À l'ombre des années,

Raisonnent encore,
L'écho de nos baisers.
L’ effervescence de nos désirs.

Ce matin la,

L'air y était si doux,
Le temps radieux.
Instant un peu fou,
De nos ardeurs en délires.

Nos caresses nos regards,

Infiniment passionnés,

Abondements enflammés

Enfiévraient nos corps.

Ce qui au silence de nos baisers,
Nous réunissaient enfin Toi et moi.

L’extase de tout ce ressenti,

Comblait tout nos sens,

Délicieusement mis en émoi.

Et puis le moment,

De la séparation arriva.
Mon cœur en resta blessé,

Affligé, attristé, dépouillé,
De tous ses rêves, et
D'un amour inachevé.