La névrose , lente , sur le rosier fleurie d'épines
Comme le coeur des veuves espagnoles devant les cierges d'or
Elle n'a d'autre dynamique que la mort assassine
Noir et traitresse , comme le chat d'Edgar Allan Poe qui miaule
Et mes doigts blanc sont des hommes ! Des soldats épiques !
Coiffés du sang de leurs pères , du sang de leurs mères
Quand alors j'enfonce mains et maints plaisirs d'agnostique
Dans le buisson ou le rubis mate habille la fleur des Enfers
Quelque soit l'issue de la bataille menée
Le sang versé sera noble et je le porterai en blason
Comme une pierre précieuse , prestigieux corindon
Puisqu'ils sont unis par serment, la beauté et ce Génis!
Et que les vertueuses grâces de la fleur me sont chéries
Je mords en condamné dans la rose aux feuilles dentelées
Le rosier
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- Écrit par Viquier
- Catégorie parente: Cercle des poètes inconnus
- Catégorie : Nature
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Tétanisante inertie
28.05.2020 12:18procrastination ? -
Larme...
28.05.2020 12:17je pense que je voulais dire un truc spéciale... caché... intrigant :-) -
Larme...
28.05.2020 12:15bah en fait je ne sais même plus ce que voulais dire !! lol :-) en tous cas attristés prend ées :-) -
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