Une lueur est née : l’ombre de tes yeux
Aspergée de rayons bleus, bleus... Radieux
Un Soleil est arrivé : le vent de tes lèvres
Vaporisé de douces vapeurs d’orfèvre
Ta douceur s’étend comme une fraiche ondée matinale
Et laisse dans mon âme un espace intersidéral…
Ne pas savoir ce que tu penses et ressens.. Dans le noir.
Espérer ne pas cette confiance atrophier... Garder Espoir.
Demain ton silence me dira peut être ce qui s’est passé.
Innocemment à coup de vide ira haut m’arrimer…
Je ne suis pas arrivé à te parler, moi qui t’avais enfin là…
Et la distance s’est creusée comme un cancrelat.
Une espérance subsiste dans une escarcelle de mes mains…
Ces graines de bonheur enchantées à l’odeur de carmin.
Elles sont tombées, semées dans un caveau en champs déguisé
Et moi… Si bête… N’ai pas su les ramasser.