Tel le léger vent du soir effleurant les dunes;
Echappant aux derniers rayons chauds du soleil;
Je profanerai du regard, la pureté des courbes de ton corps;
Epousant de mon souffle, un à un, les grain de ta peau
Chaque détail se fera sentier ou le désir me mènera;
Pour me perdre, volontaire, dans l'immensité des creux de tes reins;
Je serai tien, esclave des murmures échappés;
Nos doigts entrelacés, serrés pour une danse d'abandon;
Seul, le silence se fera témoin, aveugle de nos actes;
Condamnés à la liberté de s'aimer.