On t'as donner le nom d'une destructrice,
Proscrite et prohibée,
On t'as affublée de tous les vices,
Mais dans nos foyers tu as circulée,
Y donnes la vie comme l'eau.
Alors quand dans nos cerveaux,
Tes ravages sont accomplies,
On sent, au plus profond de nous
Ton souffle apaisant qui nous assouvis.
On en oublie le cri de loups,
Etouffant ces mauvais pressentiments,
Exaltante, persévérante,
Tu montes en moi, te mélanges à mon sang,
Oui, maintenant tu me hantes...