Ma prison.
Pour toi j’ai pleuré mon amour,
Quand tu es parti un jour.
Et des rivières de larmes,
M'ont fait baisser les armes.
Toute une année est passée,
Dans mon desespoir j'étais cloitrée.
Prisonnière d'une cellule invisible,
Dont les barreaux étaient tangibles,
J emmergais de cet endormissement,
Décidée à vivre librement.
Mon corps est libéré de ses chaines,
Mon coeur et malgré tant d'années,
N'as pas su se libérer
M'empechant de vivre tout amour... sans haine !
Steredene le 21/09/2008