Larmes de désespoirs
Tous ces matins noirs !
Tous ces soirs de désespoirs
Que se passe-t-il dans son regard
Noir Jais qui m'avait accroché
Un soir d'aout
Ou est né notre amour fou
Que faire, que dire ?
Pour lui plaire
Comment lui dire ?
De son corps torturé
Je n'ai cessé de le désiré
Pourquoi cela !
Comme tous les soirs,
De notre amour
Je n'ai que tourments
Je ne sens que plaies de son passé
Je ne cesse de lui dire
Que je la désire
A torts ? J'aime son corps
Plaies du présent et du passé !
Mon esprit, mon cœur brule de désirs
Torturé ma pensée vire
D'un tourbillon géant
Qui me même sur le sillon de notre passé
Tu temps heureux
Ou nous nous sommes aimés
Voila mon chagrin !
Je crains que son amour de moi
Pas si lointain !
Sois sur le déclin.
Me déclame chaque jour son amour
Me confie son âme
A tort vois pour elle la mort
Abandonné handicapée
Ne sens t'elle pas dans son âme ?
Qu'elle m a confié
Ce désarroi qui est insidieusement
Dans la mienne apeuré, glissé
Que perfidement je perds la raison
Déraisonne à tous vents
Crains d'elle, de son abandon !
De sa peur de son devenir ?
Du repentir de mon engagement
Profond dans sa maison !
Oh être que je chéri
Ma bibie
Rassure-moi, dis-moi
Que ce n'est pas de moi
Que tu souffre
Dit mes torts
Ce n est que ton corps
Frêle en douleurs
Que te vient ta peine
Rassure se visage blême
De cet homme qui t'aime
18 juin 2006©Rdessauvages 01h00