Ca y est, la tempête est enfin passée...
Cela faisait longtemps que l'orage grondait !
C'est le Chaos dans l'Ollympe sacrée,
Car Zeus et Héra de se disputer ne cessaient...
Â
Du sanctuaire vénéré ne restent que les débris
D'heureux souvenirs, errantes et mordibes ombres,
Les ruines d'un ordre uni jonchent le palais détruit,
Est venu le temps de l'equinoxe... et de la pénombre !
Â
Telle une âme vagadbonde j'erre parmis les ruines,
Mon coeur se serre à la vue d'une telle implosion,
Aussi soudaine que violente ! Qui mes rêves assassine !
Â
Les pierres semblent encore porter les cris de la maison,
Qui hantent mon esprit blessé et mon moral laminent...
Je me recroqueville et j'imagine... peut être à déraison.
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