*Les milliers de roses.
Les milliers de fleurs.
Toutes réunies.
A ta fine beauté.
Ne valaient aucune chose.
Devant ta grâce.
Mourront d’envies
Brillai le soleil.
Brillaient tes cheveux dorés.
Et chaque rayon.
Se pressai à prendre place
A tes cotés.
Vibrai mon pauvre cœur
A ton doux sourire d’ange.
Comme s’il n’a jamais exister.
Je te regardais et je ne cessais
De te regarder.
J’immergeais dans un monde
De merveille.
Au fond de tes yeux
Océan bleu.
J’ai découvert, la vie, la joie
Qui m’ont manqués.
Mon sourire d’enfant.
Que j’ai oublié.
Mes heureux printemps.
Que les âpres hivers ont chassés.
Je te regardais et je ne cessais.
De te regarder.
Je t’écoutais comme.
Un môme sans broncher.
Chaque mot, chaque parole.
Retentissait dans mes oreilles.
En une majestueuse mélodie.
Réchauffant mon cœur gelé.
Se dissipais devant ta fine beauté.
La tristesse, dans mes yeux logeait.
Dite moi ma reine.
Si c’était un rêve.
Moi je ne le sais plus. ****