Si tu savais. Combien ton absence Me faisait mal.
Et combien ta présence. Dans ma vie est magistrale
Chaque rue, chaque chemin.
Me rappelait tous les matins.
De mon bonheur et le sourire.
De ton gracieux visage.
Si tu savais.
Combien je sentais.
Les sueurs chaudes.
Quand je te tenais par la main.
Avec nos innocents rires.
Qui emplissaient le néant.
Aux yeux vides.
Sans se lasser, des baisers.
Qui enflammaient le jour.
Si tu savais combien.
A chaque rue, chaque coin.
Résonnait encore ta voix.
Et tes murmures.
De nous évader de la ville.
Des yeux des envieux.
Des jaloux et des gens.
Jouir de bons moments.
De la folle passion.
Comme deux papillons.
En plein printemps.
De notre fol amour.
Que dire ma vie ma raison.
Là où je mettais mes pas. surgissent à travers les rayons. De l’éblouissant soleil.
Ta beauté et ton charmant sourire.
Si tu savais
Du mal de ton absence, ce que j’endure.
Dans chaque rue, chaque chemin.
Comme un enfant.
J’attendais ton retour.
11/07/11