais partager
Je veillerais que tu es toujours à fumer
Il nous fallait
Cheminer chacun de son coté
Nous retrouver pour fumer
Nous avouer que nous étions déjà
Depuis longtemps en amitié
Tu la exprimer
Dans ce rond
Au parc par deux fois
Tu as dit le bonheur que
J'y sois
Par deux fois tu as atteint mon cœur.
J'ai reçu de tous,
J'ai reçu de toi.
J'ai donné à tous,
J'ai encore reçu de toi.
J'ai accepté que tu sois la
Au plus profond de moi
La d'où partent mes maux
Mes mots de haine de toi
Trois jours à réfléchir
A fumer
Désolé Marie Paule !
Cela m'a été nécessaire
Ne crois pas en un irrespect de toi
Partout sans cesse
Il faut que cela cesse
De l'amour des hommes !
J'en ais
Même si je ne le dis pas
Ont me dit froid parfois
Tendre d'autres fois
Ne m'a t'on pas dit
Tendre comme un chamallo
Dans un bloc de béton
Je dois m'armer pour me défendre
De moi. De toi !
J'ai nié, pesté, ragé, dénoncé, insulté
Vomit ce dieu dont vous me parler
Ecrit contre lui
Si je n'avais pas fait cela
S'il n'avait pas accepté
Ce don de moi
Ce dieu tant décrié
Je n'aurais pas résisté !
Je ne ferais plus rien contre ce corps
Tu ne l'a pas accepté
Ce n'était pas moi
Coquin de toi !
Me tuer au pistolet tu n'as pas accepté
Tu m'as fait donner un fusil
Et de quoi le charger
Par cette tante qui me disais m'aimer
En lui faisant dire
Tu es cet enfant que je n ais pas
Cela deux jours après.
Coquin de toi
J'e n'es pas vu t'a présence
Tous ces mois auprès de moi
Cela je ne l'es pas encor dit
Cela se voit
Pourtant tu es la
Tout prés de moi a mes cotes.
Tu dors a coté de moi
Dans le cœur de bibie
Qui bat pour moi
Tu attends que je voie que tu es en moi
Je le sais je le sens
Petit bout de femme
Quelle joie dans ces yeux
De ce baptême reçu.
Qui m'a inondé
Coquin de toi
Que ma' tu fais écrire la
Ce texte que je ne comprenais pas.
Désespérance transformé en espérance
De se désamour transformer
En concentré de toi
Je ne sais pas participer à vos jeux
A votre joie
Ce combat entre moi et moi
Trop difficile
Je me referme une fois de plus
Suis-je différent ?
Je m'isole une fois de plus.
Vos jeux à thèmes
Vous remplissent de joie
Les miens sont dans l'arène ou je me bats.
Quadrature tu cercle
Nous voilas en rond
Face à face
toi contre moi
Moi contre moi
Pitié pas de notre père
Mes frères et moi avons enterré Françoise
Ceux-ci m'ont chargé de te glorifié
Afin de l'enterré avec un peu de foi
Qu'ils n'ont pas
Mon cœur c'est brise ce jours la.
Au nom d'un notre père. !!
Nous voilas en rond
Face à face toi contre moi
Face à vous
Face à toi
A chaque bonheur que je reçois !
J'attends la saloperie qui va
Aussitôt venir.
C'est comme cela
Dans ce rond,
Comment exprimer ce changement ?
Qui à l' instant ce passe en moi
Cela vient du plus profond de moi
Que dire ?comment dire !
Je ne parle qu'à toi.
Les larmes de joie me viennent
Pour la première fois.
Sur le sable en amitié
Ont me dit
Tu parle de trop
Que de toi
Même à la filature tu te prends pour le roi
C'est comme cela que je le reçois cela est dur
Tu accapare benoit quel coup bat
C'est la vie
Voila la saloperie qui, a suivi
Normal
Cela a était toujours comme ca
Jusque la !!
Ne sais tu pas ami ?
Que je te noie de mots
Cela me permet de me soigner
De mes maux
Que faire tous tourne en moi ?
Ne suis-je pas armer pour me défendre
Oh que si !!
J'ai l'esprit et le corps vif
Les deux biens armés
Dois-je me faire pardonner ?
De ce que je suis.
Antithèse de ma philosophie
Qui me dit
Je suis ce que je suis
L'œil de Caïn était dans la tombe
Pas ton œil
Ami mon frère
Dans le mien dans mon regard
Il fallait comme Phil m'a demander est tu confirmé ?
Attesté !
Je le suis frère
Est tu mon tourment ?
Non ! Même pas !
Un simple événement
Balayé négligemment
Dans ce flot de tourments
Voici ma dette
Voici mon condette
Que toi ami ?
Tu liras pour moi !
Pour l'amour de moi
Pour mon amour de toi
Pour notre amour de lui
Pas par vengeance
Pour ma pénitence
Dieu est passé par toi
Aussi Pour moi
Je suis apaisé !
Rdessauvages©5 juin 2006
Nous y voila toi !
En quête de moi ?
Moi pour une fois à l'écoute de toi
Face à face
Dans ce silence du parc.
Silence, colère, haine de moi pour toi !!
Je dis.
Amour patience réconfort
De toi
Ont me dit !
Nous sommes la
Face à face.
Le silence est le silence
Cela ne tiens qu'a un fil.
Phil me murmure accepte !
Que l'ont puisse t'aimer
Laisse-toi aimer.
Je suis trop blessé.
Accepte d 'être aimer ?
Mais de qui ?
A part bibie !
Ce ne sont que des mots
Je n'ai que des maux
Tu n'as pas
Phil le ton haut
Je n'ai que le silence
De mes maux.
Brave Gisèle
Ta joie, ta foi
Instantanée ton amitié de moi
Me rappelle ma peine
De celle que j'aime
Qui a ton âge
En amour de moi
Est enfermée
A tout jamais.
Petite Cécile
Qui a moi c'est confié
Avec qui j'ai commencé à me libérer
Me dit merci
De cet échange
Tu me confie
Je suis comme toi une révoltée. !
Sais-tu que ma nièce qui comme toi
Porte ton prénom
Est ma désespérance
Tu m'as dit tes mots
Je t'ais confié mes maux
Mes maux sortent
Merci
De ce don de ton
Espérance.
Rachid !!
Tu t'es écarté, isolé
Tes souffrances tu les as exprimées
Souffrances du corps
De l'âme
Que tu puis je faire pour toi ?
Comment t'approcher ?
Trouver l'envie en toi
De me parler.
Moi de m'approcher de toi. !
Cela semble idiot
Je n'ai comme toi que des maux
Malgré nos apparences
Nous sommes en souffrances
Je sais partager
Je veillerais que tu es toujours à fumer
Il nous fallait
Cheminer chacun de son coté
Nous retrouver pour fumer
Nous avouer que nous étions déjà
Depuis longtemps en amitié
Tu la exprimer
Dans ce rond
Au parc par deux fois
Tu as dit le bonheur que
J'y sois
Par deux fois tu as atteint mon cœur.
J'ai reçu de tous,
J'ai reçu de toi.
J'ai donné à tous,
J'ai encore reçu de toi.
J'ai accepté que tu sois la
Au plus profond de moi
La d'où partent mes maux
Mes mots de haine de toi
Trois jours à réfléchir
A fumer
Désolé Marie Paule !
Cela m'a été nécessaire
Ne crois pas en un irrespect de toi
Partout sans cesse
Il faut que cela cesse
De l'amour des hommes !
J'en ais
Même si je ne le dis pas
Ont me dit froid parfois
Tendre d'autres fois
Ne m'a t'on pas dit
Tendre comme un chamallo
Dans un bloc de béton
Je dois m'armer pour me défendre
De moi. De toi !
J'ai nié, pesté, ragé, dénoncé, insulté
Vomit ce dieu dont vous me parler
Ecrit contre lui
Si je n'avais pas fait cela
S'il n'avait pas accepté
Ce don de moi
Ce dieu tant décrié
Je n'aurais pas résisté !
Je ne ferais plus rien contre ce corps
Tu ne l'a pas accepté
Ce n'était pas moi
Coquin de toi !
Me tuer au pistolet tu n'as pas accepté
Tu m'as fait donner un fusil
Et de quoi le charger
Par cette tante qui me disais m'aimer
En lui faisant dire
Tu es cet enfant que je n ais pas
Cela deux jours après.
Coquin de toi
J'e n'es pas vu t'a présence
Tous ces mois auprès de moi
Cela je ne l'es pas encor dit
Cela se voit
Pourtant tu es la
Tout prés de moi a mes cotes.
Tu dors a coté de moi
Dans le cœur de bibie
Qui bat pour moi
Tu attends que je voie que tu es en moi
Je le sais je le sens
Petit bout de femme
Quelle joie dans ces yeux
De ce baptême reçu.
Qui m'a inondé
Coquin de toi
Que ma' tu fais écrire la
Ce texte que je ne comprenais pas.
Désespérance transformé en espérance
De se désamour transformer
En concentré de toi
Je ne sais pas participer à vos jeux
A votre joie
Ce combat entre moi et moi
Trop difficile
Je me referme une fois de plus
Suis-je différent ?
Je m'isole une fois de plus.
Vos jeux à thèmes
Vous remplissent de joie
Les miens sont dans l'arène ou je me bats.
Quadrature tu cercle
Nous voilas en rond
Face à face
toi contre moi
Moi contre moi
Pitié pas de notre père
Mes frères et moi avons enterré Françoise
Ceux-ci m'ont chargé de te glorifié
Afin de l'enterré avec un peu de foi
Qu'ils n'ont pas
Mon cœur c'est brise ce jours la.
Au nom d'un notre père. !!
Nous voilas en rond
Face à face toi contre moi
Face à vous
Face à toi
A chaque bonheur que je reçois !
J'attends la saloperie qui va
Aussitôt venir.
C'est comme cela
Dans ce rond,
Comment exprimer ce changement ?
Qui à l' instant ce passe en moi
Cela vient du plus profond de moi
Que dire ?comment dire !
Je ne parle qu'à toi.
Les larmes de joie me viennent
Pour la première fois.
Sur le sable en amitié
Ont me dit
Tu parle de trop
Que de toi
Même à la filature tu te prends pour le roi
C'est comme cela que je le reçois cela est dur
Tu accapare benoit quel coup bat
C'est la vie
Voila la saloperie qui, a suivi
Normal
Cela a était toujours comme ca
Jusque la !!
Ne sais tu pas ami ?
Que je te noie de mots
Cela me permet de me soigner
De mes maux
Que faire tous tourne en moi ?
Ne suis-je pas armer pour me défendre
Oh que si !!
J'ai l'esprit et le corps vif
Les deux biens armés
Dois-je me faire pardonner ?
De ce que je suis.
Antithèse de ma philosophie
Qui me dit
Je suis ce que je suis
L'œil de Caïn était dans la tombe
Pas ton œil
Ami mon frère
Dans le mien dans mon regard
Il fallait comme Phil m'a demander est tu confirmé ?
Attesté !
Je le suis frère
Est tu mon tourment ?
Non ! Même pas !
Un simple événement
Balayé négligemment
Dans ce flot de tourments
Voici ma dette
Voici mon condette
Que toi ami ?
Tu liras pour moi !
Pour l'amour de moi
Pour mon amour de toi
Pour notre amour de lui
Pas par vengeance
Pour ma pénitence
Dieu est passé par toi
Aussi Pour moi
Je suis apaisé !
Rdessauvages©5 juin 2006